Bibliothèque de ressources – Enjeu – Cigarettes électroniques et vapotage
L’industrie du tabac trouve constamment de nouveaux moyens d’attirer les consommateurs vers les produits du tabac
L’industrie du tabac trouve constamment de nouveaux moyens d’attirer les consommateurs vers les produits du tabac. Jusqu’en 2016, les produits du tabac aromatisés étaient disponibles à l’achat au Nouveau-Brunswick et étaient particulièrement attrayants pour les jeunes ainsi que les non-fumeurs qui essayaient du tabac pour la première fois. Le Nouveau-Brunswick a interdit les produits du tabac aromatisés en 2016 pour aider à réduire les taux d’initiation au tabagisme et, surtout, afin de protéger sa jeunesse des effets néfastes d’une dépendance à vie à la nicotine. Cependant, les cigarettes électroniques et les produits de vapotage aromatisés sont arrivés sur le marché et ont rapidement gagné en popularité parmi les non-fumeurs, en particulier les jeunes, ce qui soulève des préoccupations parmi les parents, les enseignants et les professionnels de la santé.
Risques associées aux cigarettes électroniques et produits de vapotage
Bien que les cigarettes électroniques et dispositifs de vapotage soient moins nocifs que fumer des cigarettes, selon Santé Canada, le vapotage expose tout de même une personne à des produits chimiques pouvant nuire à sa santé. Le site Web de Santé Canada «Considère les conséquences du vapotage» dit que « le vapotage peut vous exposer à des produits chimiques nocifs (formaldéhyde et acroléine, par exemple), ainsi qu’à des métaux et à des contaminants (nickel, étain et aluminium, par exemple). Vous ne voulez rien de cela dans vos poumons!» De plus, le vapotage peut introduire efficacement de la nicotine dans le corps, ce qui donne envie d’en consommer davantage et peut entraîner au bout du compte une accoutumance et une dépendance physique.
En fait, depuis l’automne 2019, le gouvernement du Canada étudie l’émergence de maladie pulmonaire associée au vapotage. Santé Canada et le gouvernement du Nouveau-Brunswick ont publié des déclarations avertissant le public des dangers potentiels de l’utilisation des produits de vapotage. De nombreux cas ont été signalés aux États-Unis et quelques-uns au Canada – ce qui soulève des inquiétudes quant aux risques immédiats et aux effets potentiels à long terme du vapotage.
Pour de nombreux non-fumeurs, en particulier les jeunes, le vapotage peut mener au tabagisme et l’utilisation d’autres produits du tabac ou de cannabis.
Visitez Canada.ca/vapotage pour obtenir des informations utiles sur tous les risques associés aux cigarettes électroniques et aux produits de vapotage.
Mises en garde de Santé Canada concernant les risques associés aux cigarettes électroniques et produits de vapotage:
- 28 septembre 2019: Mise à jour – Mise en garde de Santé Canada concernant un risque possible de maladie pulmonaire lié aux produits de vapotage
- 6 septembre 2019: Mise à jour concernant un risque possible de maladie pulmonaire lié aux produits de vapotage.
Déclaration du Conseil des médecins hygiénistes en chef
- 11 octobre 2019: Déclaration du Conseil des médecins hygiénistes en chef au sujet du vapotage au Canada
- 22 janvier 2020: Déclaration du Conseil des médecins hygiénistes en chef sur le vapotage de la nicotine au Canada
Communiqué de presse du médecin-hygiéniste en chef du Nouveau-Brunswick:
- 11 octobre 2019: Rappel concernant les risques pour la santé liés au vapotage
Le vapotage pour cesser de fumer
Certains Canadiens déclarent avoir réussi à cesser de fumer en utilisant des produits de vapotage. Santé Canada rapporte que « les produits peuvent réduire les risques pour la santé chez les fumeurs qui ne sont pas disposés à cesser l’usage de la nicotine ou qui en sont incapables :
- de leur propre volonté
- en recourant au counseling
- en utilisant des médicaments ou des thérapies de remplacement de la nicotine approuvées comme :
- les gommes à mâcher
- les timbres
- les pastilles »
Évidemment, cesser de fumer est la meilleure chose que les gens qui fument peuvent faire pour améliorer leur santé. Santé Canada donne les avis suivants aux fumeurs qui considères les produits de vapotage:
- « remplacer complètement vos cigarettes par un produit de vapotage réduira votre exposition aux produits chimiques nocifs.
- une amélioration à court terme de l’état de santé général se produira si vous délaissez complètement la cigarette au profit des produits de vapotage.»
Il est recommandé tout de même d’être prudent et de chercher de l’aide professionnel si l’on veut cesser de fumer en ayant recours aux produits de vapotage pour cesser de fumer. Les produits de vapotage ne sont pas recommandés ni reconnus comme des aides au sevrage puisque de nombreux traitements moins nocifs existent et ont fait la preuve de leur efficacité.
Popularité croissante des produits de vapotage
La popularité croissante des produits de vapotage parmi les non-fumeurs, en particulier les jeunes, est alarmante.
Une étude publiée par le Dr David Hammond en juin 2019 dans le British Medical Journal a révélé une augmentation alarmante de 74% pour le taux d’utillisation des produits de vapotage les jeunes Canadiens de 16 à 19 ans d’août / septembre 2017 à août / septembre 2018. Le taux d’utilisation des produits de vapotage a aussi passé de 8,4% à 14,6% au cours des 30 derniers jours .
Les résultats du Sondage sur le mieux-être des élèves du Nouveau-Brunswick 2018-2019 (6e à la 12e année) montrent que près du tiers des jeunes du Nouveau-Brunswick ont déjà essayé le vapotage. Le nombre d’élèves de la sixième à la douzième année qui affirment avoir essayé le vapotage est en hausse. Plus de 29% des jeunes interrogés ont déclaré avoir essayé un produit de vapotage ou une cigarette électronique, contre 22% il y a trois ans.
Politiques et mesures législatives
Au Canada la loi S-5 (Loi modifiant la Loi sur le tabac, la Loi sur la santé des non-fumeurs et d’autres lois en conséquence) adoptée le 23 mai 2018 a légalisé (et réglementé) les produits de vapotage. Depuis l’adoption du projet de loi S5, Santé Canada a mené une série de consultations sur comment renforcer la réglementation sur les produits de vapotage.
En décembre 2019, Santé Canada a annoncé son intention de mettre en œuvre des réglementations de vapotage plus strictes, citant: « La progression rapide du vapotage chez les jeunes préoccupe le gouvernement du Canada et il prend des mesures pour y remédier. De concert avec les autres ordres de gouvernement, la communauté médicale et d’autres intervenants, le gouvernement en fera davantage afin de protéger les jeunes contre les risques associés au vapotage. » Les nouvelles réglementations proposées visent à interdire toute promotion ou publicité des produits de vapotage partout où elle peut être vue ou entendue par des jeunes. Santé Canada exigera aussi l’impression obligatoire des mises en garde de santé sur l’emballage des produits de vapotage. L’emballage devra être à l’épreuve des enfants, et des limites seront imposées sur la teneur en nicotine pour ces produits, afin qu’ils ne soient pas toxiques pour les enfants, en cas d’ingestion accidentelle. Enfin, Santé Canada a annoncé que le travail se poursuit pour examiner des mesures supplémentaires afin de réduire le niveau de la concentration de nicotine ainsi qu’imposer des restrictions additionnelles sur les arômes.
De plus, diverses provinces canadiennes mettent en œuvre leurs propres règlements pour faire face à laproblématique de la popularité du vapotage chez les jeunes depuis que le vapotage a été officiellement légalisé en 2018. La Coalition antitabac du Nouveau-Brunswick (CATNB) suit de près ces développements. Consultez ici une liste des lois en vigueur ou et projets de lois en développement partout au Canada.
Notez que le gouvernement du Nouveau-Brunswick a abordé le sujet du vapotage dans son discours du Trône du 19 novembre 2019. Sous la priorité Soins de santé publics fiables, il a énoncé ce qui suit: « Les risques que présente le vapotage pour la santé, surtout chez les jeunes, soulèvent de plus en plus de préoccupations. Le gouvernement travaillera avec des spécialistes et des défenseurs de la santé pour élaborer une stratégie de lutte contre le vapotage chez les jeunes au Nouveau-Brunswick. » Actuellement au Nouveau-Brunswick la Loi sur les ventes de tabac et de cigarettes électroniques interdit la vente de produits de tabac, de cigarettes électroniques, de produits de vapotage et de liquide à vapoter aux personnes âgées de moins de 19 ans. Bien que cette loi interdit aussi la vente de produits du tabac aromatisés pour tous les Néo-Brunswickois, cette interdiction des saveurs et arômes ne couvre pas encore les produits de vapotage.
Lisez tous les communiqués de presse et les avis de Santé Canada concernant les mesure législatives quant aux produits de vapotage:
(en ordre – plus récent au plus vieux)
- Santé Canada propose d’interdire la publicité sur les produits de vapotage partout où elle pourrait être vue ou entendue par des jeunes
- Résumé de la consultation: Avis d’intention – Des mesures à l’étude visant à atténuer l’impact de la publicité des produits de vapotage sur les jeunes et les non-utilisateurs de produits de tabac
- Résumé de la consultation: Avis d’intention – Des mesures à l’étude visant à atténuer l’impact de la publicité des produits de vapotage sur les jeunes et les non-utilisateurs de produits de tabac
- Consultation – Réduire l’accessibilité et l’attrait des produits de vapotage pour les jeunes : Les mesures réglementaires possibles
- Consultation – Des mesures à l’étude visant à atténuer l’impact de la publicité des produits de vapotage sur les jeunes et les non-utilisateurs de produits de tabac
Groupe de travail provincial sur le vapotage
Plusieurs gens au Nouveau-Brunswick travaillent de façon indépendante pour faire face au nombre croissant de jeunes et de jeunes adultes qui tentent d’utiliser des produits de vapotage. De plus en plus, cette tendance se poursuit et les preuves sur les méfaits du vapotage chez les jeunes deviennent disponibles. Le moment est venu de passer à l’action collaborative. NB sans fumée ni vapotage (NBSFV) – en partenariat avec le Réseau de santé Vitalité – mène depuis le printemps 2019 un Groupe de travail provincial sur le vapotage. Tous sont les bienvenus à se joindre au groupe. Pour y participer, veuillez contacter NBSFV.
Comptes-rendus des rencontres du Groupe de travail provincial sur le vapotage:
Couverture médiatique (depuis 2019) – Vapotage
(en ordre – plus récent au plus vieux)
- Age to buy tobacco, vapes on P.E.I. to increase March 1 – CBC (En anglais seulement)
- U.S. raises legal smoking age to 21 in effort to curb tobacco use – Gobal News (En anglais seulement)
- FDA finalizes enforcement policy on unauthorized flavored cartridge-based e-cigarettes that appeal to children, including fruit and mint (En anglais seulement)
- Santé Canada veut restreindre la promotion des produits de vapotage auprès des jeunes – Radio Canada
- New vaping advertising limits coming, but no further restrictions on nicotine yet – CBC (En anglais seulement)
- Ottawa to ban vaping ads in bid to curb youth e-cigarette use – Globe and Mail (En anglais seulement)
- Opinion (by Kerrie Luck) – We must act to curb youth vaping – Telegraph Journal (En anglais seulement)
- L’Î.-P.-É. veut interdire le tabac et le vapotage jusqu’à 21 ans – Radio Canada
- Mixed reaction after vaping bill passes 2nd reading in P.E.I. Legislature – CBC (En anglais seulement)
- What should the legal age for vaping and smoking be? P.E.I. government says 21 – Truro News (En anglais seulement)
- Vapotage: serrer la vis ? Sans hésiter ! – La Presse
- ‘It was terrifying’: Teen who collapsed after vaping nicotine is now warning her peers – CBC (En anglais seulement)
- From health lessons to removing outer bathroom doors, how educators are responding to vaping in schools – Globe and Mail (En anglais seulement)
- Physicians fear cases of vaping-related illnesses continue to be missed – Globe and Mail (En anglais seulement)
- How Juul Hooked a Generation on Nicotine – New York Time (En anglais seulement)
- Le vapotage en croissance chez les jeunes du Nouveau-Brunswick – Acadie Nouvelle
- ‘Don’t lose sight of this crisis’: Vaping concerns grow in N.B. as more youth partake – Global News (En anglais seulement)
- When youth vaping skyrocketed, smoking did too – Maclean’s (En anglais seulement)
- Two probable cases of vaping-related lung illness reported in N.B.- Global News (En anglais seulement)
- How Juul Hooked Kids and Ignited a Public Health Crisis – Time Magazine (En anglais seulement)
- Flavoured e-cigarette ban enters discussion on federal election campaign trail – The Star (En anglais seulement)
- The science behind why vaping is becoming so popular in Canada – CBC (En anglais seulement)
- La cigarette électronique a fait son entrée dans nos écoles – Acadie Nouvelle
- Vapotage : un pneumologue sonne l’alarme – Radio Canada
- Teen vaping rate nearly doubles years after Canadian legalization of e-cigarettes, study shows – Globe and Mail (En anglais seulement)
- Vaping among Canadian teens spikes by 74% in 1 year, Waterloo study finds – CBC News (En anglais seulement)
- End to vaping at Leo Hayes High School becomes cause for principal, student mentors – CBC News (En anglais seulement)
- Vapotage – La médecin-hygéniste en chef est sur le qui-vive – Acadie Nouvelle
- Canadian health officials on alert after reports of vaping illnesses in the U.S. – CBC News (En anglais seulement)
- Respiratory illness related to vaping claims first life in U.S.; Canadian health officials watching situation closely – Global News (En anglais seulement)
- Two Students in Fredericton Look Into the Vaping Problem – CBC Information Morning Fredericton (En anglais seulement)
- Clearing the air on vaping – CTV News Atlantic Save (En anglais seulement)
- Flavor chemicals in e-cigarettes could damage lung tissue – CBC Radio – Quirks and Quarks (En anglais seulement)
CBC a lancé une série d’articles sur les échecs politiques et industriels qui ont accompagné l’introduction du vapotage. La série s’intitule: Vape Fail. Consultez-la ici.
Rapports et statistiques
À la lumière des résultats d’un nouveau sondage, la Société canadienne du cancer demande au gouvernement du Nouveau-Brunswick d’agir immédiatement contre le vapotage chez les jeunes
La Société canadienne du cancer exhorte l’Assemblée législative du Nouveau-Brunswick à adopter une loi sans tarder afin de contrer le vapotage et de prévenir la dépendance à la nicotine chez les jeunes. Cette demande vise à répondre aux préoccupations grandissantes liées au vapotage et au tabagisme chez les jeunes, comme l’indique le sondage provincial de 2021-2021 mené sur cette question auprès des 16 à 24 ans. L’auteur principal de l’Enquête pancanadienne est le Dr Mohammed Al-Hamdani de l’Association pulmonaire de la Nouvelle-Écosse. Ce sondage a été réalisé dans le but de mieux comprendre le comportement, les expériences et les préférences des jeunes utilisateurs de cigarettes électroniques au Nouveau-Brunswick.
Selon les résultats du sondage, 92 % des participants préfèrent actuellement utiliser des liquides à vapoter aromatisés, et 90 % ont commencé à fumer en utilisant du liquide à vapoter aromatisé. En outre, 48 % des participants qui préfèrent les liquides à vapoter aromatisés ont déclaré qu’ils ne continueraient pas à vapoter s’ils ne pouvaient pas acheter de liquides aromatisés. Par ailleurs, 88,4 % des répondants ont dit consommer actuellement du liquide à vapoter contenant de la nicotine, et 61,1 % des participants qui ont consommé des produits à base de nicotine ont utilisé ceux ayant la concentration maximale permise (50-60 mg/ml). Toujours selon ce sondage, 22,5 % des participants ont déclaré avoir acheté leur dispositif de vapotage auprès d’un ami, et 89,1 % ont dit avoir déjà partagé leur cigarette électronique avec quelqu’un d’autre.
Association of E-Cigarette Use With Respiratory Disease Among Adults: A Longitudinal Analysis – American Journal of Preventative Medicine – 2019 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
Les preuves des effets sur la santé des cigarettes électroniques continuent de s’accumuler avec les résultats d’une étude de cohorte sur les effets respiratoires des cigarettes électroniques chez les adultes par Bhatta et Glantz.
Cœur + AVC se réjouit des mesures en santé présentées dans le budget fédéral de 2022
NOUVELLES FOURNIES PAR
Fondation des maladies du cœur et de l’AVC
Avr 07, 2022, 20:52 ET
Une taxe sur les produits de vapotage aidera à les garder hors de la portée des jeunes
OTTAWA, ON, le 7 avril 2022 /CNW/ – Cœur + AVC est heureuse de constater que le budget fédéral de 2022 comporte plusieurs éléments liés à la promotion de la santé, notamment l’imposition d’une taxe sur les produits de vapotage, l’engagement continu à l’égard de l’assurance-médicaments et l’amélioration de l’accès à des aliments nutritifs dans les écoles grâce à une politique alimentaire nationale en milieu scolaire.
La crise du vapotage chez les jeunes est bien réelle. Au pays, 1 élève sur 5 de la 1re secondaire à la 1re année de cégep (l’équivalent de la 7e à la 12e année) vapote. Récemment, une étude subventionnée par Cœur + AVC portant sur le comportement et les préférences des jeunes en matière de vapotage a révélé que les produits de vapotage sont très abordables pour les jeunes.
« Avec des prix plus élevés, les produits de vapotage seront moins abordables pour les jeunes et donc moins accessibles, déclare Doug Roth, chef de la direction, Cœur + AVC. Les jeunes méritent d’être protégés contre ces produits addictifs et augmenter les taxes est un des moyens les plus efficaces d’y arriver. »
Les droits d’accise sur les produits de vapotage seront appliqués à partir du 1er octobre 2022. Dans son budget, le gouvernement fédéral invite également ses homologues provinciaux et territoriaux à prendre part à un cadre coordonné de la taxation des produits de vapotage, en vertu duquel un droit supplémentaire correspondant au taux fédéral proposé serait appliqué.
Cœur + AVC souhaite que d’autres mesures soient annoncées prochainement pour protéger davantage les jeunes, notamment l’interdiction d’ajouter des arômes dans les produits de vapotage, ce qui les rend plus attrayants pour les jeunes, y compris les arômes de menthe et de menthol. Les arômes incitent les jeunes à commencer à vapoter et à continuer de le faire.
Nous applaudissons également le renouvellement de l’engagement à mettre en œuvre un programme d’assurance-médicaments national par le dépôt d’un projet de loi d’ici 2023 ainsi que l’élaboration d’une liste des médicaments admissibles et d’un plan d’achat en gros. L’assurance-médicaments est un élément essentiel des soins de santé. Au pays, 7,5 millions de personnes ont une assurance-médicaments insuffisante ou inexistante.
En raison des défis considérables qu’a entraînés la pandémie pour de nombreuses personnes, y compris celles atteintes de maladies chroniques comme les maladies du cœur et l’AVC, ainsi que leurs aidants, il est plus important que jamais de mettre l’accent sur des politiques publiques en santé.
De nouvelles études longitudinales démontrent qu’il y a peu d’éléments permettant de soutenir que les cigarettes électroniques constituent un moyen efficace de cessation tabagique au sein de la population
Jusqu’à présent, les données canadiennes, comme celles des États-Unis, ne permettent pas de conclure que le vapotage est une méthode efficace de cessation tabagique pour la population.
Cet article n’est disponible qu’en anglais.
Déclaration à l’occasion du deuxième anniversaire de la Loi fédérale sur le tabac et les produits de vapotage
À l’occasion du deuxième anniversaire de l’entrée en vigueur de la Loi sur le tabac et les produits du vapotage (LTPV), les organisations de lutte contre le tabagisme demandent au ministre de la Santé et à d’autres parlementaires de reconnaître les dangereuses lacunes de la loi et d’agir plus rapidement pour renforcer les contrôles nationaux sur le marché des produits de vapotage.
Le communiqué de presse (en anglais seulement) est ci-dessous. Quelle est votre opinion à ce sujet ?
E-Cigarette Use for Smoking Cessation: Scientific Evidence and Smokers’ Experience – Unité de recherche sur le tabac de l’Ontario – 2019 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
Synthèse des connaissances sur les études relatives à l’efficacité des cigarettes électroniques pour le sevrage tabagique. Nous avons également mené une étude sur les expériences vécues par les fumeurs ontariens qui ont essayé de cesser de fumer dans les cigarettes. Les conclusions préliminaires de ces initiatives sont mises en évidence dans le présent rapport.
Electronic cigarette use and smoking initiation among youth, a longitudinal cohort study, David Hammond et al, Canadian Medical Association Journal – 2017 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
L’influence de l’utilisation de cigarettes électroniques sur l’initiation au tabagisme est une question très controversée, les données longitudinales disponibles pour l’examen des associations temporelles étant limitées. Nous avons examiné l’utilisation de la cigarette électronique et son association avec l’initiation à la cigarette lors d’un suivi d’un an au sein d’une importante cohorte d’élèves canadiens du secondaire.
Enquête canadienne sur le tabac et la nicotine 2019 – Statistique Canada – 2020
Le vapotage consiste à inhaler et à expirer une vapeur produite par un appareil, comme une cigarette électronique, un vaporiseur modifié, un vaporisateur ou un vaporiseur stylo.
Ces appareils sont utilisés par certaines personnes pour réduire l’usage du tabac ou arrêter de fumer, toutefois, leur utilisation peut également avoir des effets négatifs, plus particulièrement chez les jeunes. Selon Santé Canada, la majorité des produits de vapotage contiennent de la nicotine, de sorte que le vapotage peut entraîner une dépendance à la nicotine. Le vapotage peut aussi accroître le risque d’exposition à d’autres produits chimiques nocifs.
Pour la première fois, Statistique Canada a recueilli des renseignements détaillés sur le vapotage. La nouvelle Enquête canadienne sur le tabac et la nicotine vise à mettre en lumière les types de produits que les Canadiens utilisent, la fréquence à laquelle ils vapotent, ainsi que les raisons pour lesquelles ils le font.
Enquête canadienne sur le tabac et la nicotine, 2021
Diffusion : 2022-05-05
Selon les résultats récents de l’Enquête canadienne sur le tabac et la nicotine (ECTN) de 2021, le vapotage demeure plus courant chez les jeunes adultes que chez les gens plus âgés. En 2021, 13 % des jeunes (âgés de 15 à 19 ans) et 17 % des jeunes adultes (âgés de 20 à 24 ans) ont déclaré avoir vapoté au moins une fois au cours des 30 jours ayant précédé l’enquête, comparativement à 4 % des adultes âgés de 25 ans ou plus. Le vapotage pour réduire le stress a augmenté pendant la pandémie de COVID-19 chez les personnes âgées de 15 à 19 ans, qui ont indiqué que c’était la principale raison pour laquelle elles avaient vapoté (33 %).
Le vapotage consiste à inhaler et à expirer une vapeur produite par un dispositif, comme une cigarette électronique, un vaporiseur modifié, un vaporisateur ou un vaporiseur stylo. Bien que certaines personnes utilisent ces dispositifs pour réduire l’usage du tabac ou arrêter de fumer, le vapotage peut également avoir des effets néfastes sur la santé, en particulier chez les jeunes et chez les non-fumeurs. Selon Santé Canada, la majorité des produits de vapotage contiennent de la nicotine et, comme le tabac, le vapotage peut entraîner une dépendance à la nicotine. Le vapotage peut aussi accroître le risque d’exposition à d’autres produits chimiques nocifs.
Un troisième cycle de l’ECTN a eu lieu de la mi-décembre 2021 au début février 2022. L’ECTN a été menée par Statistique Canada en collaboration avec Santé Canada afin d’obtenir des renseignements sur les habitudes en matière de vapotage et de tabagisme.
Le vapotage demeure stable parmi les jeunes âgés de 15 à 19 ans
Comparativement aux adultes âgés de 25 ans ou plus, un pourcentage plus élevé de jeunes et de jeunes adultes ont déclaré avoir essayé le vapotage au cours de leur vie. En 2021, près de la moitié (48 %) des jeunes adultes âgés de 20 à 24 ans et près de 3 jeunes sur 10 (29 %) âgés de 15 à 19 ans ont déclaré avoir essayé le vapotage au cours de leur vie, comparativement à 13 % des adultes âgés de 25 ans ou plus.
Parmi les jeunes adultes âgés de 20 à 24 ans, la fréquence du vapotage au cours des 30 derniers jours est demeurée stable de 2019 à 2020, mais elle est passée de 13 % en 2020 à 17 % en 2021. En revanche, cette fréquence est demeurée stable au cours des trois dernières années (depuis le début de cette enquête) chez les jeunes âgés de 15 à 19 ans (13 % en 2021) et chez les adultes âgés de 25 ans ou plus (4 % en 2021).
Dans l’ensemble, 5 % des Canadiens ont déclaré avoir vapoté au cours des 30 derniers jours. Le Nouveau-Brunswick a affiché le taux le plus élevé de personnes qui ont vapoté (9 %), suivi de l’Île-du-Prince-Édouard (8 %) et du Québec (6 %).
Une plus forte proportion de Canadiens a déclaré vapoter quotidiennement en 2021 par rapport au niveau observé avant la pandémie (2019). Parmi ceux qui ont déclaré avoir vapoté au cours des 30 derniers jours, 55 % ont répondu qu’ils vapotaient quotidiennement, comparativement à 44 % en 2019.
Un nombre plus élevé de jeunes âgés de 15 à 19 ans déclarent vapoter pour réduire leur stress comparativement à 2019
Étant donné que le vapotage comporte des risques pour la santé, en particulier chez les jeunes, il importe de comprendre les raisons pour lesquelles les Canadiens vapotent.
En 2021, parmi les personnes qui avaient vapoté au cours des 30 derniers jours, 18 % ont déclaré que la principale raison était pour diminuer le stress. La réduction du stress était plus couramment déclarée comme étant la principale raison justifiant le vapotage chez les jeunes âgés de 15 à 19 ans en 2021 (33 %), comparativement à 2019 (21 %). Ceci est peut-être un signe que les jeunes âgés de 15 à 19 ans vapotent en partie pour gérer le stress causé par la pandémie et par d’autres situations difficiles, telles que les perturbations constantes en matière d’éducation et de lieux de travail.
Outre la réduction du stress, les jeunes âgés de 15 à 19 ans ont également déclaré vapoter parce qu’ils aimaient cela (28 %) et parce qu’ils voulaient l’essayer (24 %). Parmi les jeunes adultes âgés de 20 à 24 ans, les raisons les plus couramment données pour justifier le vapotage étaient qu’ils aimaient vapoter (27 %), qu’ils voulaient réduire leur stress (25 %) ou qu’ils voulaient réduire ou cesser leur consommation de la cigarette, ou éviter de recommencer à fumer (24 %). En revanche, une plus forte proportion de Canadiens âgés de 25 ans ou plus ont déclaré qu’ils vapotaient pour réduire ou cesser leur consommation de la cigarette, ou pour éviter de recommencer à fumer (58 %), tandis que 14 % ont mentionné vapoter parce qu’ils aimaient cela.
En matière de vapotage, les arômes de fruit et de menthe ou de menthol sont les plus consommés
Il a été établi que les arômes sont l’un des facteurs potentiels contribuant à la proportion élevée de jeunes qui vapotent au Canada.
Parmi les personnes qui avaient vapoté au cours des 30 derniers jours, parmi tous les groupes d’âge, l’arôme le plus consommé était celui de fruit (53 %), suivi de la menthe ou le menthol (18 %).
Graphique 1
Les arômes les plus consommés parmi ceux qui ont vapoté dans les 30 jours ayant précédé l’enquête, selon le groupe d’âge, 2021, Canada, à l’exclusion des territoires
Les préférences en matière d’arôme variaient selon le groupe d’âge, mais pas selon le genre. Une plus grande proportion de vapoteurs chez les plus jeunes (âgés de 15 à 19 ans) préféraient les arômes de fruit (65 %) comparativement aux adultes âgés de 20 à 24 ans (57 %) et à ceux âgés de 25 ans ou plus (48 %).
En revanche, l’arôme de tabac était plus populaire chez les utilisateurs âgés de 25 ou plus (14 %) que parmi les groupes d’âge plus jeunes (1 % chez les jeunes âgés de 15 à 19 ans et 2 % chez les adultes âgés de 20 à 24 ans).
La plupart des jeunes qui vapotent n’ont jamais fumé de tabac
L’une des utilisations potentielles du vapotage est de réduire l’usage du tabac ou d’arrêter de fumer. Cependant, parmi les personnes qui avaient vapoté au cours des 30 derniers jours, la majorité (61 %) des jeunes âgés de 15 à 19 ans et plus du quart (27 %) des jeunes adultes âgés de 20 à 24 ans n’avaient jamais fumé la cigarette au cours de leur vie. Ce constat suggère que la majorité des jeunes n’utilisent pas les dispositifs de vapotage pour réduire l’usage du tabac ou pour arrêter de fumer.
Dans l’ensemble, en 2021, 10 % des Canadiens ont déclaré fumer des cigarettes régulièrement. Dans tous les groupes d’âge, le tabagisme est resté stable comparativement à l’année précédente.
En 2021, environ trois fois plus de Canadiens âgés de 20 ans ou plus (11 %) ont déclaré être fumeurs que ceux âgés de 15 à 19 ans (4 %).
Enfin, le tabagisme demeure plus courant chez les hommes que chez les femmes en 2021 : 12 % des hommes ont déclaré être fumeurs, comparativement à 9 % des femmes.
Note aux lecteurs
Les données de la présente diffusion sont tirées de l’Enquête canadienne sur le tabac et la nicotine (ECTN) de 2021, qui a permis de recueillir des renseignements sur la fréquence du tabagisme, du vapotage et de la consommation de cannabis. L’enquête a été réalisée de décembre 2021 à février 2022, et les renseignements ont été recueillis auprès de 9 908 répondants. Même si la période de collecte s’est terminée en février 2022, « 2021 » est utilisé pour désigner cette période de collecte et pour simplifier le texte. La population visée pour l’enquête comprend toute personne ne vivant pas en institution âgée de 15 ans et plus, qui réside dans les 10 provinces et qui ne sont pas membres de logements collectifs et ne vivent pas dans des réserves. Le contenu du questionnaire a été élaboré en collaboration avec Santé Canada. Les cycles précédents ont été menés d’octobre à décembre 2019 et de décembre 2020 à janvier 2021, et les données issues de ces cycles sont fournies pour examiner les tendances temporelles.
Dans le contexte de cette analyse, le vapotage comprend le vapotage de liquide, avec ou sans nicotine (liquide seulement aromatisé), au moyen d’une cigarette électronique, d’un vaporisateur modifié, d’un vaporisateur ou d’un vaporisateur stylo. Cette analyse exclut le vapotage du cannabis.
On a demandé aux répondants qui ont déclaré avoir utilisé un produit de vapotage au cours des 30 jours ayant précédé l’enquête, également appelé « vapotage au cours des 30 derniers jours », d’indiquer le type de produit utilisé, la fréquence d’utilisation et les raisons justifiant le vapotage. On a appliqué des poids d’échantillonnage afin que les analyses soient représentatives de la population ciblée.
On a demandé aux répondants d’indiquer la principale raison pour laquelle ils avaient vapoté au cours des 30 jours ayant précédé l’enquête. Les utilisateurs ont été classés dans les catégories suivantes : les personnes qui souhaitaient seulement faire un essai; les personnes ayant déclaré aimer vapoter; les personnes ayant vapoté pour réduire leur stress; les personnes ayant vapoté pour réduire ou cesser leur consommation de la cigarette, ou pour éviter de recommencer à fumer; et les personnes ayant mentionné d’autres raisons.
De plus, on a demandé aux personnes qui avaient vapoté au cours des 30 jours ayant précédé l’enquête d’indiquer quel arôme elles avaient le plus souvent consommé. Les catégories d’arômes étaient les suivantes : tabac, fruit, friandise ou dessert, menthe ou menthol, et autres arômes.
ENTRÉE EN VIGUEUR DE L’INTERDICTION DES CIGARETTES ÉLECTRONIQUES AU NOUVEAU-BRUNSWICK LE 1ER SEPTEMBRE 2021
Communiqué
Santé
Interdiction des produits de vapotage aromatisés
30 août 2021
FREDERICTON (GNB) – Le gouvernement provincial vise à freiner la hausse du vapotage chez les adolescents en interdisant la vente de produits de vapotage aromatisés, à l’exception des produits aromatisés au tabac, à compter du 1er septembre.
Les produits de vapotage sont actuellement offerts dans une gamme d’arômes comme la gomme à mâcher, le chocolat, la barbe à papa et la mangue. Selon des recherches compilées par Santé Canada, plus de la moitié des jeunes interrogés ont déclaré que l’arôme et l’odeur étaient les principales raisons pour lesquelles ils essayaient ces produits. À compter du 1er septembre, seuls les produits aromatisés au tabac pourront être vendus au Nouveau-Brunswick.
Le vapotage a été commercialisé auprès des adultes comme une solution de rechange plus sûre à la cigarette, mais la plupart des produits aromatisés contiennent tout de même de la nicotine. Certains de ces produits ont un taux de nicotine égal ou supérieur à celui des cigarettes.
« Le vapotage n’est pas inoffensif », a déclaré la ministre de la Santé, Dorothy Shephard. « Ces produits contiennent des produits chimiques nocifs et de la nicotine. »
Le nombre de jeunes qui consomment des produits de vapotage augmente rapidement. Selon une enquête menée par le Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick en 2018-2019, 29 pour cent des élèves ont déclaré avoir essayé la cigarette électronique au cours des 30 derniers jours, comparativement à 22 pour cent trois ans auparavant.
Mme Shephard a indiqué que de nouvelles recherches indiquent que les jeunes qui vapotent sont deux fois plus susceptibles d’essayer de fumer et qu’ils ont presque deux fois plus de risques de devenir des fumeurs quotidiens dans l’année à venir.
« Nous devons donner à nos adolescents le meilleur départ possible dans la vie, a affirmé Mme Shephard. Nous devons créer un environnement dans lequel les enfants ne sont pas constamment exposés au vapotage. Et nous devons soutenir ces jeunes qui luttent déjà contre une dépendance en leur fournissant les ressources dont ils ont besoin pour arrêter de fumer. »
Des services de counseling pour les personnes qui veulent cesser de fumer ou de vapoter sont offerts par Vivez sans fumée NB au 1-866-366-3667.
Pour signaler les détaillants qui vendent des produits de vapotage aromatisés ou qui vendent tout produit de vapotage à des mineurs, composez le 1-866-234-4234.
ENTRÉE EN VIGUEUR DE L’INTERDICTION DES CIGARETTES ÉLECTRONIQUES AU NOUVEAU-BRUNSWICK LE 1ER SEPTEMBRE 2021
L’interdiction des cigarettes électroniques aromatisées (autres que la saveur de tabac) au Nouveau-Brunswick entrera en vigueur le mercredi, 1er septembre prochain.
Voici un aperçu des dates de mise en vigueur des interdictions des cigarettes électroniques aromatisées (autres que la saveur de tabac), pour les provinces et les territoires, au Canada :
Nouvelle-Écosse, 1er avril 2020
Île-du-Prince-Édouard, 1er mars 2021
Nouveau-Brunswick, 1er septembre 2021
Nunavut, loi en attente de proclamation
Par ailleurs, le gouvernement du Québec a annoncé son intention d’adopter une réglementation interdisant les cigarettes électroniques aromatisées.
Étude – Une exposition accrue à la commercialisation de la cigarette électronique au Canada est fortement associée à une augmentation du vapotage chez les jeunes
Une étude de David Hammond et al a conclu que «Une exposition accrue à la commercialisation de la cigarette électronique au Canada est fortement associée à une augmentation du vapotage chez les jeunes. Avec nos résultats, nous fournissons un soutien empirique pour l’efficacité de restrictions réglementaires plus complètes qui sont envisagées aux niveaux fédéral et provincial au Canada. »
Cet article n’est disponible qu’en anglais.
Heat Not Burn Tobacco Product—A New Global Trend: Impact of Heat-Not-Burn Tobacco Products on Public Health, a Systematic Review – International Journal of Environmental Research & Public Health – 2020 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
L’utilisation de produits du tabac pour le vapotage est de plus en plus adoptée comme alternative au tabagisme des produits combustibles, principalement les cigarettes. Une controverse importante a accompagné leur commercialisation et leur utilisation dans le contexte de la santé publique. Dans cette étude, nous avons cherché à considérer les impacts probables de l’utilisation des produits de vapotage sur la santé publique.
Interventions to Prevent Harms from Vaping – Unité de recherche sur le tabac de l’Ontario (URTO) – 2019 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
L’utilisation de cigarettes électroniques – en particulier chez les jeunes et les jeunes adultes – est devenue une préoccupation croissante en Ontario. Les professionnels de la santé ont intérêt à mettre en œuvre des interventions fondées sur des preuves pour lutter contre l’utilisation de la cigarette électronique. Pour ce rapport, l’URTO a procédé à un examen des interventions pouvant être mises en œuvre au niveau local. En mettant l’accent sur la prévention, notre recherche a révélé plusieurs pratiques prometteuses, mais peu de preuves quant à leur efficacité. La plupart des interventions observées étaient l’éducation du public et des efforts en milieu scolaire. Les autres interventions comprenaient des interventions communautaires, des interventions pour les prestataires de soins de santé, des politiques sans aérosol, des restrictions d’âge, ainsi que des restrictions en matière de publicité et de promotion. Un modèle logique est présenté pour aider à organiser les interventions possibles et les résultats attendus.
L’étude 2020- 2021 Youth and Young Adult Vaping Project
RÉSUMÉ
Contexte : L’usage de la cigarette électronique (« vapoteuse ») est à la hausse. L’étude 2020- 2021 Youth and Young Adult Vaping Project, menée par la Lung Association of Nova Scotia et Smoke-Free Nova Scotia avec l’appui financier de Cœur + AVC, visait à examiner les habitudes et expériences de vapotage ainsi que les préférences de consommation des jeunes et des jeunes adultes vapoteurs au Canada.
Méthodologie : Au moyen d’un sondage en ligne, 3034 vapoteurs réguliers (ayant consommé un produit de vapotage au moins une fois par semaine au cours des trois derniers mois), âgés de 16 à 24 ans et résidant dans l’une des 10 provinces canadiennes (Alberta, Colombie-Britannique, Manitoba, Nouveau-Brunswick, Terre-Neuve-et-Labrador, Nouvelle-Écosse, Ontario, Île-duPrince-Édouard, Québec et Saskatchewan) ont été interrogés sur leurs habitudes de vapotage (p. ex., nombre de journées de vapotage par semaine, nombre de séances de vapotage par jour et nombre de bouffées par séance de vapotage), leurs expériences (p. ex., consommation combinée d’autres substances), ainsi que leurs préférences de consommation en ce qui a trait aux produits (p. ex., taux de nicotine). Ce rapport présente les réponses détaillées de l’ensemble de l’échantillon, ainsi que les résultats répartis par âge, genre et région.
Résultats : L’échantillon analysé était constitué de 3 009 répondants. En moyenne, ils ont commencé à vapoter à l’âge de 15,79 ans. Plus de la moitié d’entre eux (53,1 %) disent avoir tenté d’arrêter de vapoter, souvent à plusieurs reprises, en vain. Le vapoteur moyen vapote six jours par semaine et 30 fois par jour, prenant environ six bouffées par séance. Depuis le déclenchement de la pandémie de COVID-19, les répondants affirment vapoter moins souvent au cours d’une semaine (cinq jours de vapotage) et par jour (23 séances quotidiennes, une baisse marquée), mais le nombre de bouffées par séance demeure essentiellement le même. Les répondants dépensent en moyenne entre 13 $ et 22 $ par semaine sur les produits de vapotage. L’écrasante majorité d’entre eux disent avoir utilisé la vapoteuse d’un autre consommateur (97,8 %) et avoir prêté leur propre vapoteuse (92,2 %). Ces derniers estiment que le nombre moyen de personnes ayant utilisé leur vapoteuse prêtée s’élève à 20. La moitié (50,6 %) des répondants affirment par ailleurs avoir ressenti un effet néfaste du vapotage sur leur santé. La majorité des jeunes déclarent avoir été exposés à des publicités liées au vapotage sur les plateformes des médias sociaux (70,5 %). Une majorité de répondants utilisent des dispositifs de vapotage de type « pods » (64,9 %). La quasi-totalité des vapoteurs se sont initiés au vapotage en consommant un liquide à vapoter aromatisé (91,9 %) et continuent d’en consommer aujourd’hui (90,3 %). Dans la plupart des provinces, les arômes les plus populaires auprès des jeunes – au moment de leur initiation et dans leur consommation actuelle – sont les baies, la mangue et la menthe ou le menthol. La majorité des vapoteurs consomment du liquide à vapoter contenant le taux de nicotine le plus élevé sur le marché (50 à 60 mg/ml) 1 (64,3 %). En ce qui a trait à la consommation de tabac, 64,1 % des répondants sont d’anciens fumeurs et 11,8 % continuent de fumer le tabac, ces derniers consommant en moyenne 17 cigarettes par semaine. Une proportion notable de répondants (36,4 %) disent connaître une personne ayant commencé à fumer du tabac après avoir été initiée au vapotage. Au cours des 30 derniers jours, la consommation de cannabis (17 jours de consommation) est plus courante que la consommation d’alcool (7 jours de consommation).
Conclusion : Il s’agit du premier échantillon de recherche constitué de répondants provenant de toutes les provinces canadiennes. L’analyse de l’échantillon entier révèle des habitudes de vapotage préoccupantes chez les jeunes et les jeunes adultes. Les vapoteurs réguliers rapportent des habitudes et expériences de vapotage similaires d’une province à l’autre, bien que l’on constate un certain nombre de différences notables sur le plan individuel et régional. Dans le présent rapport, nous discutons de nos résultats et de leur application possible dans l’élaboration d’options viables en matière de politiques visant à limiter l’attrait du vapotage et à restreindre l’usage de la cigarette électronique chez les jeunes et les jeunes adultes canadiens. Ces politiques pourraient comprendre l’interdiction complète des arômes, l’imposition d’une limite du taux de nicotine à 20 mg/ml, l’augmentation des taxes sur les produits de vapotage et la hausse de l’âge minimum d’achat à 21 ans.
1 Pour ceux spécifiant la teneur exacte de nicotine dans leur liquide à vapoter.
L’Opposition officielle présentera le projet de loi 17 en deuxième lecture
L’Opposition officielle présentera le projet de loi 17, Loi modifiant la Loi sur les ventes de tabac et de cigarettes électroniques, en deuxième lecture à l’Assemblée législative aujourd’hui. Le projet de loi, présenté par le porte-parole libéral en matière de Santé, Jean-Claude D’Amours, interdirait la vente de liquides aromatisés utilisés pour le vapotage.
LA CONFORMITÉ À LA LOI DE L’INDUSTRIE DU VAPOTAGE AU CANADA
La semaine dernière, Santé Canada a publié les résultats des inspections qu’elle a menées des comptes Instagram des fournisseurs canadiens de produits de vapotage, auxquelles un peu plus de la moitié (53 %) des 304 entreprises ont échoué.
L’industrie s’en est un peu mieux tirée qu’à l’issue de la ronde antérieure d’inspections de ses détaillants, menée au cours de l’été et de l’automne 2019. En effet, moins d’une boutique spécialisée de vapotage sur cinq avait réussi (alors que la grande majorité des dépanneurs avaient passé le test).
Conséquences pour la santé publique
L’industrie du vapotage canadienne s’est développée sur le marché noir et semble poursuivre ses activités avec un certain mépris des mesures législatives en matière de santé adoptées par les gouvernement fédéral et provinciaux.
Les trois rapports d’inspection publiés par Santé Canada font état du défi auquel les gouvernements font face en ce qui a trait à la conception de normes sur la vente de ces produits.
Les preuves supplémentaires issues de notre examen des sites web gérés par les chefs de l’industrie nous portent à croire que la non-conformité est attribuable davantage à un manque de respect qu’à un manque de compréhension des règles.
En 2019, Santé Canada a écrit aux détaillants de produits de vapotage, insistant sur le fait que ce « niveau de non-conformité est inacceptable ». Toutefois, à ce jour, le Ministère semble s’être surtout centré sur l’envoi de lettres de mise en garde, tout en s’abstenant d’imposer des amendes pour la non-conformité. Le Parlement a fixé d’importantes pénalités pour le non-respect de la loi (jusqu’à 500 000 $), mais celles-ci ne peuvent s’appliquer qu’à la seule condition que le gouvernement fédéral poursuive les contrevenants en justice.
À l’heure actuelle, les directions de santé publique ne peuvent pas compter sur la volonté des fournisseurs de se conformer aux mesures législatives en matière de santé. Il est justifié de recourir à un renforcement accru des interventions et d’envisager d’autres méthodes de gestion de ce marché.
Le présent article est offert en anglais seulement.
La FDA Ordonne aux Laboratoires Juul de Retirer ses Produits du Marché Américain
(CNN) La Food and Drug Administration des États-Unis a ordonné le retrait des produits JUUL du marché américain, au même moment où elle délivrait des arrêtés d’interdiction de la mise en marché de ses appareils et de ses cosses de vapotage.
« Par conséquent, l’entreprise doit mettre un terme à la vente et à la distribution de ces produits. En outre, ceux qui sont déjà sur le marché américain doivent être retirés ou faire l’objet de mesures d’exécution, » d’affirmer la FDA, mardi dernier.
CNN a contacté Juul pour obtenir des commentaires, mais n’a reçu aucune réponse immédiate.
Le présent article est offert en anglais.
La Ministre Appuie La Hausse De L’âge Légal Pour Le Vapotage et le Tabagisme — La Ministre De La Santé, Dorothy Sheppard, Dit Avoir Discuté De La Hausse De L’âge Minimum À 21 Ans
La ministre appuie la hausse de l’âge légal pour le vapotage et le tabagisme — la ministre de la Santé, Dorothy Sheppard, dit avoir discuté de la hausse de l’âge minimum à 21 ans; exclusif
Le Telegraph Journal du Nouveau-Brunswick
Par John Chilibeck
Le 8 juillet 2022
La ministre de la Santé du Nouveau-Brunswick affirme être ouverte à l’idée d’interdire la vente des produits du tabac et de vapotage aux jeunes de moins de 21 ans.
Cet article est offert en anglais.
La Porte-Parole de L’Opposition Libérale en Matière de Santé du Nouveau-Brunswick Présente un Projet de Loi Visant à Interdire la Vente de Cigarettes Électroniques Aromatisées
Le 18 novembre 2020, le porte-parole de l’opposition libérale en matière de santé, Jean-Claude D´Amours, a présenté un projet de loi d’initiative parlementaire pour interdire la vente de cigarettes électroniques aromatisées. Le projet de loi no 17, Loi modifiant la Loi sur les ventes de tabac et de cigarettes électroniques, peut être consulté ici :
La Science S’est Prononcée : Le Moment Est Venu De Mettre À Jour Les Messages Aux Canadiens
Depuis 2018, d’autres gouvernements ont mis sur pied des comités de spécialistes, afin d’examiner le nombre croissant de preuves. Il en émerge un consensus scientifique indiquant que le vapotage est dangereux, et qu’il ne représente pas un moyen particulièrement efficace en ce qui a trait à l’abandon du tabac. Bien qu’aucun document unique faisant autorité n’ait réuni ces études systématiques, méta-analyses et rapports d’autorités sanitaires, il ressort maintenant ce qui suit :
1. | Les cigarettes électroniques ont accru le nombre de jeunes consommateurs de nicotine, dans certains pays. |
2. | Les jeunes qui utilisent les cigarettes électroniques sont plus enclins à fumer des cigarettes traditionnelles. |
3. | Le double usage est répandu et nuisible. |
4. | Lorsqu’elles sont achetées comme produits de consommation, les cigarettes électroniques ne s’avèrent pas des aides efficaces à l’abandon. |
5. | Les cigarettes électroniques causent des dommages aux systèmes respiratoire et circulatoire. |
6. | D’autres gouvernements ont fourni des évaluations scientifiques plus récentes. |
7. | Les messages de Santé Canada sur les cigarettes électroniques sont dépassés. |
La Société canadienne du cancer demande à tous les partis politiques de s’engager, dans leurs programmes électoraux, en faveur d’une législation sur le vapotage chez les jeunes
Le Nouveau-Brunswick traîne loin derrière les autres provinces maritimes pour ce qui est d’adopter des mesures visant à freiner le vapotage chez les jeunes
Le 31 août 2020 (Saint-Jean, Nouveau-Brunswick) ‒ La Société canadienne du cancer demande à tous les partis politiques de prendre des engagements électoraux significatifs et réalisables pour combler les lacunes importantes en matière de prévention du cancer et de soutien aux personnes touchées par le cancer et a ainsi relevé deux principaux enjeux. La première priorité est un élément essentiel de la lutte contre la culture actuelle de vapotage chez les jeunes au Nouveau-Brunswick, comme présenté dans cette vidéo (Cliquez ici), envoyant un message clair aux gouvernements : il doit en faire plus pour contrer le vapotage chez les jeunes, et l’augmentation de l’âge légal à 21 ans est un bon point de départ. « Les taux de vapotage dans la province atteignent des proportions épidémiques. Le gouvernement doit agir immédiatement et fermement, en adoptant un ensemble de mesures exhaustives destinées à réduire les taux de vapotage chez les jeunes », affirme Rob Cunningham, Analyste principal en matière de politiques.
Pendant la période des élections provinciales de 2020 au Nouveau-Brunswick, nous continuons à encourager le gouvernement et tous les membres de l’Assemblée législative à mettre en évidence l’épidémie de tabagisme actuelle et à créer des politiques efficaces qui favoriseront des modes de vie plus sains, protégeront la prochaine génération de Canadiens et amélioreront la qualité de vie des personnes touchées par le cancer.
Pour agir efficacement contre le vapotage, il faut mettre en place des politiques clés, comme augmenter l’âge légal à 21 ans pour l’achat de cigarettes électroniques et de tabac, limiter la vente de cigarettes électroniques à des endroits interdits aux mineurs, et éliminer les saveurs des cigarettes électroniques, entre autres. Au début de l’année, l’Île-du-Prince-Édouard a adopté une loi visant à augmenter l’âge légal pour fumer et vapoter à 21 ans ainsi qu’à limiter la vente de cigarettes électroniques à des endroits interdits aux mineurs. De plus, le gouvernement de l’Île-du-Prince-Édouard vient de mettre en place une loi interdisant la vente de cigarettes électroniques aromatisées. Récemment, la Nouvelle-Écosse a adopté une loi visant à interdire la vente de cigarettes électroniques aromatisées, à limiter à 20 mg/ml la concentration maximale de nicotine et à instaurer une taxe sur les cigarettes électroniques et les liquides à vapoter.
En 2019, une étude menée par le professeur David Hammond de l’Université de Waterloo a révélé que le taux de vapotage chez les jeunes de 16 à 19 ans a fait un bond stupéfiant de 112 %, passant de 8,4 % en 2017 à 17,8 % en 2019. « L’industrie des cigarettes électroniques a créé un marché persuasif et attirant pour les jeunes; l’utilisation et la popularité croissantes des produits de vapotage menacent directement les progrès réalisés dans la lutte contre le tabagisme, continue Rob Cunningham. Les gouvernements ont l’occasion d’endiguer cette crise grandissante et nous les exhortons à agir rapidement et fermement. »
Au Canada, le tabagisme est la principale cause de maladie et de décès évitables. C’est pourquoi la SCC presse les gouvernements provinciaux de fixer l’âge légal à 21 ans. La vaste majorité des fumeurs commencent à fumer avant l’âge de 19 ans; beaucoup deviennent dépendants et le restent. Un rapport récent de l’Institute of Medecine américain a conclu que faire passer l’âge légal pour acheter des produits de tabac à 21 ans aux États-Unis entraînerait une réduction de 25 % du taux de tabagisme chez les jeunes de 15 à 17 ans et de 15 % chez les jeunes de 18 à 19 ans. (Cliquez ici)
La Société canadienne du cancer a déterminé une deuxième priorité, à savoir la nécessité d’accélérer la mise en œuvre de la stratégie en matière de soins palliatifs déjà approuvée et financée afin d’améliorer l’accès aux soins palliatifs pour la population du Nouveau-Brunswick, les personnes atteintes de cancer représentant environ 80 % des patients qui reçoivent des soins palliatifs.
À propos de la Société canadienne du cancer
La Société canadienne du cancer (SCC) est le seul organisme de bienfaisance national à soutenir les personnes touchées par tous les types de cancer, dans les communautés à travers le pays. Aucune autre organisation ne fait la même chose que nous. Nous sommes la voix des femmes et des hommes qui ont le cancer à cœur. Nous finançons des projets de recherche novateurs, nous fournissons un réseau d’aide pour toutes les personnes touchées par le cancer et nous incitons les gouvernements à apporter d’importants changements sociaux.
Ensemble, agissons contre le cancer. Appelez-nous au 1 888 939-3333 ou visitez cancer.ca aujourd’hui.
Pour plus d’information, veuillez contacter :
Analyste principal en matière de politiques
Société canadienne du cancer
Bureau national
Téléphone : 506.634.6276
Le ministre fédéral de la Santé cite les jus de vapotage dans son message pour la Semaine nationale de prévention des empoisonnements
Message du ministre de la Santé et de la ministre de la Santé mentale et des Dépendances et ministre associée de la Santé à l’occasion de la Semaine nationale de prévention des empoisonnements – Du 20 au 26 mars 2022
De : Santé Canada
Déclaration
Le 23 mars 2022 | Ottawa (Ontario) | Santé Canada
En cette Semaine nationale de la prévention des empoisonnements, nous tenons à rappeler à la population canadienne que de nombreux articles trouvés à la maison peuvent être toxiques et causer des dommages graves s’ils ne sont pas utilisés, entreposés ou éliminés correctement. En gardant à l’esprit le thème de cette année – Élaborez votre plan – Santé Canada encourage les Canadiens et Canadiennes à assurer la sécurité de leurs proches en comprenant quels produits sont toxiques et en vérifiant qu’ils sont entreposés en toute sécurité à la maison.
On estime que 90 % des empoisonnements non intentionnels et évitables ont lieu à la maison. Les jeunes enfants et les personnes ayant une déficience cognitive sont les plus susceptibles d’empoisonnement involontaire. Les effets des empoisonnements sur la santé peuvent varier grandement, allant de blessures temporaires à la mort, et dépendent des substances auxquelles la personne est exposée, de la quantité et du type de contact.
Trois des sources les plus souvent déclarées d’empoisonnement involontaire sont les produits de nettoyage ménagers comme les sachets de détergent, le cannabis et les liquides de vapotage contenant de la nicotine.
- Produits de nettoyage : Les produits de nettoyage couramment utilisés, comme les sachets de détergent pour la lessive et le lave-vaisselle, peuvent être toxiques. Ces petits paquets aux couleurs vives ont été pris pour des bonbons et avalés, ce qui a causé de graves blessures. Pour prévenir les empoisonnements, ces produits doivent être conservés dans leur contenant d’origine à l’épreuve des enfants et entreposés hors de la vue et de la portée.
- Cannabis : L’ingestion de cannabis est la cause la plus courante d’empoisonnement par le cannabis chez les enfants. Les résultats de l’Enquête canadienne sur le cannabis de 2021 montrent que 36 % des Canadiens et des Canadiennes qui possédaient du cannabis à la maison l’ont entreposé dans des armoires ou des tiroirs non verrouillés, et 17 % des Canadiens et des Canadiennes l’ont entreposé sur des tablettes ou des tables ouvertes. N’oubliez pas que les produits illégaux de cannabis comestibles sont souvent emballés pour ressembler à des produits alimentaires populaires, et peuvent facilement être confondus avec des bonbons ou d’autres aliments qui plaisent aux enfants. Achetez seulement du cannabis légal auprès de détaillants autorisés et entreposez-le hors de portée dans son emballage d’origine à l’épreuve des enfants.
- Liquide de vapotage : Le liquide de vapotage contenant de la nicotine est toxique, surtout pour les jeunes enfants. Même en petites quantités, il peut être très nocif s’il est avalé ou absorbé par la peau. Lorsque vous achetez un contenant de liquide de vapotage contenant de la nicotine, recherchez-en un qui a une fermeture à l’épreuve des enfants et un pictogramme de danger toxique avec la mise en garde « POISON », qui sont tous deux exigés par la loi.
L’entreposage sécuritaire des produits chimiques ménagers, du cannabis et des liquides de vapotage est essentiel pour réduire la probabilité d’empoisonnement à la maison.
Les empoisonnements peuvent survenir rapidement. En sachant quoi faire, vous pouvez sauver des vies. Si vous soupçonnez que vous ou quelqu’un de votre entourage avez été empoisonné, appelez immédiatement un centre antipoison ou composez le 911.
Nous tenons à remercier toute la population canadienne d’avoir contribué à rendre les milieux de vie, d’apprentissage et de jeu les plus sécuritaires possible pour nos familles.
Pour en savoir plus sur l’achat, l’utilisation, l’entreposage et l’élimination sécuritaires de médicaments, de produits de santé et de produits chimiques ménagers, consultez le site Web de Santé Canada.
L’honorable Jean-Yves Duclos, C.P., député
L’honorable Carolyn Bennett, C.P., députée
Le vapotage chez les adolescents canadiens a doublé en deux ans, selon une nouvelle étude
De nouvelles recherches révèlent que le vapotage chez les jeunes Canadiens a considérablement augmenté au cours des deux dernières années, et les experts disent qu’on observera aucun signe de ralentissement à moins qu’une réglementation plus stricte ne soit mise en place immédiatement.
Cet article n’est disponible qu’en anglais.
Les médecins demandent à la Cour fédérale de forcer Santé Canada à mettre un terme au retard de son examen de la Loi sur le tabac et les produits de vapotage
Les médecins demandent une ordonnance de la Cour fédérale pour forcer Santé Canada à se conformer à la Loi sur le tabac et les produits de vapotage |
UN RAPPORT OBLIGATOIRE QUI SE FAIT ATTENDRE AVEC PLUS DE CINQ MOIS DE RETARD |
Le 14 novembre 2022, Ottawa ― Un organisme national de bienfaisance du domaine de la santé a demandé aujourd’hui une ordonnance de la Cour fédérale sommant Santé Canada à mettre un terme au retard de son examen de la Loi sur le tabac et les produits de vapotage et d’en déposer les résultats devant le Parlement.
« La Loi ne pourrait être plus claire » a affirmé le Dr Atul Kapur, président de Physicians for a Smoke-Free Canada (PSC). « L’article 60 de la Loi sur le tabac et les produits de vapotage stipule que le ministre procède (la Loi en fait une obligation) à l’examen des dispositions et de l’application de la loi tous les deux ans, à compter de mai 2021, et fait déposer (encore là, une obligation) ses rapports devant le Parlement l’année qui suit le début de l’examen. » « Il y a maintenant plus de cinq mois depuis l’échéance fixée par la Loi pour que le premier rapport soit rendu public. Il est de plus en plus évident qu’en l’absence de directives de la Cour, le gouvernement continuera de faire fi de sa responsabilité de communiquer les conséquences de ses choix stratégiques sur le marché du tabac et de la nicotine. » Cet article est uniquement offert en anglais. |
Les projets de loi sur les arômes pour cigarettes électroniques et les licences de vente au détail du Nouveau-Brunswick ont été approuvés en troisième lecture
Au Nouveau-Brunswick, le projet de loi d’initiative parlementaire numéro 63 du critique libéral en matière de santé, Jean-Claude D’Amours, a été approuvé en troisième lecture, le jeudi 10 juin. Celui-ci comprend une interdiction des cigarettes électroniques contenant des arômes (autres que celui du tabac) et entrera en vigueur le 1er septembre 2021. Il a été approuvé en deuxième et troisième lectures, lors d’un vote par voix ouverte, et aucune opposition n’a été relevée. Il est possible de prendre connaissance des mesures intitulées Loi modifiant la Loi sur les ventes de tabac et Loi sur les ventes de tabac et de cigarettes électroniques ci-dessous : https://www.gnb.ca/legis/bill/FILE/60/1/Bill-63-f.htm
Le projet d’initiative parlementaire numéro 17 de Jean-Claude D’Amours numéro avait été déposé le 18 novembre 2020, sous le titre de Loi modifiant la Loi sur les ventes de tabac et Loi sur les ventes de tabac et de cigarettes électroniques. Celui-ci comprenait aussi une interdiction des arômes ajoutés aux cigarettes électroniques, autre que celui du tabac. Il a été approuvé en deuxième lecture, le 20 mai 2021, et examiné en comité, le 27 mai 2021. Au cours de l’exercice, le gouvernement envisageait certaines modifications techniques, dont l’examen a été toutefois mis en veilleuse. Au lieu de promouvoir davantage le projet de loi 17, Jean-Claude D’Amours a réintroduit son initiative sous le titre de projet de loi 63, le 1er juin 2021. Cette version comprenait des modifications et évitait au gouvernement l’obligation d’y apporter les siennes. Le projet a été approuvé en troisième lecture, le 3 juin, et présenté au comité, le 4 juin, où le chef de l’Alliance des gens, Kris Austen, a proposé d’exempter les arômes à la menthe et au menthol, une mesure qui a été rejetée. Le 10 juin, le projet de loi 63 a alors été approuvé dans son état original et sans modification, en troisième lecture.
Il est possible de prendre connaissance du projet de loi 17 ci-dessous : https://www1.gnb.ca/legis/bill/editform-f.asp?ID=1513&legi=60&num=1
Le projet de loi gouvernemental numéro 55, intitulé Loi modifiant la Loi sur les ventes de tabac et de cigarettes électroniques, a été approuvé en première lecture, le 11 mai 2021, et en troisième lecture, le 9 juin 2021. Cette initiative, qui entrera en vigueur le 4 janvier 2022, oblige les commerces spécialisés en produits de vapotage à détenir une licence de vente au détail. L’exigence ne vise pas tous les commerces qui vendent des cigarettes électroniques, tels que les dépanneurs, sur la même base selon laquelle les commerces qui vendent aussi des produits du tabac sont déjà tenus de détenir une licence provinciale de vente au détail. (La Nouvelle-Écosse exige que les commerces qui vendent, à la fois, des produits du tabac et des cigarettes paient des licences pour chacun). Il est possible de prendre connaissance du projet de loi 55 ci-dessous : https://www.gnb.ca/legis/bill/FILE/60/1/Bill-55-e.htm
LES RÉSULTATS D’UNE NOUVELLE ENQUÊTE MONTRENT QUE LES TAUX DE VAPOTAGE CHEZ LES JEUNES SE STABILISENT
Statistique Canada a publié les résultats de sa deuxième enquête annuelle sur le tabac et le vapotage. L’enquête canadienne sur le tabac et la nicotine a été menée pour une première fois à l’automne de 2019, puis en décembre 2020-janvier 2021 par la suite.
(en anglais seulement)
Monitoring the Future – National Adolescent Drug Trends in 2018 – University of Michigan Institute for Social Research – 2019 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
Les augmentations du taux de vapotage chez les adolescents de 2017 à 2018 ont été les plus importantes jamais enregistrées au cours des 43 dernières années aux États-Unis. Le pourcentage d’élèves de 12e année ayant déclaré avoir vaporisé de la nicotine au cours des 30 derniers jours a presque doublé, passant de 11% à 21%. Cette augmentation de dix points de pourcentage est deux fois plus importante que le précédent record d’augmentation la plus importante jamais enregistrée parmi les résultats des 30 derniers jours pour les élèves de la 12e année. De plus, un élève sur cinq en 12e année a pris de la nicotine au cours des 30 derniers jours de 2018.
Le taux de vapotage a plus que doublé dans chacune des trois années de 2017 à 2019. En 2019, 1 élève sur 4 en 12e année, 1 élève sur 5 en 11e année, et 1 élève sur 11 en 8e année, a pris de la nicotine au cours des 30 derniers jours.
POUR DE NOMBREUX JEUNES, 2021 EST L’ANNÉE POUR CESSER DE VAPOTER
Renverser une tendance culturelle toxique
Le vapotage était considéré comme cool auparavant, mais les temps changent. En tant qu’influenceuse, Victoria Annunziato déclare : « Comme plusieurs, j’ai commencé à utiliser la cigarette électronique lorsque j’étais jeune. Je n’avais aucune idée de ce qu’était la nicotine ni de la dépendance qu’elle pouvait créer. Je veux utiliser ma plateforme et entamer une conversation en parlant des vraies affaires sur ma propre expérience, afin que d’autres jeunes puissent éviter les pièges qui m’ont rendue dépendante ou arrêter de vapoter en même temps que moi s’ils le font déjà. J’espère que mon expérience inspirera et sensibilisera les gens. »
Cet article n’est disponible qu’en anglais.
Prevalence of vaping and smoking among adolescents in Canada, England, and the United States, David Hammond et al, British Medical Journal – 2019
Cette étude publiée dans le British Medical Journal a révélé une augmentation alarmante de 74% pour le taux d’utillisation des produits de vapotage les jeunes Canadiens de 16 à 19 ans d’août / septembre 2017 à août / septembre 2018. Le taux d’utilisation des produits de vapotage a aussi passé de 8,4% à 14,6% au cours des 30 derniers jours .
Communiqués de presse:
- Une étude conclut à une hausse spectaculaire de 74 % du taux de vapotage chez les jeunes au Canada – Société canadienne du cancer
- Study confirms epidemic e-cigarette rates and increase in tobacco use among youth– Heart & Stroke Foundation
- After decades of decline; tobacco once again butting into young lives – Canadian Lung Association
Public Health Consequences of E-Cigarettes – National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine – 2018 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
Des millions d’Américains utilisent des cigarettes électroniques, alors même que les taux de tabagisme des cigarettes de tabac combustibles continuent à diminuer chez les jeunes et les adultes. En 2016, l’usage de la cigarette électronique chez les jeunes était nettement supérieur à celui de la cigarette ou de tout autre produit du tabac. Le Centre for Tobacco Products du Food and Drug Administration a demandé à la National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine de convoquer un comité d’experts chargé d’examiner les preuves disponibles concernant les effets sur la santé liés à l’utilisation de cigarettes électroniques et d’identifier les futures besoins de recherche.
PUBLICATION DES RÉSULTATS DE L’ENQUÊTE CANADIENNE SUR LE TABAC ET LA NICOTINE, 2020
Le 17 mars 2021, les premiers résultats de l’Enquête canadienne sur le tabac et la nicotine (ECNT), 2020, ont été publiés. Vous trouverez ci-dessous des informations provenant de Statistique Canada. L’ECTN a été menée pour la première fois en 2019. La prévalence du tabagisme observée dans le cadre de l’ECTN a suivi une évolution inférieure à celle mesurée par l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes, dont la taille de l’échantillon est beaucoup plus importante.
En 2019, l’enquête a été effectuée entre le 8 décembre 2019 et le 16 janvier 2021.
Répercussions de la COVID-19 sur le tabagisme et le vapotage au Canada
À propos de ce rapport
Ce rapport présente les conclusions relatives aux changements de comportements des Canadiens en matière de tabagisme et de vapotage, aux comportements en matière d’abandon du tabac, aux croyances et aux perceptions liées à la COVID-19, et à la confiance à l’égard du gouvernement et des autorités sanitaires pendant les premiers stades de la pandémie de COVID-19. Les données proviennent de la troisième vague (2020) de l’enquête sur le tabagisme et le vapotage dans les quatre pays faisant partie du projet ITC menée auprès d’environ 7 800 fumeurs et vapoteurs adultes au Canada, en Australie, en Angleterre et aux États-Unis. Les conclusions de ce rapport reposent sur les données recueillies du 3 avril au 1er juin 2020. Les données proviennent des personnes interrogées qui ont répondu à une série de questions relatives à la COVID-19 ajoutées à l’enquête le 3 avril 2020, soit environ un mois après la déclaration de la pandémie mondiale.
Research on Electronic Cigarettes: Advertising and Promotion – Unité de recherche sur le tabagisme de l’Ontario (URTO) – 2020 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
Dans le cadre de ce projet, l’URTO a mené une enquête longitudinale auprès des jeunes et des jeunes adultes, une étude observationnelle sur les points de vente et une étude de groupe de discussion afin de recueillir des informations sur les changements dans la culture du vapotage. ainsi que les influences des environnements et du marketing.
Sales of JUUL e-cigarette skyrocket, posing danger to youth – Centre for Disease Control and Prevention – 2018 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
Les ventes de JUUL, une e-cigarette en forme de clé USB, ont été multipliées par sept entre 2016 et 2017 et détenaient la plus grande part du marché américain de la e-cigarette en décembre 2017. Les résultats, tirés d’une analyse du commerce de détail les données sur les ventes de 2013 à 2017 ont été publiées par les centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC).
Santé Canada annonce de nouvelles restrictions pour prévenir le vapotage chez les jeunes
La proposition limiterait les options d’arômes dans les produits de vapotage au Canada au tabac et à la menthe ou au menthol. Cette mesure aidera à réduire l’attrait du vapotage pour les jeunes, tout en offrant des solutions de rechange aux fumeurs adultes qui souhaitent faire ou qui ont déjà fait la transition vers le vapotage. La consultation durera 75 jours, du 18 juin 2021 au 2 septembre 2021. Une proposition ayant pour but de limiter les arômes autorisés dans les extraits de cannabis destinés à l’inhalation a été publiée dans la Partie I de la Gazette du Canada et sera assortie d’une consultation de 75 jours.
Santé Canada annonce également que le Règlement sur la concentration en nicotine dans les produits de vapotage sera publié dans la prochaine édition de la Partie II de la Gazette du Canada
Le règlement fixe une concentration maximale en nicotine de 20 mg/mL dans les produits de vapotage afin de les rendre moins attrayants pour les jeunes. Le Règlement interdit également l’emballage et la vente de produits de vapotage dont la concentration en nicotine des produits dépasse la limite. Les fabricants doivent se conformer à cette exigence avant le 8 juillet 2021; les détaillants ne pourront plus vendre des produits qui dépassent cette limite à partir du 23 juillet 2021.
The Tobacco and Vaping Products Act: Implications for E-Cigarette Point-of-Sale Promotion – Unité de recherche sur le tabac de l’Ontario – 2018 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
Les cigarettes électroniques sont maintenant commercialisées de manière agressive aux points de vente dans les magasins, avec et sans avertissement concernant les effets sur la santé et leur efficacité pour la cessation du tabac. Nos recherches suggèrent que les cigarettes électroniques sont promues de manière à attirer les jeunes et les jeunes adultes non fumeurs et que les magasins de vape constituent un canal majeur de commercialisation et de promotion des cigarettes électroniques à des fins récréatives. Compte tenu des propriétés de dépendance de la nicotine et des effets potentiels du vapotage sur la santé, il sera important d’étudier les effets de la Loi sur le tabac et les produits de vapotage sur l’utilisation des cigarettes électroniques par les non-fumeurs.
Trousse sur le vapotage: Association pulmonaire de la C.-B. – 2020
Le vapotage chez les jeunes a atteint des niveaux épidémiques, menaçant de créer une dépendance à la nicotine pour une nouvelle génération de jeunes canadiens. L’Association pulmonaire de la C.-B. a récemment établi un partenariat avec Vancouver Coastal Health et Fraser Health Authorities pour élaborer une trousse de prévention quant au vapotage.
Contenu:
- Infographie
- FAQ
- Information sur les produits de vapotage pour les parents
- Informations sur les produits de vapotage pour les enseignants
- Présentation Powerpoint
UN AN PLUS TARD : AVIS DES MÉDECINS HYGIÉNISTES EN CHEF DANS LE CADRE DU MERCREDI SANS TABAC
L’an dernier, environ six semaines avant que le Canada et le monde soient freinés par la pandémie de COVID-19, le Conseil des médecins hygiénistes en chef du Canada (CMHC) a émis une déclaration collective à propos du variant « vapotage », très transmissible, de la pandémie de tabagisme qui sévissait déjà.
Comme aujourd’hui, l’occasion était le Mercredi sans tabac.
Le mercredi 22 janvier 2020, le CMHC a diffusé sa troisième déclaration conjointe sur le « vapotage de la nicotine ». Il y invitait les gouvernements à réviser leur approche concernant les produits de vapotage et à autoriser ceux-ci seulement comme moyens de cesser l’utilisation de la nicotine. Le CMHC y formulait une vingtaine de recommandations « en matière de réglementation et de politiques qui, selon [lui], devraient être adoptées par les gouvernements fédéral, provinciaux/territoriaux et municipaux pour combattre cette menace pour la santé publique toujours en plein essor ».
Dans la dernière année, pratiquement tous les gouvernements ont renforcé les mesures de contrôle sur l’industrie du vapotage.
Depuis douze mois, sept provinces (Alberta, Colombie-Britannique, Nouvelle-Écosse, Terre-Neuve-et-Labrador, Ontario, Île-du-Prince-Édouard et Saskatchewan), trois territoires (Yukon, Territoires du Nord-Ouest et Nunavut) et le gouvernement fédéral ont imposé des restrictions réglementaires sur les cigarettes électroniques. Deux autres provinces (Nouveau-Brunswick et Québec) ont aussi annoncé leur intention de légiférer en ce sens.
Veeba : Dans Un Geste Inattendu, PMI Lance Des Appareils De Vapotage Jetables Au Canada
Cette semaine, les consommateurs et les organismes de réglementation en matière de santé canadiens font face à un important développement sur le marché du vapotage, au moment où la plus importante compagnie de tabac lance VEEBA — un appareil de vapotage jetable, abordable et haut de gamme.
Une option très abordable
À l’heure actuelle, le nouvel appareil de vapotage de PMI est le moins coûteux, sur le marché canadien.
Le prix de détail suggéré pour VEEBA est de 9,99$ — certains détaillants l’inscrivent actuellement à 7,99 $. (Au moment de l’imposition de la taxe fédérale en octobre prochain, le prix augmentera de 1 $, soit le montant appliqué aux contenants de 2 ml ou moins d’e-liquide.)
Cet article est offert en anglais.
Youth and Young Adult Vaping in Canada – Unité de recherche sur le tabac de l’Ontario – 2018 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
Dans le cadre du Fonds pour la recherche sur le système de santé, la subvention de recherche de l’OTRU sur les cigarettes électroniques et les pipes à eau (RECIG-WP) a permis de créer une étude par panel sur les jeunes et les jeunes adultes afin de comprendre ce qui se passe avec le temps chez les jeunes, en particulier les non-fumeurs. qui commence à vapoter. Dans ce bulletin, nous soulignons les résultats préliminaires de la collecte de données de base.
Ressources pour l’éducation du publique et la prévention
2021 Conférence sur l’AVC du N-B Dans l’ensemble et au-delà du continuum
DATE À RETENIR
Quand: Le jeudi 27 mai 2021
Où: Virtuel (Plus d’information à venir)
La Fondation des maladies du coeur et de l’AVC du NouveauBrunswick est heureuse de tenir la 7ième conférence annuelle sur l’AVC du Nouveau-Brunswick, en collaboration avec le Réseau de santé Horizon et le Réseau de santé Vitalité.
Cet événement virtuel hors pair rassemblera un groupe influent de spécialistes de l’AVC venus de partout au Canada, leur permettant de partager leurs connaissances et leur expérience en matière de pratiques exemplaires liées à l’AVC, dans l’ensemble et au-delà du continuum.
Les séances seront disponibles dans les deux langues officielles.
Présenté collectivement par : Réseau de santé Horizon et Réseau de santé Vitalité
À la lumière des résultats d’un nouveau sondage, la Société canadienne du cancer demande au gouvernement du Nouveau-Brunswick d’agir immédiatement contre le vapotage chez les jeunes
La Société canadienne du cancer exhorte l’Assemblée législative du Nouveau-Brunswick à adopter une loi sans tarder afin de contrer le vapotage et de prévenir la dépendance à la nicotine chez les jeunes. Cette demande vise à répondre aux préoccupations grandissantes liées au vapotage et au tabagisme chez les jeunes, comme l’indique le sondage provincial de 2021-2021 mené sur cette question auprès des 16 à 24 ans. L’auteur principal de l’Enquête pancanadienne est le Dr Mohammed Al-Hamdani de l’Association pulmonaire de la Nouvelle-Écosse. Ce sondage a été réalisé dans le but de mieux comprendre le comportement, les expériences et les préférences des jeunes utilisateurs de cigarettes électroniques au Nouveau-Brunswick.
Selon les résultats du sondage, 92 % des participants préfèrent actuellement utiliser des liquides à vapoter aromatisés, et 90 % ont commencé à fumer en utilisant du liquide à vapoter aromatisé. En outre, 48 % des participants qui préfèrent les liquides à vapoter aromatisés ont déclaré qu’ils ne continueraient pas à vapoter s’ils ne pouvaient pas acheter de liquides aromatisés. Par ailleurs, 88,4 % des répondants ont dit consommer actuellement du liquide à vapoter contenant de la nicotine, et 61,1 % des participants qui ont consommé des produits à base de nicotine ont utilisé ceux ayant la concentration maximale permise (50-60 mg/ml). Toujours selon ce sondage, 22,5 % des participants ont déclaré avoir acheté leur dispositif de vapotage auprès d’un ami, et 89,1 % ont dit avoir déjà partagé leur cigarette électronique avec quelqu’un d’autre.
Adoption du projet de loi no 48 de terre-neuve-et-Labrador relatif à la taxe sur les cigarettes électroniques, qui entrera en vigueur le 1er janvier 2021
À Terre-Neuve-et-Labrador, le projet de loi no 48, Loi modifiant la Loi sur l’administration du revenu no 4, a franchi l’étape de la troisième lecture le 2 novembre 2020 et a reçu la sanction royale le 5 novembre 2020. Cette loi instaure une taxe provinciale sur les cigarettes électroniques (20 % du prix de détail) et entrera en vigueur le 1er janvier 2021. Le projet de loi peut être consulté ici :
Veuillez noter que cet article n’est disponible qu’en anglais.
Annonce : Nouveau Site Web Pour Le Programme Live Well | Bien Vivre
Un nouveau site web pour le programme Live Well | Bien Vivre a été lancé.
LWBV est un programme fondé sur des faits probants qui fait appel à des pratiques optimales pour favoriser le changement de comportement en matière de santé dirigé par le client. Notre service de coaching santé professionnel est offert gratuitement, en français et en anglais, à tous les Néo-Brunswickois de 19 ans et plus.
Arrêtons le vapotage chez les jeunes – Fondation des maladies du coeur et de l’AVC – 2020
Campagne et site de sensibilisation incitant à l’action contre le vapotage chez les jeunes.
Campagne: «Flavoured Vapes Hooks Kids» – Association pulmonaire et Fondation des maladies du coeur et de l’AVC – 2020 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
L’Association pulmonaire du Canada et la Fondation des maladies du coeur et de l’AVC ont créé une crème glacée à saveur unique pour avertir les parents des dangers du vapotage.
Dans sa dernière campagne de sensibilisation, «Flavoured Vapes Hook Kids», un camion de crème glacée vend un dessert aromatisé à la nicotine près du Rogers Centre de Toronto et capte les réactions scandalisées.
Les deux organismes de bienfaisance pour la santé avertissent que même si certains adultes peuvent utiliser des produits de vapotage pour arrêter de fumer, l’ajout de saveurs «délicieuses» attrayantes et discrètement emballées les a rendues attrayantes pour les jeunes et faciles à cacher des parents, enseignants et autres adultes.
Campagne: Vape-Free Schools – District scolaire anglophone du Sud (Nouveau-Brunswick) – 2019 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
Développé par le district scolaire anglophone du Sud, cette trousse comprend:
- Lettre aux parents
- Outils de communication
- Mini-leçons sur le vapotage (Powerpoint)
Contactez Joyce Walker Haley – Infirmière, District scolaire anglophone du Sud, pour plus d’informations ou pour en obtenir une copie (joyce.walker-haley@gnb.ca).
CŒUR + AVC LANCE UNE CAMPAGNE DEMANDANT AU GOUVERNEMENT FÉDÉRAL DE COMBATTRE LE VAPOTAGE CHEZ LES JEUNES
Cœur + AVC a lancé une campagne de sensibilisation en ligne insistant sur une intervention fédérale contre le vapotage et la consommation de cigarettes électroniques aromatisées chez les jeunes. Lancée à l’origine en début mars, la campagne a été déployée en ligne pendant une semaine, avant que la COVID-19 n’attire ailleurs l’attention publique.
La campagne de Cœur + AVC donne aux Canadiens l’occasion d’envoyer personnellement une lettre par courriel aux représentants du gouvernement fédéral, y compris à leur député et à la ministre de la Santé.
Cœur + AVC se réjouit des mesures en santé présentées dans le budget fédéral de 2022
NOUVELLES FOURNIES PAR
Fondation des maladies du cœur et de l’AVC
Avr 07, 2022, 20:52 ET
Une taxe sur les produits de vapotage aidera à les garder hors de la portée des jeunes
OTTAWA, ON, le 7 avril 2022 /CNW/ – Cœur + AVC est heureuse de constater que le budget fédéral de 2022 comporte plusieurs éléments liés à la promotion de la santé, notamment l’imposition d’une taxe sur les produits de vapotage, l’engagement continu à l’égard de l’assurance-médicaments et l’amélioration de l’accès à des aliments nutritifs dans les écoles grâce à une politique alimentaire nationale en milieu scolaire.
La crise du vapotage chez les jeunes est bien réelle. Au pays, 1 élève sur 5 de la 1re secondaire à la 1re année de cégep (l’équivalent de la 7e à la 12e année) vapote. Récemment, une étude subventionnée par Cœur + AVC portant sur le comportement et les préférences des jeunes en matière de vapotage a révélé que les produits de vapotage sont très abordables pour les jeunes.
« Avec des prix plus élevés, les produits de vapotage seront moins abordables pour les jeunes et donc moins accessibles, déclare Doug Roth, chef de la direction, Cœur + AVC. Les jeunes méritent d’être protégés contre ces produits addictifs et augmenter les taxes est un des moyens les plus efficaces d’y arriver. »
Les droits d’accise sur les produits de vapotage seront appliqués à partir du 1er octobre 2022. Dans son budget, le gouvernement fédéral invite également ses homologues provinciaux et territoriaux à prendre part à un cadre coordonné de la taxation des produits de vapotage, en vertu duquel un droit supplémentaire correspondant au taux fédéral proposé serait appliqué.
Cœur + AVC souhaite que d’autres mesures soient annoncées prochainement pour protéger davantage les jeunes, notamment l’interdiction d’ajouter des arômes dans les produits de vapotage, ce qui les rend plus attrayants pour les jeunes, y compris les arômes de menthe et de menthol. Les arômes incitent les jeunes à commencer à vapoter et à continuer de le faire.
Nous applaudissons également le renouvellement de l’engagement à mettre en œuvre un programme d’assurance-médicaments national par le dépôt d’un projet de loi d’ici 2023 ainsi que l’élaboration d’une liste des médicaments admissibles et d’un plan d’achat en gros. L’assurance-médicaments est un élément essentiel des soins de santé. Au pays, 7,5 millions de personnes ont une assurance-médicaments insuffisante ou inexistante.
En raison des défis considérables qu’a entraînés la pandémie pour de nombreuses personnes, y compris celles atteintes de maladies chroniques comme les maladies du cœur et l’AVC, ainsi que leurs aidants, il est plus important que jamais de mettre l’accent sur des politiques publiques en santé.
Considère les conséquences du vapotage – Santé Canada – 2019
Campagne destinée aux jeunes pour faire face au problème de la hausse alarmante du taux de vapotage chez ce groupe démographique. De nombreux outils utiles sont à la disposition des parents et des éducateurs pour leur permettre de parler de vapotage avec les adolescents.
Constatation d’un médecin d’Horizon : Des cas de maladies pulmonaires attribuables au vapotage – Avis émis par Dr. Joseph Ojah
Par Dr Joseph Ojah, chirurgien thoracique, L’Hôpital de Moncton
Chez les adultes, le vapotage sert parfois d’outil pratique dans le cadre de modèles d’abandon du tabac axés sur la réduction des méfaits. Mais les graves conséquences de la soudaine popularité du vapotage sur la santé des jeunes non fumeurs font couler de plus en plus d’encre.
Puisque le vapotage est une « mode » assez récente, ses effets à long terme sur la structure et la composition des tissues fragiles des poumons demeurent incompris.
Les personnes qui vapotent inhalent toutes sortes de substances, notamment des produits chimiques en aérosol, des particules ultrafines, des composés volatils, des métaux lourds et d’autres ingrédients nocifs comme la nicotine, une substance addictive qui modifie le fonctionnement du cerveau. Toutes ces substances ont de graves effets sur la santé.
La montée en flèche du nombre d’adeptes du vapotage a donné lieu à la publication de rapports alarmants partout aux États-Unis et au Canada faisant état du nombre croissant de vapoteurs qui, au cours de la dernière année, ont dû être hospitalisés aux soins intensifs et branchés à un ventilateur mécanique.
En tant que chirurgien thoracique, je commence moi aussi à constater chez mes patients l’apparition de maladies pulmonaires attribuables au vapotage, comme l’inflammation et la destruction de tissus.
De nouvelles études longitudinales démontrent qu’il y a peu d’éléments permettant de soutenir que les cigarettes électroniques constituent un moyen efficace de cessation tabagique au sein de la population
Jusqu’à présent, les données canadiennes, comme celles des États-Unis, ne permettent pas de conclure que le vapotage est une méthode efficace de cessation tabagique pour la population.
Cet article n’est disponible qu’en anglais.
Dépliant – Vapotage – Soyez conscient des risques – Association pulmonaire du Nouveau-Brunswick – 2019
Dépliant avec des renseignements pour le publique créé par l’Association pulmonaire du Nouveau-Brunswick. Très utile pour les parents à partager avec leurs enfants / adolescents et pour les enseignants à partager avec leurs élèves.
Énoncé: Protecting Youth from the Vaping Crisis – Fondation des maladies du coeur et de l’AVC – 2020 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
Enoncé produit par la Fondation des maladies du coeur du Canada.
ENTRÉE EN VIGUEUR DE L’INTERDICTION DES CIGARETTES ÉLECTRONIQUES AU NOUVEAU-BRUNSWICK LE 1ER SEPTEMBRE 2021
Communiqué
Santé
Interdiction des produits de vapotage aromatisés
30 août 2021
FREDERICTON (GNB) – Le gouvernement provincial vise à freiner la hausse du vapotage chez les adolescents en interdisant la vente de produits de vapotage aromatisés, à l’exception des produits aromatisés au tabac, à compter du 1er septembre.
Les produits de vapotage sont actuellement offerts dans une gamme d’arômes comme la gomme à mâcher, le chocolat, la barbe à papa et la mangue. Selon des recherches compilées par Santé Canada, plus de la moitié des jeunes interrogés ont déclaré que l’arôme et l’odeur étaient les principales raisons pour lesquelles ils essayaient ces produits. À compter du 1er septembre, seuls les produits aromatisés au tabac pourront être vendus au Nouveau-Brunswick.
Le vapotage a été commercialisé auprès des adultes comme une solution de rechange plus sûre à la cigarette, mais la plupart des produits aromatisés contiennent tout de même de la nicotine. Certains de ces produits ont un taux de nicotine égal ou supérieur à celui des cigarettes.
« Le vapotage n’est pas inoffensif », a déclaré la ministre de la Santé, Dorothy Shephard. « Ces produits contiennent des produits chimiques nocifs et de la nicotine. »
Le nombre de jeunes qui consomment des produits de vapotage augmente rapidement. Selon une enquête menée par le Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick en 2018-2019, 29 pour cent des élèves ont déclaré avoir essayé la cigarette électronique au cours des 30 derniers jours, comparativement à 22 pour cent trois ans auparavant.
Mme Shephard a indiqué que de nouvelles recherches indiquent que les jeunes qui vapotent sont deux fois plus susceptibles d’essayer de fumer et qu’ils ont presque deux fois plus de risques de devenir des fumeurs quotidiens dans l’année à venir.
« Nous devons donner à nos adolescents le meilleur départ possible dans la vie, a affirmé Mme Shephard. Nous devons créer un environnement dans lequel les enfants ne sont pas constamment exposés au vapotage. Et nous devons soutenir ces jeunes qui luttent déjà contre une dépendance en leur fournissant les ressources dont ils ont besoin pour arrêter de fumer. »
Des services de counseling pour les personnes qui veulent cesser de fumer ou de vapoter sont offerts par Vivez sans fumée NB au 1-866-366-3667.
Pour signaler les détaillants qui vendent des produits de vapotage aromatisés ou qui vendent tout produit de vapotage à des mineurs, composez le 1-866-234-4234.
Influenceurs en ligne – Considère les conséquences du vapotage – 2019
Des influenceurs ciblant les adolescents diffusent des messages sur la prévention du vapotage auprès de leurs abonnés sur YouTube et Instagram.
Journée mondiale sans tabac 31 mai 2021
Journée mondiale sans tabac 31 mai 2021
La journée mondiale sans tabac est organisée dans le monde entier, chaque année le 31 mai. Cette journée mondiale est axée sur les dangers du tabac pour la santé et sur l’action antitabac menée par l’OMS.
L’OMS a institué la Journée mondiale sans tabac en 1987 pour faire mieux connaître, partout dans le monde, l’épidémie de tabagisme et ses effets mortels. Le tabagisme est la plus importante épidémie évitable à laquelle les soignants sont confrontés.
Engagez-vous à arrêter !
La pandémie de COVID-19 a poussé des millions de consommateurs de tabac à dire qu’ils voulaient arrêter de fumer. Cette campagne s’appuiera sur des groupes d’anciens consommateurs pour apporter un soutien à au moins 100 millions de personnes qui s’efforcent de renoncer au tabac.
Plus de 100 raisons d’arrêter de fumer
Le tabac est responsable de huit millions de décès chaque année. Lorsque, cette année, il a été démontré que les fumeurs risquaient davantage de contracter une forme sévère de la COVID-19 que les non-fumeurs, des millions de fumeurs ont eu envie de se libérer du tabac.
Il peut être difficile d’arrêter de fumer, notamment en raison du stress social et économique supplémentaire qui a découlé de la pandémie ; cependant, les raisons pour le faire sont nombreuses.
JOURNÉE MONDIALE SANS TABAC – 31 MAI 2020- Protéger les jeunes contre les manipulations de l’industrie et prévenir leur consommation de tabac et de nicotine
Chaque année, le 31 mai, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et ses partenaires mondiaux marquent la Journée mondiale sans tabac. Cette campagne annuelle est l’occasion de sensibiliser aux effets nocifs et mortels de l’exposition au tabagisme et à la fumée secondaire ainsi que de décourager la consommation du tabac sous quelque forme que ce soit.
La Journée mondiale sans tabac 2020 se concentre sur «la protection des jeunes contre la manipulation de l’industrie et prévenir leur consommation de tabac et de nicotine».
La campagne mondiale de la Journée mondiale sans tabac 2020 servira à:
- Éliminer les mythes et révéler les tactiques de manipulation employées par l’industrie du tabac et les industries connexes, en particulier les tactiques de marketing ciblant les jeunes, notamment par l’introduction de nouveaux produits, de saveurs et d’autres caractéristiques attrayantes;
- Fournir aux jeunes des connaissances sur les intentions et les tactiques des industries du tabac et des industries connexes pour accrocher les générations actuelles et futures aux produits du tabac et de la nicotine; et
- Donner aux influenceurs (dans la culture pop, sur les réseaux sociaux, à la maison ou en classe) les moyens de protéger et de défendre les jeunes et de catalyser le changement en les engageant dans la lutte contre le Big Tobacco
Cet article n’est disponible qu’en anglais
JUUL.CA HAUSSE À 21 ANS L’ÂGE MINIMUM POUR TOUTES SES VENTES EN LIGNE, AU CANADA
Le lundi 22 novembre 2021, Juul Canada a haussé à 21 ans l’âge minimum pour toutes ses ventes en ligne, au Canada — www.juul.ca.
Cette mesure s’applique même aux provinces et aux territoires, dont l’âge minimum est de 18 ou 19 ans. À ce jour, l’Île-du-Prince-Édouard est la première et seule province canadienne à avoir haussé à 21 ans, l’âge pour se procurer des produits du tabac et de vapotage.
L’OMS annonce que le tabagisme peut augmenter vos chances de contracter Covid-19
L’utilisation de produits du tabac peut augmenter vos chances de contracter la COVID-19. Porter vos mains à votre bouche peut transférer le virus dans votre corps. Le partage des produits du tabac peut transmettre le virus entre les personnes. Le tabac affaiblit votre système respiratoire et vous rend plus vulnérable au coronavirus.
Cette ressource n’est disponible qu’en anglais.
L’étude 2020- 2021 Youth and Young Adult Vaping Project
RÉSUMÉ
Contexte : L’usage de la cigarette électronique (« vapoteuse ») est à la hausse. L’étude 2020- 2021 Youth and Young Adult Vaping Project, menée par la Lung Association of Nova Scotia et Smoke-Free Nova Scotia avec l’appui financier de Cœur + AVC, visait à examiner les habitudes et expériences de vapotage ainsi que les préférences de consommation des jeunes et des jeunes adultes vapoteurs au Canada.
Méthodologie : Au moyen d’un sondage en ligne, 3034 vapoteurs réguliers (ayant consommé un produit de vapotage au moins une fois par semaine au cours des trois derniers mois), âgés de 16 à 24 ans et résidant dans l’une des 10 provinces canadiennes (Alberta, Colombie-Britannique, Manitoba, Nouveau-Brunswick, Terre-Neuve-et-Labrador, Nouvelle-Écosse, Ontario, Île-duPrince-Édouard, Québec et Saskatchewan) ont été interrogés sur leurs habitudes de vapotage (p. ex., nombre de journées de vapotage par semaine, nombre de séances de vapotage par jour et nombre de bouffées par séance de vapotage), leurs expériences (p. ex., consommation combinée d’autres substances), ainsi que leurs préférences de consommation en ce qui a trait aux produits (p. ex., taux de nicotine). Ce rapport présente les réponses détaillées de l’ensemble de l’échantillon, ainsi que les résultats répartis par âge, genre et région.
Résultats : L’échantillon analysé était constitué de 3 009 répondants. En moyenne, ils ont commencé à vapoter à l’âge de 15,79 ans. Plus de la moitié d’entre eux (53,1 %) disent avoir tenté d’arrêter de vapoter, souvent à plusieurs reprises, en vain. Le vapoteur moyen vapote six jours par semaine et 30 fois par jour, prenant environ six bouffées par séance. Depuis le déclenchement de la pandémie de COVID-19, les répondants affirment vapoter moins souvent au cours d’une semaine (cinq jours de vapotage) et par jour (23 séances quotidiennes, une baisse marquée), mais le nombre de bouffées par séance demeure essentiellement le même. Les répondants dépensent en moyenne entre 13 $ et 22 $ par semaine sur les produits de vapotage. L’écrasante majorité d’entre eux disent avoir utilisé la vapoteuse d’un autre consommateur (97,8 %) et avoir prêté leur propre vapoteuse (92,2 %). Ces derniers estiment que le nombre moyen de personnes ayant utilisé leur vapoteuse prêtée s’élève à 20. La moitié (50,6 %) des répondants affirment par ailleurs avoir ressenti un effet néfaste du vapotage sur leur santé. La majorité des jeunes déclarent avoir été exposés à des publicités liées au vapotage sur les plateformes des médias sociaux (70,5 %). Une majorité de répondants utilisent des dispositifs de vapotage de type « pods » (64,9 %). La quasi-totalité des vapoteurs se sont initiés au vapotage en consommant un liquide à vapoter aromatisé (91,9 %) et continuent d’en consommer aujourd’hui (90,3 %). Dans la plupart des provinces, les arômes les plus populaires auprès des jeunes – au moment de leur initiation et dans leur consommation actuelle – sont les baies, la mangue et la menthe ou le menthol. La majorité des vapoteurs consomment du liquide à vapoter contenant le taux de nicotine le plus élevé sur le marché (50 à 60 mg/ml) 1 (64,3 %). En ce qui a trait à la consommation de tabac, 64,1 % des répondants sont d’anciens fumeurs et 11,8 % continuent de fumer le tabac, ces derniers consommant en moyenne 17 cigarettes par semaine. Une proportion notable de répondants (36,4 %) disent connaître une personne ayant commencé à fumer du tabac après avoir été initiée au vapotage. Au cours des 30 derniers jours, la consommation de cannabis (17 jours de consommation) est plus courante que la consommation d’alcool (7 jours de consommation).
Conclusion : Il s’agit du premier échantillon de recherche constitué de répondants provenant de toutes les provinces canadiennes. L’analyse de l’échantillon entier révèle des habitudes de vapotage préoccupantes chez les jeunes et les jeunes adultes. Les vapoteurs réguliers rapportent des habitudes et expériences de vapotage similaires d’une province à l’autre, bien que l’on constate un certain nombre de différences notables sur le plan individuel et régional. Dans le présent rapport, nous discutons de nos résultats et de leur application possible dans l’élaboration d’options viables en matière de politiques visant à limiter l’attrait du vapotage et à restreindre l’usage de la cigarette électronique chez les jeunes et les jeunes adultes canadiens. Ces politiques pourraient comprendre l’interdiction complète des arômes, l’imposition d’une limite du taux de nicotine à 20 mg/ml, l’augmentation des taxes sur les produits de vapotage et la hausse de l’âge minimum d’achat à 21 ans.
1 Pour ceux spécifiant la teneur exacte de nicotine dans leur liquide à vapoter.
L’île-Du-Prince-Édouard Interdira Les Cigarettes Électroniques Aromatisées Dès Le 1er Mars 2021
L’Île-du-Prince-Édouard sera ainsi la deuxième province canadienne à officialiser une interdiction complète des produits de vapotage aromatisés. L’interdiction prendra effet au début du mois de mars prochain, après quoi seule la vente de cigarettes électroniques à saveur de tabac sera légale.
La décision rendue se trouve dans le décret (Order in Council) EC2020-489, signé le 11 août 2020 :
- L’article 1.1 de la réglementation de la Loi sur la vente et l’accessibilité des dispositifs d’utilisation du tabac et des cigarettes électroniques [Tobacco and Electronic Smoking Device Sales and Access Act Regulations] (EC538/15) est révoqué et remplacé par ce qui suit : 1.1 Pour l’application de l’article 3.1 de la Loi [the Act], un agent ajouté au tabac ou à un dispositif de cigarette électronique visant à donner une saveur ou un goût autre que la saveur ou le goût du tabac, y compris une saveur ou un goût de bonbons, de chocolat, de fruits, d’épices, d’herbes, de boissons alcoolisées, de vanille ou de menthol, sera considéré comme un aromatisant .
- Cette réglementation entrera en vigueur le 1ermars 2021.
Cette année, l’Île-du-Prince-Édouard fait figure de pionnier en matière de réforme des mesures antitabac. En mars dernier, elle a été la première province au Canada à établir l’âge légal à 21 ans pour l’utilisation des produits de vapotage et du tabac, et elle a retiré les produits de vapotage des rayons des détaillants généralistes. Depuis le mois de mars, seules des boutiques spécialisées peuvent vendre des cigarettes électroniques dans la province.
À ce jour, une seule autre province (la Nouvelle-Écosse) a interdit la vente de cigarettes électroniques aromatisées. Deux autres (la Colombie-Britannique et l’Ontario) ont limité la vente de produits aromatisés aux boutiques spécialisées.
Fiches techniques mises à jour : (disponible uniquement en anglais)
▪ | Aperçu : restrictions provinciales sur les produits de vapotage |
▪ | Historique de la réglementation du vapotage |
La cigarette électronique au Canada – Fondation des maladies du coeur et de l’AVC – 2018
Enoncé sur les cigarettes électroniques contenant des renseignements pour sensibiliser le publique, produit par la Fondation des maladies du coeur du Canada.
LA CONFORMITÉ À LA LOI DE L’INDUSTRIE DU VAPOTAGE AU CANADA
La semaine dernière, Santé Canada a publié les résultats des inspections qu’elle a menées des comptes Instagram des fournisseurs canadiens de produits de vapotage, auxquelles un peu plus de la moitié (53 %) des 304 entreprises ont échoué.
L’industrie s’en est un peu mieux tirée qu’à l’issue de la ronde antérieure d’inspections de ses détaillants, menée au cours de l’été et de l’automne 2019. En effet, moins d’une boutique spécialisée de vapotage sur cinq avait réussi (alors que la grande majorité des dépanneurs avaient passé le test).
Conséquences pour la santé publique
L’industrie du vapotage canadienne s’est développée sur le marché noir et semble poursuivre ses activités avec un certain mépris des mesures législatives en matière de santé adoptées par les gouvernement fédéral et provinciaux.
Les trois rapports d’inspection publiés par Santé Canada font état du défi auquel les gouvernements font face en ce qui a trait à la conception de normes sur la vente de ces produits.
Les preuves supplémentaires issues de notre examen des sites web gérés par les chefs de l’industrie nous portent à croire que la non-conformité est attribuable davantage à un manque de respect qu’à un manque de compréhension des règles.
En 2019, Santé Canada a écrit aux détaillants de produits de vapotage, insistant sur le fait que ce « niveau de non-conformité est inacceptable ». Toutefois, à ce jour, le Ministère semble s’être surtout centré sur l’envoi de lettres de mise en garde, tout en s’abstenant d’imposer des amendes pour la non-conformité. Le Parlement a fixé d’importantes pénalités pour le non-respect de la loi (jusqu’à 500 000 $), mais celles-ci ne peuvent s’appliquer qu’à la seule condition que le gouvernement fédéral poursuive les contrevenants en justice.
À l’heure actuelle, les directions de santé publique ne peuvent pas compter sur la volonté des fournisseurs de se conformer aux mesures législatives en matière de santé. Il est justifié de recourir à un renforcement accru des interventions et d’envisager d’autres méthodes de gestion de ce marché.
Le présent article est offert en anglais seulement.
La COVID, les jeunes et la consommation de substances psychoactives : des messages capitaux aux jeunes et à leur famille
La Société canadienne de pédiatrie a publié un nouvel article qui encourage les pédiatres et les autres professionnels de la santé, qui travaillent avec les jeunes et les familles, à communiquer le message que le tabagisme et le vapotage peuvent augmenter leur risque de contracter l’infection à la COVID-19.
La Ministre Appuie La Hausse De L’âge Légal Pour Le Vapotage et le Tabagisme — La Ministre De La Santé, Dorothy Sheppard, Dit Avoir Discuté De La Hausse De L’âge Minimum À 21 Ans
La ministre appuie la hausse de l’âge légal pour le vapotage et le tabagisme — la ministre de la Santé, Dorothy Sheppard, dit avoir discuté de la hausse de l’âge minimum à 21 ans; exclusif
Le Telegraph Journal du Nouveau-Brunswick
Par John Chilibeck
Le 8 juillet 2022
La ministre de la Santé du Nouveau-Brunswick affirme être ouverte à l’idée d’interdire la vente des produits du tabac et de vapotage aux jeunes de moins de 21 ans.
Cet article est offert en anglais.
La Nouvelle-Écosse devient la première province à adopter une concentration maximale de nicotine de 20 mg / ml
Le Règlement sur l’accès au tabac peut être consulté ici (les modifications entrent en vigueur le 1er septembre 2020):
La Santé publique du Réseau de santé Vitalité s’attaque au vapotage – Nouvelle campagne de sensibilisation!
Campagne de sensibilisation au vapotage lancée en février 2020 par la Santé publique du Réseau de santé Vitalité afin d’encourager les parents à discuter avec leurs jeunes de l’ensemble des risques rattachés à cette pratique populaire. La campagne comprend un dépliant pour les parents, ainsi que des vidéos et des infographies.
La Science S’est Prononcée : Le Moment Est Venu De Mettre À Jour Les Messages Aux Canadiens
Depuis 2018, d’autres gouvernements ont mis sur pied des comités de spécialistes, afin d’examiner le nombre croissant de preuves. Il en émerge un consensus scientifique indiquant que le vapotage est dangereux, et qu’il ne représente pas un moyen particulièrement efficace en ce qui a trait à l’abandon du tabac. Bien qu’aucun document unique faisant autorité n’ait réuni ces études systématiques, méta-analyses et rapports d’autorités sanitaires, il ressort maintenant ce qui suit :
1. | Les cigarettes électroniques ont accru le nombre de jeunes consommateurs de nicotine, dans certains pays. |
2. | Les jeunes qui utilisent les cigarettes électroniques sont plus enclins à fumer des cigarettes traditionnelles. |
3. | Le double usage est répandu et nuisible. |
4. | Lorsqu’elles sont achetées comme produits de consommation, les cigarettes électroniques ne s’avèrent pas des aides efficaces à l’abandon. |
5. | Les cigarettes électroniques causent des dommages aux systèmes respiratoire et circulatoire. |
6. | D’autres gouvernements ont fourni des évaluations scientifiques plus récentes. |
7. | Les messages de Santé Canada sur les cigarettes électroniques sont dépassés. |
Le ministre fédéral de la Santé cite les jus de vapotage dans son message pour la Semaine nationale de prévention des empoisonnements
Message du ministre de la Santé et de la ministre de la Santé mentale et des Dépendances et ministre associée de la Santé à l’occasion de la Semaine nationale de prévention des empoisonnements – Du 20 au 26 mars 2022
De : Santé Canada
Déclaration
Le 23 mars 2022 | Ottawa (Ontario) | Santé Canada
En cette Semaine nationale de la prévention des empoisonnements, nous tenons à rappeler à la population canadienne que de nombreux articles trouvés à la maison peuvent être toxiques et causer des dommages graves s’ils ne sont pas utilisés, entreposés ou éliminés correctement. En gardant à l’esprit le thème de cette année – Élaborez votre plan – Santé Canada encourage les Canadiens et Canadiennes à assurer la sécurité de leurs proches en comprenant quels produits sont toxiques et en vérifiant qu’ils sont entreposés en toute sécurité à la maison.
On estime que 90 % des empoisonnements non intentionnels et évitables ont lieu à la maison. Les jeunes enfants et les personnes ayant une déficience cognitive sont les plus susceptibles d’empoisonnement involontaire. Les effets des empoisonnements sur la santé peuvent varier grandement, allant de blessures temporaires à la mort, et dépendent des substances auxquelles la personne est exposée, de la quantité et du type de contact.
Trois des sources les plus souvent déclarées d’empoisonnement involontaire sont les produits de nettoyage ménagers comme les sachets de détergent, le cannabis et les liquides de vapotage contenant de la nicotine.
- Produits de nettoyage : Les produits de nettoyage couramment utilisés, comme les sachets de détergent pour la lessive et le lave-vaisselle, peuvent être toxiques. Ces petits paquets aux couleurs vives ont été pris pour des bonbons et avalés, ce qui a causé de graves blessures. Pour prévenir les empoisonnements, ces produits doivent être conservés dans leur contenant d’origine à l’épreuve des enfants et entreposés hors de la vue et de la portée.
- Cannabis : L’ingestion de cannabis est la cause la plus courante d’empoisonnement par le cannabis chez les enfants. Les résultats de l’Enquête canadienne sur le cannabis de 2021 montrent que 36 % des Canadiens et des Canadiennes qui possédaient du cannabis à la maison l’ont entreposé dans des armoires ou des tiroirs non verrouillés, et 17 % des Canadiens et des Canadiennes l’ont entreposé sur des tablettes ou des tables ouvertes. N’oubliez pas que les produits illégaux de cannabis comestibles sont souvent emballés pour ressembler à des produits alimentaires populaires, et peuvent facilement être confondus avec des bonbons ou d’autres aliments qui plaisent aux enfants. Achetez seulement du cannabis légal auprès de détaillants autorisés et entreposez-le hors de portée dans son emballage d’origine à l’épreuve des enfants.
- Liquide de vapotage : Le liquide de vapotage contenant de la nicotine est toxique, surtout pour les jeunes enfants. Même en petites quantités, il peut être très nocif s’il est avalé ou absorbé par la peau. Lorsque vous achetez un contenant de liquide de vapotage contenant de la nicotine, recherchez-en un qui a une fermeture à l’épreuve des enfants et un pictogramme de danger toxique avec la mise en garde « POISON », qui sont tous deux exigés par la loi.
L’entreposage sécuritaire des produits chimiques ménagers, du cannabis et des liquides de vapotage est essentiel pour réduire la probabilité d’empoisonnement à la maison.
Les empoisonnements peuvent survenir rapidement. En sachant quoi faire, vous pouvez sauver des vies. Si vous soupçonnez que vous ou quelqu’un de votre entourage avez été empoisonné, appelez immédiatement un centre antipoison ou composez le 911.
Nous tenons à remercier toute la population canadienne d’avoir contribué à rendre les milieux de vie, d’apprentissage et de jeu les plus sécuritaires possible pour nos familles.
Pour en savoir plus sur l’achat, l’utilisation, l’entreposage et l’élimination sécuritaires de médicaments, de produits de santé et de produits chimiques ménagers, consultez le site Web de Santé Canada.
L’honorable Jean-Yves Duclos, C.P., député
L’honorable Carolyn Bennett, C.P., députée
Les fumeurs et les vapoteurs pourraient être plus à risque pour la Covid-19
Les produits du tabac et de la marijuana endommagent les poumons, là où le virus fait son mal. Les responsables de la santé exhortent les gens à cesser de fumer des discussions sont en cours aux États-Unis concernant l’interdiction temporaire de la vente de ces produits.
Cet article n’est disponible qu’en anglais.
Licence provinciale de la Nouvelle-Écosse pour les détaillants de cigarettes électroniques en vigueur le 1er juillet
Le 23 juin 2020, le Règlement de la Nouvelle-Écosse 91/2020 a été adopté, modifiant le Revenue Act Regulations. Ces règlements sont liés à l’octroi de licences provinciales aux détaillants et aux grossistes de cigarettes électroniques, qui est entré en vigueur le 1er juillet 2020. Le gouvernement vise le 1er août 2020 pour une mise en œuvre complète avant l’entrée en vigueur de la taxe sur les cigarettes électroniques de la Nouvelle-Écosse. Sept 15, 2020. Il y aura des frais de licence de 124,60 $ sur trois ans pour les détaillants de cigarettes électroniques. Vous trouverez ci-dessous un communiqué de presse du gouvernement de la Nouvelle-Écosse.
Cet article n’est disponible qu’en anglais.
Microsubventions – Sensibilisation au cannabis et au vapotage – Santé Canada
Microsubventions de 1,000 $ pour le financement d’initiatives de sensibilisation au cannabis et au vapotage.
Mises à jour de la campagne de prévention du vapotage chez les jeunes
Voici quelques nouvelles emballantes au sujet de notre campagne de prévention du vapotage chez les jeunes!
La campagne publicitaire de cette année se déroule du 22 février au 21 mars 2021 et présente des extraits de 10 secondes de notre vidéo existante qui mènent à un nouveau contenu :
- Des publicités sur Snapchat, YouTube, Instagram et Native Touch invitant les adolescents à consulter la page Web remaniée de la campagne à l’adresse canada.ca/info-vapotage, sur laquelle se trouve :
- des témoignages d’adolescents;
- des renseignements sur la pression par les pairs;
- de nouvelles vidéos de 10 secondes;
- une foire aux questions posées par les jeunes.
- Des publicités sur Facebook et par le biais de moteurs de recherche invitant les parents d’adolescents à se renseigner en visitant une nouvelle page destinée aux adultes de confiance : Prévenir le vapotage chez les enfants et les adolescents.
Ce que vous pouvez faire
Consultez les ressources de prévention du vapotage chez les jeunes, y compris nos nouvelles vidéos de 10 secondes. N’hésitez pas à utiliser et à partager ces ressources afin d’élargir la portée de la campagne dans votre région.
Le point sur la tournée virtuelle
- Les séances virtuelles à l’intention des élèves du secondaire de partout au Canada se poursuivent dans le cadre de la tournée de la campagne Considère les conséquences du vapotage.
- Les élèves sont mis au courant des méfaits et des risques associés au vapotage dans le cadre d’activités interactives. Ils peuvent soumettre des questions de façon anonyme afin que Santé Canada y réponde. Les réponses sont ensuite communiquées à l’ensemble des élèves de l’école.
- Automne 2020 : tenue de 54 séances virtuelles.
- Projection pour l’hiver : 224 séances virtuelles.
Module autogéré Considère les conséquences du vapotage
Santé Canada a le plaisir d’offrir un module autogéré « Considère les conséquences du vapotage » afin d’aider et d’appuyer les éducateurs et éducatrices à aborder l’enjeu du vapotage avec les jeunes.
Ce module en ligne a pour but de donner aux jeunes de 13 à 18 ans des informations sur le vapotage afin qu’ils puissent faire des choix éclairés concernant leur santé. Le module propose trois thèmes principaux à aborder en classe ou dans la communauté dans le but d’éduquer les adolescents sur les méfaits et les risques associés au vapotage chez les jeunes. Ce module comprend des activités interactives, du contenu informatif et des vidéos.
Le module couvre les sujets suivants :
Première partie — Introduction au vapotage, et aux méfaits et aux risques qui y sont associés chez les adolescents.
Deuxième partie — Informations sur les effets sur la santé associés à la présence de cannabis et de nicotine dans les produits de vapotage chez les adolescents.
Troisième partie — Aperçu du coût associé au vapotage, et conseil et trucs pour surmonter à la pression des pairs.
Un guide de l’utilisateur est également inclus. Il fournit des informations sur le module et son utilisation, ainsi qu’une liste de ressources supplémentaires.
Cliquez Module autogéré en ligne – Expériences Santé Canada pour commencer l’expérience du module autogéré en ligne.
Pour toutes questions et commentaires, veuillez communiquer avec la Direction de la lutte au tabagisme – Contactez nous — Direction de la lutte au tabagisme — Santé Canada – Canada.ca.
Nouveau règlement fédéral sur la publicité pour les cigarettes électroniques
Le gouvernement du Canada prend un certain nombre de mesures pour contrer l’augmentation du vapotage chez les jeunes. Parmi ces mesures, la version définitive du Règlement sur la promotion des produits de vapotage (RPPV) a été publié dans la Partie II de la Gazette du Canada, le 8 juillet 2020. Ce nouveau règlement limitera la promotion des produits de vapotage destinés aux jeunes afin de tenir compte d’un facteur clé qui a contribué à l’augmentation du vapotage chez les jeunes.
Veuillez consulter l’annonce de la ministre de la Santé concernant le nouveau règlement à l’adresse suivante : https://www.canada.ca/fr/sante-canada/nouvelles/2020/07/sante-canada-confirme-linterdiction-de-la-publicite-sur-les-produits-de-vapotage-qui-pourrait-etre-vue-ou-entendue-par-les-jeunes.html
Le RPPV :
- interdira la publicité des produits de vapotage dans les espaces publics si les jeunes peuvent les voir ou les entendre, que ce soit dans les magasins physiques ou en ligne, y compris à la radio et à la télévision;
- interdira aux détaillants d’exposer les produits de vapotage aux points de vente, y compris ceux en ligne, d’une manière à ce que ces produits puissent être vus par les jeunes;
- exigera que les publicités permises (p. ex., celles affichées là où les jeunes n’ont pas accès) comportent une mise en garde prescrite sur les dangers que présente l’usage des produits de vapotage pour la santé.
La version définitive du règlement ainsi que le Résumé de l’étude d’impact de la réglementation connexe ont été publiés dans la Partie II de la Gazette du Canada aujourd’hui, le 8 juillet 2020, et se retrouvent au lien suivant : http://gazette.gc.ca/rp-pr/p2/2020/2020-07-08/html/sor-dors143-fra.html
Le règlement entrera en vigueur 30 jours après sa publication soit le 7 août 2020, à l’exception de l’interdiction d’exposer des produits de vapotage au point de vente, qui entrera en vigueur 60 jours après sa publication soit le 6 septembre 2020. La Liste des mises en garde pour utilisation dans la publicité des produits de vapotage peut être trouvée ici : https://canada.ca/fr/sante-canada/services/tabagisme-et-tabac/vapotage/securite-reglementation-produits/liste-mise-en-garde-publicite-produits-vapotage.html
Parler de vapotage avec votre adolescent : une fiche de conseils pour les parents – Santé Canada – 2019
Quelques informations de santé publique utiles sur le vapotage et des conseils sur la façon d’en parler aux adolescents.
Parlons de vapotage : un guide de référence rapide
Le Centre d’excellence pour l’abandon du tabac dans un cadre clinique du Réseau de santé Horizon a créé une trousse sur le vapotage à l’intention du programme de santé publique Apprenants en santé à l’école, qui vise à fournir des ressources et des renseignements sur le vapotage aux parents et aux éducateurs travaillant au ministère de l’Éducation. La trousse contient des renseignements sur les sujets suivants :
- de l’information générale sur le vapotage;
- la nicotine et le jeune cerveau;
- la nicotine et la santé mentale;
- les effets du vapotage sur la santé;
- les tactiques de marketing ciblant les jeunes;
- l’abandon du vapotage;
- diverses ressources.
Plan ministériel de Santé Canada pour 2020-2021
Santé Canada entend favoriser la mise en œuvre de la Stratégie canadienne sur le tabac, une approche modernisée pour une lutte antitabac efficace, dans le but d’atteindre l’objectif de moins de 5 % de fumeurs d’ici 2035.
POUR DE NOMBREUX JEUNES, 2021 EST L’ANNÉE POUR CESSER DE VAPOTER
Renverser une tendance culturelle toxique
Le vapotage était considéré comme cool auparavant, mais les temps changent. En tant qu’influenceuse, Victoria Annunziato déclare : « Comme plusieurs, j’ai commencé à utiliser la cigarette électronique lorsque j’étais jeune. Je n’avais aucune idée de ce qu’était la nicotine ni de la dépendance qu’elle pouvait créer. Je veux utiliser ma plateforme et entamer une conversation en parlant des vraies affaires sur ma propre expérience, afin que d’autres jeunes puissent éviter les pièges qui m’ont rendue dépendante ou arrêter de vapoter en même temps que moi s’ils le font déjà. J’espère que mon expérience inspirera et sensibilisera les gens. »
Cet article n’est disponible qu’en anglais.
Préoccupations liés à la santé: Vapotage – Santé Canada
Page d’accueil d’éducation et de sensibilisation du public avec des liens vers des nouvelles, des faits, des ressources, des mises en garde, le vapotage comme outil de sevrage tabagique, le vapotage chez les jeunes, etc.
Projet Quash, Fondation pour la santé pulmonaire
Veuillez trouver ci-joint un aperçu du projet « Quash » réalisé par la Fondation pour la santé pulmonaire (FSP). « Quash » est un programme de changement de comportement, comprenant une application qui vise à aider les jeunes (14-30 ans) à cesser de fumer et/ou de vapoter. Le programme inclut aussi une formation gratuite, en ligne et autoguidée pour les adultes intéressés à offrir le programme aux jeunes. À travers le Programme sur l’usage et les dépendances aux substances, Santé Canada a investi 960 900 $ sur trois ans pour financer ce projet.
Réglementation sur les cigarettes électroniques aromatisées — le site web destiné aux pétitions virtuelles facilite l’envoi de commentaires sur la consultation de santé canada
Le 18 juin, Santé Canada a annoncé un projet de réglementation fédérale, en vue d’une consultation sur l’interdiction des cigarettes électroniques aromatisées, à l’exception des saveurs de tabac, de menthe et de menthol.
La consultation arrivera à échéance le jeudi 2 septembre.
Nous avons créé un site web destiné aux pétitions virtuelles, qui facilite l’envoi de commentaires sur la consultation au moyen d’une lettre électronique expédiée à Santé Canada. Celle-ci serait également acheminée au ministre de la Santé et au député du signataire. Le site web appuie l’adoption de règlements stricts, incluant le retrait des exceptions pour la menthe et le menthol.
Il est possible d’accéder au site web ici :
Le site web de la campagne Protégez nos ados est soutenue par Cœur + AVC, l’Association pulmonaire du Canada, Médecins pour un Canada sans fumée et la Société canadienne du cancer.
Il est possible de prendre connaissance du communiqué de presse sur le projet de réglementation de Santé Canada publié le 18 juin, ici :
Vous pouvez consulter le projet de réglementation ainsi que le résumé de l’étude d’impact de la réglementation connexe, ici :
https://gazette.gc.ca/rp-pr/p1/2021/2021-06-19/html/reg2-fra.html
Santé Canada a d’une initiative de financement sous forme de micro-subventions pour soutenir des projets novateurs d’éducation du public sur les effets sur la santé du cannabis ou du vapotage
Santé Canada a le plaisir d’annoncer le lancement d’une initiative de financement sous forme de micro-subventions pour soutenir des projets novateurs d’éducation du public sur les effets sur la santé du cannabis ou du vapotage. Le financement sous forme de micro-subventions est un moyen utilisé par le gouvernement du Canada pour financer des petits projets jusqu’à concurrence de 1 000 $.
Les bénéficiaires admissibles sont les citoyens canadiens ou les résidents permanents qui ont au moins 16 ans et les organismes sans but lucratif. Ce financement comporte un processus de demande rationalisé et les bénéficiaires doivent publier les résultats du projet dans les médias sociaux en utilisant le mot-clic #cannabis ou #vapotage.
Éducation du public sur le cannabis
Dans le cadre des efforts continus d’éducation et de sensibilisation du public sur le cannabis, Santé Canada consacrera 100 000 $ au cours de l’exercice 2021-2022 à des projets qui aident à sensibiliser les jeunes aux effets de la consommation de cannabis sur la santé.
Éducation du public sur le vapotage
Dans le cadre de la campagne d’éducation publique sur les conséquences du vapotage, Santé Canada consacrera 100 000 $ au cours de l’exercice financier 2021-2022 à des projets qui aident à sensibiliser les jeunes aux méfaits et aux risques de l’utilisation des produits de vapotage.
Demande et évaluation
Les projets doivent impliquer les jeunes et/ou les jeunes adultes dans leur développement et leur mise en œuvre, et démontrer un impact positif sur leur groupe cible jeunesse et comment ils ont le potentiel de sensibiliser aux effets sure la sante du cannabis ou du vapotage. Les demandes de financement seront acceptées à partir de maintenant, avec une date limite du 6 décembre 2021. La sélection des projets tiendra compte d’une répartition géographique et d’un public équitable.
NOUVEAU : Prolongé jusqu’au 13 décembre 2021 à 23 h 59, heure avancée de l’Est (HAE).
Nous sommes heureux de lancer ce nouveau programme stimulant et nous espérons que vous voudrez communiquer ces renseignements à vos réseaux et encourager vos réseaux à présenter une demande de financement. Nous avons tous un rôle à jouer relativement à l’éducation du public sur les effets de la consommation de cannabis et du vapotage. Pour de plus amples renseignements et pour remplir un formulaire de demande de micro-financement, visitez le site Web du Programme sur l’usage et les dépendances aux substances : https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/dependance-aux-drogues/strategie-canadienne-drogues-substances/financement/programme-usage-dependances-substances/micro-financement-cannabis-vapotage-leducation.html
Santé Canada annonce de nouvelles restrictions pour prévenir le vapotage chez les jeunes
La proposition limiterait les options d’arômes dans les produits de vapotage au Canada au tabac et à la menthe ou au menthol. Cette mesure aidera à réduire l’attrait du vapotage pour les jeunes, tout en offrant des solutions de rechange aux fumeurs adultes qui souhaitent faire ou qui ont déjà fait la transition vers le vapotage. La consultation durera 75 jours, du 18 juin 2021 au 2 septembre 2021. Une proposition ayant pour but de limiter les arômes autorisés dans les extraits de cannabis destinés à l’inhalation a été publiée dans la Partie I de la Gazette du Canada et sera assortie d’une consultation de 75 jours.
Santé Canada annonce également que le Règlement sur la concentration en nicotine dans les produits de vapotage sera publié dans la prochaine édition de la Partie II de la Gazette du Canada
Le règlement fixe une concentration maximale en nicotine de 20 mg/mL dans les produits de vapotage afin de les rendre moins attrayants pour les jeunes. Le Règlement interdit également l’emballage et la vente de produits de vapotage dont la concentration en nicotine des produits dépasse la limite. Les fabricants doivent se conformer à cette exigence avant le 8 juillet 2021; les détaillants ne pourront plus vendre des produits qui dépassent cette limite à partir du 23 juillet 2021.
Santé Canada propose de réduire la concentration maximale de nicotine permise dans les produits de vapotage
Le gouvernement du Canada demeure préoccupé par la hausse du vapotage chez les jeunes et s’attaque au problème. Après avoir confirmé son intention de réduire la concentration de nicotine permise dans les produits de vapotage, l’honorable Patty Hajdu, ministre de la Santé, a annoncé aujourd’hui le lancement d’une consultation publique sur une proposition visant à mieux protéger la population canadienne.
Dans le cadre des efforts déployés pour réduire l’attrait des produits de vapotage, Santé Canada propose de réduire la concentration maximale de nicotine permise à 20 mg/mL et d’interdire l’emballage et la vente d’un produit de vapotage si la concentration de nicotine indiquée sur l’emballage excède cette nouvelle limite. La limite actuelle est de 66 mg/mL.
Toute forme de fumée est nuisible ! – NB sans fumée ni vapotage – 2019
Renseigne les gens sur les dangers de la fumée secondaire du tabac ainsi que du cannabis. Cette fiche parle aussi des dangers du vapotage et rappelle aux gens qu’il est important de respecter les endroits désignés sans fumée au Nouveau-Brunswick (interdiction de fumer et de vapoter). Nous avons tous intérêt à vivre, travailler et jouer dans des environnements 100% sans fumée!
Trousse – Éducation sur le tabagisme – Stanford Medecine (É.-U.) – 2020 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
Ressources fondées sur la théorie et fondées sur des données probantes créées par des éducateurs, des parents et des chercheurs visant à prévenir la consommation de tabac et de nicotine par les élèves du secondaire. Comprend un module sur les cigarettes électoniques et le vapotage.
Trousse éducative pour les enseignants – Cancer du poumon (incluant les risques liés au vapotage) – Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec – 2019
Trousse éducative gratuite pour les enseignants, s’adressant aux élèves âgés entre 12 et 17 ans. Elle a été conçue afin de sensibiliser les jeunes à l’importance de prévenir le cancer du poumon. Différentes questions en lien avec le poumon, le cancer du poumon et son principal facteur de risque, la cigarette de tabac, y sont abordées. De plus, devant l’engouement, mais aussi les multiples problèmes respiratoires récemment rapportés en lien avec le vapotage, il semblait important de faire une mise à jour sur ce sujet.
Trousse éducative sur le vapotage – Association pulmonaire de l’Î.-P.-É. – 2020 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
Renseignements sur le vapotage:
-Pour les familles
-Pour les éducateurs
-Pour les entraîneurs
-Services et outils pour cesser de vapoter
Trousse éducative sur le vapotage – Association pulmonaire du Canada – 2020
Excellentes informations et ressources fournies par l’Association pulmonaire du Canada.
Sujets:
- Vapotage – Ce que vous devez savoir
- Tabagisme, vapotage pour cesser de fumer et la cessation du vapotage
- Le vapotage et les jeunes
- Ressources
Une nouvelle loi pour l’Île-du-Prince-Édouard est maintenant en vigueur
À l’Île-du-Prince-Édouard, une nouvelle loi établissant l’âge minimum de 21 ans pour l’achat de tabac et de cigarettes électroniques, et exigeant que les ventes de cigarettes électroniques soient uniquement dans les magasins spécialisés, est entrée en vigueur le 1er mars 2020. L’Île-du-Prince-Édouard devient la première province à établir l’âge de 21 ans et la première à exiger que les cigarettes électroniques soient vendues dans les magasins spécialisés seulement. La disposition relative à l’âge minimum de 21 ans ne s’appliquera pas aux personnes qui avaient au moins 19 ans le 1er mars 2020.
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Une nouvelle vidéo de la Société canadienne du cancer demande aux gouvernements d’agir immédiatement contre le vapotage chez les jeunes
La Société canadienne du cancer (SCC) a publié une vidéo envoyant un message clair aux gouvernements : il doit en faire plus pour contrer le vapotage chez les jeunes, et l’augmentation de l’âge légal à 21 ans est un bon point de départ. « Les taux de vapotage dans la province atteignent des proportions épidémiques. Le gouvernement doit agir immédiatement et fermement, en adoptant un ensemble de mesures exhaustives destinées à réduire les taux de vapotage chez les jeunes », affirme Julie Chiasson, Gestionnaire des services de prévention et de soutien, au Nouveau-Brunswick.
Le 10 mars, l’ouverture de la 3e session de la 59e Assemblée législative du Nouveau-Brunswick représente une occasion de mettre en évidence l’épidémie de tabagisme actuelle et d’instaurer des politiques et des programmes efficaces qui favoriseront l’adoption de modes de vie plus sains et qui protégeront la prochaine génération de Canadiens.
Vaping – Know the Risks (PowerPoint) – Association pulmonaire du Nouveau-Brunswick – 2019 (EN ANGLAIS SEULEMENT)
Pour les enseigants – à utiliser en salle de classe et les groupes communautaires dans un contexte d’éducation/santé publique. Contactez Barbara Walls à barbara.walls@nb.lung.ca pour obtenir cette présentation.
Vapotage – Le fonctionnement – Santé Canada – 2018
Décrit le fonctionnement d’un dispositif de vapotage et les produits chimiques que contiennent les liquides pour dispositifs de vapotage.
Veeba : Dans Un Geste Inattendu, PMI Lance Des Appareils De Vapotage Jetables Au Canada
Cette semaine, les consommateurs et les organismes de réglementation en matière de santé canadiens font face à un important développement sur le marché du vapotage, au moment où la plus importante compagnie de tabac lance VEEBA — un appareil de vapotage jetable, abordable et haut de gamme.
Une option très abordable
À l’heure actuelle, le nouvel appareil de vapotage de PMI est le moins coûteux, sur le marché canadien.
Le prix de détail suggéré pour VEEBA est de 9,99$ — certains détaillants l’inscrivent actuellement à 7,99 $. (Au moment de l’imposition de la taxe fédérale en octobre prochain, le prix augmentera de 1 $, soit le montant appliqué aux contenants de 2 ml ou moins d’e-liquide.)
Cet article est offert en anglais.
Vidéo: «Considère les conséquences du vapotage» – Santé Canada – 2019
Même si le vapotage est moins nocif que le tabagisme, il a quand même des conséquences dont il faut tenir compte. Le vapotage peut t’exposer à des produits chimiques pouvant nuire à ta santé. Cette vidéo est pour les adolescents et fait partie de la campagne de sensibilisation de Santé Canada, intitulée «Considère les conséquences du vapotage».
Vidéo: Le fonctionnement du vapotage – Santé Canada – 2020
Le vapotage. Que sais-tu vraiment sur ce sujet?
Regardons de plus près.
Webinaire: Aider Les Jeunes À Arrêter De Vapoter — Démonstration Des Nouvelles Solutions Mobiles Conviviales De L’urto
Mardi 19 octobre 2021 | de 12 h à 13 h 15 (HNE)
Veuillez vous inscrire au webinaire d’avance, à la suite de quoi vous recevrez un lien vers Zoom.