Adultes2020-01-19T15:27:31+00:00

Bibliothèque de ressources – Prévention du tabagisme – Adultes

Dangers – Produits du tabac et de vapotage

27e Symposium annuel sur la santé respiratoire de l’Association pulmonaire du Nouveau-Brunswick

L’Association pulmonaire du Nouveau-Brunswick invite les professionnels de la santé qui s’intéressent à la santé pulmonaire et à la qualité de l’air au « 27e Symposium annuel sur la santé respiratoire de l’Association pulmonaire du Nouveau-Brunswick » qui aura lieu le 25 septembre 2020, de 8 h 30 à 10 h 30. Cette année, l’événement se présente sous la forme d’un webinaire de deux heures. Il n’y a pas de frais d’inscription. Une fois inscrit, vous obtiendrez un lien vers l’événement.

Cet événement est disponible en anglais uniquement.

Pour vous inscrire, cliquez sur le lien de l’événement  

Agenda 2020 

5e FORUM ANNUEL sur la dépendance à la nicotine S’adapter aux changements dans l’approche de la dépendance à la nicotine

Le jeudi 3 juin 2021
de 8 h 30 à 15 h 30

GRATUIT • OFFERT EN FRANÇAIS ET EN ANGLAIS
EN DIRECT SUR LA PLATEFORME ZOOM
Inscription des employés du Réseau
de santé Vitalité à partir d’iTacit.
Inscription pour les autres professionnels
de la santé à education@vitalitenb.ca

Le forum s’adresse aux professionnels de
la santé et partenaires communautaires
qui travaillent auprès de patients qui
vivent avec une dépendance à la nicotine.
Il permet d’acquérir de nouvelles
connaissances et compétences pour pouvoir
mieux accompagner ces patients.

Principales thématiques : L’évolution du Modèle
d’Ottawa pour l’abandon du tabac, le vapotage, la cytisine,
la dépendance à la nicotine, réduire pour cesser, l’approche
de la dépendance à la nicotine dans le monde virtuel,
l’approche à adopter avec les jeunes et la dépendance,
l’option de participer au MOAT sur une base volontaire
et le projet CONNECT du Réseau de santé Vitalité.

Annonce : Nouveau Site Web Pour Le Programme Live Well | Bien Vivre

Un nouveau site web pour le programme Live Well | Bien Vivre a été lancé.

LWBV est un programme fondé sur des faits probants qui fait appel à des pratiques optimales pour favoriser le changement de comportement en matière de santé dirigé par le client. Notre service de coaching santé professionnel est offert gratuitement, en français et en anglais, à tous les Néo-Brunswickois de 19 ans et plus.

Annonce de la CATNB

La Société médicale du Nouveau-Brunswick s’est engagée à verser 20 000 $ pour financer nos efforts de collaboration avec nos partenaires afin de créer des environnements favorables à une vie sans tabac et sans fumée au Nouveau-Brunswick. Nous apprécions particulièrement cette aide qui nous permettra de réduire le tabagisme et le vapotage par la création d’initiatives novatrices qui auront un impact significatif sur la santé des Néo-Brunswickois.

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Brise l’illusion!

Informations et ressources sur le vapotage pour les enseignants et les instructeurs.

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Déclaration de l’administratrice en chef de la santé publique du Canada au sujet de la COVID-19 et le tabagisme

Vous trouverez ci-dessous une déclaration de la Dre Theresa Tam, administratrice en chef de la santé publique du Canada sur le COVID-19 et le tabagisme. La déclaration a été publiée le 31 mai 2020, la Journée mondiale sans tabac. La déclaration dit en partie:

« Nous continuons d’en apprendre plus sur le virus tous les jours, mais selon des données préliminaires, des antécédents de tabagisme peuvent augmenter fortement le risque d’effets indésirables sur la santé des patients ayant la COVID-19. La présence d’un problème de santé sous-jacent, comme un problème de santé causé par le tabagisme, accroît aussi votre risque de maladie grave et même de mort. »

Information sur la taxation des produits du tabac et de vapotage, contenue dans le du budget fédéral

Vous trouverez ci-dessous des extraits sur l’augmentation de la taxe sur le tabac et la nouvelle taxe sur les cigarettes électroniques, provenant du budget présenté le 19 avril 2021.

Budget 2021

(extrait)

Taxation des produits de vapotage

L’utilisation par les jeunes Canadiens de produits de vapotage, comme les cigarettes électroniques, est à la hausse. Selon un sondage de Santé Canada, depuis 2018, l’utilisation a doublé chez les élèves du secondaire au Canada. Le vapotage avec de la nicotine présente des risques, surtout pour les jeunes – la nicotine crée rapidement la dépendance, elle peut avoir un effet nuisible sur la mémoire et la concentration, et on sait qu’elle modifie le développement du cerveau chez les adolescents. En plus d’augmenter les recettes, la taxation du vapotage pourrait devenir un moyen efficace de réduire la consommation nocive de ces produits.

Le gouvernement annonce, dans le budget de 2021, qu’il a l’intention d’instaurer un nouveau cadre de taxation en vue d’imposer des droits d’accise sur les produits de vapotage en 2022. Le gouvernement du Canada collaborera également avec toutes les provinces et tous les territoires qui pourraient être intéressés par une approche fédérale coordonnée pour taxer ces produits.

Taxation du tabac

Le tabagisme demeure encore aujourd’hui la principale cause de décès prématuré évitable au Canada. La taxation du tabac est un moyen efficace d’en réduire la consommation et d’aider le gouvernement à atteindre son objectif, à savoir que moins de 5 % de la population fasse usage du tabac d’ici 2035.

Le budget de 2021 propose d’augmenter les droits d’accise sur le tabac de 4 $ par cartouche de 200 cigarettes, avec des augmentations correspondant aux taux du droit d’accise d’autres produits du tabac. Cette mesure entrerait en vigueur un jour après le dépôt du budget.

On estime que cette mesure fera augmenter les recettes fédérales de 2,1 milliards de dollars sur cinq ans, à compter de 2021-2022.

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LA PANDÉMIE ENTRAÎNE DES CHANGEMENTS, ALORS C’EST UN BON MOMENT POUR QUE LES CANADIENS CESSENT DE FUMER

Les débats sont très nombreux pour déterminer quelles personnes seront très malades et celles qui ne le seront pas si elles contractent le virus. Il est évident que nous devons travailler plus fort pour protéger les groupes vulnérables : les personnes âgées, immunosupprimées, pauvres et celles qui sont touchées par le racisme. Pourtant, les données démontrent que peu importe l’âge ou le statut socioéconomique des fumeurs de cigarettes, ceux-ci présentent un risque plus élevé de devenir très malades par rapport aux non-fumeurs. En fait, une étude récente révèle que les fumeurs courent 1,45 plus de risque d’avoir des complications de la COVID19.

Cet article n’est disponible qu’en anglais.

La Science S’est Prononcée : Le Moment Est Venu De Mettre À Jour Les Messages Aux Canadiens

Depuis 2018, d’autres gouvernements ont mis sur pied des comités de spécialistes, afin d’examiner le nombre croissant de preuves. Il en émerge un consensus scientifique indiquant que le vapotage est dangereux, et qu’il ne représente pas un moyen particulièrement efficace en ce qui a trait à l’abandon du tabac. Bien qu’aucun document unique faisant autorité n’ait réuni ces études systématiques, méta-analyses et rapports d’autorités sanitaires, il ressort maintenant ce qui suit :

1. Les cigarettes électroniques ont accru le nombre de jeunes consommateurs de nicotine, dans certains pays.
2. Les jeunes qui utilisent les cigarettes électroniques sont plus enclins à fumer des cigarettes traditionnelles.
3. Le double usage est répandu et nuisible.
4. Lorsqu’elles sont achetées comme produits de consommation, les cigarettes électroniques ne s’avèrent pas des aides efficaces à l’abandon.
5. Les cigarettes électroniques causent des dommages aux systèmes respiratoire et circulatoire.
6. D’autres gouvernements ont fourni des évaluations scientifiques plus récentes.
7. Les messages de Santé Canada sur les cigarettes électroniques sont dépassés.
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La Société canadienne du cancer demande à tous les partis politiques de s’engager, dans leurs programmes électoraux, en faveur d’une législation sur le vapotage chez les jeunes

Le Nouveau-Brunswick traîne loin derrière les autres provinces maritimes pour ce qui est d’adopter des mesures visant à freiner le vapotage chez les jeunes

 Le 31 août 2020 (Saint-Jean, Nouveau-Brunswick) ‒ La Société canadienne du cancer demande à tous les partis politiques de prendre des engagements électoraux significatifs et réalisables pour combler les lacunes importantes en matière de prévention du cancer et de soutien aux personnes touchées par le cancer et a ainsi relevé deux principaux enjeux. La première priorité est un élément essentiel de la lutte contre la culture actuelle de vapotage chez les jeunes au Nouveau-Brunswick, comme présenté dans cette vidéo (Cliquez ici), envoyant un message clair aux gouvernements : il doit en faire plus pour contrer le vapotage chez les jeunes, et l’augmentation de l’âge légal à 21 ans est un bon point de départ. « Les taux de vapotage dans la province atteignent des proportions épidémiques. Le gouvernement doit agir immédiatement et fermement, en adoptant un ensemble de mesures exhaustives destinées à réduire les taux de vapotage chez les jeunes », affirme Rob Cunningham, Analyste principal en matière de politiques.

Pendant la période des élections provinciales de 2020 au Nouveau-Brunswick, nous continuons à encourager le gouvernement et tous les membres de l’Assemblée législative à mettre en évidence l’épidémie de tabagisme actuelle et à créer des politiques efficaces qui favoriseront des modes de vie plus sains, protégeront la prochaine génération de Canadiens et amélioreront la qualité de vie des personnes touchées par le cancer.

Pour agir efficacement contre le vapotage, il faut mettre en place des politiques clés, comme augmenter l’âge légal à 21 ans pour l’achat de cigarettes électroniques et de tabac, limiter la vente de cigarettes électroniques à des endroits interdits aux mineurs, et éliminer les saveurs des cigarettes électroniques, entre autres. Au début de l’année, l’Île-du-Prince-Édouard a adopté une loi visant à augmenter l’âge légal pour fumer et vapoter à 21 ans ainsi qu’à limiter la vente de cigarettes électroniques à des endroits interdits aux mineurs. De plus, le gouvernement de l’Île-du-Prince-Édouard vient de mettre en place une loi interdisant la vente de cigarettes électroniques aromatisées. Récemment, la Nouvelle-Écosse a adopté une loi visant à interdire la vente de cigarettes électroniques aromatisées, à limiter à 20 mg/ml la concentration maximale de nicotine et à instaurer une taxe sur les cigarettes électroniques et les liquides à vapoter.

En 2019, une étude menée par le professeur David Hammond de l’Université de Waterloo a révélé que le taux de vapotage chez les jeunes de 16 à 19 ans a fait un bond stupéfiant de 112 %, passant de 8,4 % en 2017 à 17,8 % en 2019. « L’industrie des cigarettes électroniques a créé un marché persuasif et attirant pour les jeunes; l’utilisation et la popularité croissantes des produits de vapotage menacent directement les progrès réalisés dans la lutte contre le tabagisme, continue Rob Cunningham. Les gouvernements ont l’occasion d’endiguer cette crise grandissante et nous les exhortons à agir rapidement et fermement. »

Au Canada, le tabagisme est la principale cause de maladie et de décès évitables. C’est pourquoi la SCC presse les gouvernements provinciaux de fixer l’âge légal à 21 ans. La vaste majorité des fumeurs commencent à fumer avant l’âge de 19 ans; beaucoup deviennent dépendants et le restent. Un rapport récent de l’Institute of Medecine américain a conclu que faire passer l’âge légal pour acheter des produits de tabac à 21 ans aux États-Unis entraînerait une réduction de 25 % du taux de tabagisme chez les jeunes de 15 à 17 ans et de 15 % chez les jeunes de 18 à 19 ans. (Cliquez ici)

La Société canadienne du cancer a déterminé une deuxième priorité, à savoir la nécessité d’accélérer la mise en œuvre de la stratégie en matière de soins palliatifs déjà approuvée et financée afin d’améliorer l’accès aux soins palliatifs pour la population du Nouveau-Brunswick, les personnes atteintes de cancer représentant environ 80 % des patients qui reçoivent des soins palliatifs.

À propos de la Société canadienne du cancer

La Société canadienne du cancer (SCC) est le seul organisme de bienfaisance national à soutenir les personnes touchées par tous les types de cancer, dans les communautés à travers le pays. Aucune autre organisation ne fait la même chose que nous. Nous sommes la voix des femmes et des hommes qui ont le cancer à cœur. Nous finançons des projets de recherche novateurs, nous fournissons un réseau d’aide pour toutes les personnes touchées par le cancer et nous incitons les gouvernements à apporter d’importants changements sociaux.

Ensemble, agissons contre le cancer. Appelez-nous au 1 888 939-3333 ou visitez cancer.ca aujourd’hui.

 

Pour plus d’information, veuillez contacter :

Rob Cunningham

Analyste principal en matière de politiques
Société canadienne du cancer
Bureau national

Téléphone : 506.634.6276

Lancement d’une nouvelle campagne publicitaire dans le cadre de la campagne Je te laisse!

Campagne d’abandon du tabac à l’intention des jeunes adultes

Lancement d’une nouvelle campagne publicitaire dans le cadre de la campagne Je te laisse!

La campagne Je te laisse, une collaboration entre Santé Canada et la Société canadienne du cancer, vise à aider les jeunes adultes de 20 à 24 ans à cesser de fumer pour de bon. Nous sommes heureux de présenter notre nouvelle campagne publicitaire à nos partenaires dans la lutte contre le tabagisme. Diffusées jusqu’au 31 mars, les publicités véhiculent deux messages clés et dirigent les jeunes adultes vers le site Web de la campagne Je te laisse, où ils trouveront des conseils et des outils pour les aider à cesser de fumer. Les publicités comprennent :

  1. une vidéo de 15 secondes et une publicité sur les médias sociaux (Twitch, Instagram et Facebook) invitant les jeunes adultes à réfléchir aux avantages financiers de cesser de fumer;
  2. des bannières publicitaires et des publicités sur Facebook visant à sensibiliser les jeunes adultes et à leur rappeler que les méthodes d’abandon du tabac sont efficaces.

Ce que vous pouvez faire – Passez le mot

 

Nous avons publié nos publicités sur nos comptes de médias sociaux pour la campagne Je te laisse. Aidez-nous à atteindre un plus grand nombre de personnes en cliquant sur « J’aime » et en partageant ces publications sur vos comptes de médias sociaux :

Publicité sur les réseaux sociaux, vidéo : Combien peux-tu économiser si tu arrêtes de fumer?

Publicité sur les réseaux sociaux :  Combiner plusieurs méthodes augmente tes chances d’arrêter de fumer.

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Le ministre fédéral de la Santé cite les jus de vapotage dans son message pour la Semaine nationale de prévention des empoisonnements

Message du ministre de la Santé et de la ministre de la Santé mentale et des Dépendances et ministre associée de la Santé à l’occasion de la Semaine nationale de prévention des empoisonnements – Du 20 au 26 mars 2022

De : Santé Canada

Déclaration

Le 23 mars 2022 | Ottawa (Ontario) | Santé Canada

En cette Semaine nationale de la prévention des empoisonnements, nous tenons à rappeler à la population canadienne que de nombreux articles trouvés à la maison peuvent être toxiques et causer des dommages graves s’ils ne sont pas utilisés, entreposés ou éliminés correctement. En gardant à l’esprit le thème de cette année – Élaborez votre plan – Santé Canada encourage les Canadiens et Canadiennes à assurer la sécurité de leurs proches en comprenant quels produits sont toxiques et en vérifiant qu’ils sont entreposés en toute sécurité à la maison.

On estime que 90 % des empoisonnements non intentionnels et évitables ont lieu à la maison. Les jeunes enfants et les personnes ayant une déficience cognitive sont les plus susceptibles d’empoisonnement involontaire. Les effets des empoisonnements sur la santé peuvent varier grandement, allant de blessures temporaires à la mort, et dépendent des substances auxquelles la personne est exposée, de la quantité et du type de contact.

Trois des sources les plus souvent déclarées d’empoisonnement involontaire sont les produits de nettoyage ménagers comme les sachets de détergent, le cannabis et les liquides de vapotage contenant de la nicotine.

  • Produits de nettoyage : Les produits de nettoyage couramment utilisés, comme les sachets de détergent pour la lessive et le lave-vaisselle, peuvent être toxiques. Ces petits paquets aux couleurs vives ont été pris pour des bonbons et avalés, ce qui a causé de graves blessures. Pour prévenir les empoisonnements, ces produits doivent être conservés dans leur contenant d’origine à l’épreuve des enfants et entreposés hors de la vue et de la portée.
  • Cannabis : L’ingestion de cannabis est la cause la plus courante d’empoisonnement par le cannabis chez les enfants. Les résultats de l’Enquête canadienne sur le cannabis de 2021 montrent que 36 % des Canadiens et des Canadiennes qui possédaient du cannabis à la maison l’ont entreposé dans des armoires ou des tiroirs non verrouillés, et 17 % des Canadiens et des Canadiennes l’ont entreposé sur des tablettes ou des tables ouvertes. N’oubliez pas que les produits illégaux de cannabis comestibles sont souvent emballés pour ressembler à des produits alimentaires populaires, et peuvent facilement être confondus avec des bonbons ou d’autres aliments qui plaisent aux enfants. Achetez seulement du cannabis légal auprès de détaillants autorisés et entreposez-le hors de portée dans son emballage d’origine à l’épreuve des enfants.
  • Liquide de vapotage : Le liquide de vapotage contenant de la nicotine est toxique, surtout pour les jeunes enfants. Même en petites quantités, il peut être très nocif s’il est avalé ou absorbé par la peau. Lorsque vous achetez un contenant de liquide de vapotage contenant de la nicotine, recherchez-en un qui a une fermeture à l’épreuve des enfants et un pictogramme de danger toxique avec la mise en garde « POISON », qui sont tous deux exigés par la loi.

L’entreposage sécuritaire des produits chimiques ménagers, du cannabis et des liquides de vapotage est essentiel pour réduire la probabilité d’empoisonnement à la maison.

Les empoisonnements peuvent survenir rapidement. En sachant quoi faire, vous pouvez sauver des vies. Si vous soupçonnez que vous ou quelqu’un de votre entourage avez été empoisonné, appelez immédiatement un centre antipoison ou composez le 911.

Nous tenons à remercier toute la population canadienne d’avoir contribué à rendre les milieux de vie, d’apprentissage et de jeu les plus sécuritaires possible pour nos familles.

Pour en savoir plus sur l’achat, l’utilisation, l’entreposage et l’élimination sécuritaires de médicaments, de produits de santé et de produits chimiques ménagers, consultez le site Web de Santé Canada.

L’honorable Jean-Yves Duclos, C.P., député
L’honorable Carolyn Bennett, C.P., députée

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Le tabac est responsable de 20 % des décès dus aux cardiopathies coronariennes

Selon un rapport conjoint publié aujourd’hui par l’Organisation mondiale de la Santé, la Fédération mondiale du cœur et l’Université de Newcastle (Australie) à l’occasion de la Journée mondiale du cœur, qui sera célébrée le 29 septembre, 1,9 million de personnes meurent chaque année de maladies cardiaques provoquées par le tabac.

Qu’est-ce que la Journée mondiale du cœur?

Les Antécédents De Tabagisme Liés À Des Conséquences Plus Graves De La Covid-19

L’exposition cumulée à la fumée de cigarette est un facteur de risque indépendant pour les hospitalisations et les décès liés à la COVID-19, selon un communiqué de recherche publié en ligne le 25 janvier dans la JAMA Internal Medicine.

Cet article n’est disponible qu’en anglais.

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Les médecins demandent à la Cour fédérale de forcer Santé Canada à mettre un terme au retard de son examen de la Loi sur le tabac et les produits de vapotage

 

Les médecins demandent une ordonnance de la Cour fédérale pour forcer Santé Canada à se conformer à la Loi sur le tabac et les produits de vapotage

 

UN RAPPORT OBLIGATOIRE QUI SE FAIT ATTENDRE AVEC PLUS DE CINQ MOIS DE RETARD

 

Le 14 novembre 2022, Ottawa ― Un organisme national de bienfaisance du domaine de la santé a demandé aujourd’hui une ordonnance de la Cour fédérale sommant Santé Canada à mettre un terme au retard de son examen de la Loi sur le tabac et les produits de vapotage et d’en déposer les résultats devant le Parlement.

« La Loi ne pourrait être plus claire » a affirmé le Dr Atul Kapur, président de Physicians for a Smoke-Free Canada (PSC). « L’article 60 de la Loi sur le tabac et les produits de vapotage stipule que le ministre procède (la Loi en fait une obligation) à l’examen des dispositions et de l’application de la loi tous les deux ans, à compter de mai 2021, et fait déposer (encore là, une obligation) ses rapports devant le Parlement l’année qui suit le début de l’examen. »

« Il y a maintenant plus de cinq mois depuis l’échéance fixée par la Loi pour que le premier rapport soit rendu public. Il est de plus en plus évident qu’en l’absence de directives de la Cour, le gouvernement continuera de faire fi de sa responsabilité de communiquer les conséquences de ses choix stratégiques sur le marché du tabac et de la nicotine. »

Cet article est uniquement offert en anglais.

Nouveau règlement fédéral sur la publicité pour les cigarettes électroniques

Le gouvernement du Canada prend un certain nombre de mesures pour contrer l’augmentation du vapotage chez les jeunes. Parmi ces mesures, la version définitive du Règlement sur la promotion des produits de vapotage (RPPV) a été publié dans la Partie II de la Gazette du Canada, le 8 juillet 2020. Ce nouveau règlement limitera la promotion des produits de vapotage destinés aux jeunes afin de tenir compte d’un facteur clé qui a contribué à l’augmentation du vapotage chez les jeunes.

Veuillez consulter l’annonce de la ministre de la Santé concernant le nouveau règlement à l’adresse suivante : https://www.canada.ca/fr/sante-canada/nouvelles/2020/07/sante-canada-confirme-linterdiction-de-la-publicite-sur-les-produits-de-vapotage-qui-pourrait-etre-vue-ou-entendue-par-les-jeunes.html

Le RPPV :

  • interdira la publicité des produits de vapotage dans les espaces publics si les jeunes peuvent les voir ou les entendre, que ce soit dans les magasins physiques ou en ligne, y compris à la radio et à la télévision;
  • interdira aux détaillants d’exposer les produits de vapotage aux points de vente, y compris ceux en ligne, d’une manière à ce que ces produits puissent être vus par les jeunes;
  • exigera que les publicités permises (p. ex., celles affichées là où les jeunes n’ont pas accès) comportent une mise en garde prescrite sur les dangers que présente l’usage des produits de vapotage pour la santé.

La version définitive du règlement ainsi que le Résumé de l’étude d’impact de la réglementation connexe ont été publiés dans la Partie II de la Gazette du Canada aujourd’hui, le 8 juillet 2020, et se retrouvent au lien suivant : http://gazette.gc.ca/rp-pr/p2/2020/2020-07-08/html/sor-dors143-fra.html

Le règlement entrera en vigueur 30 jours après sa publication soit le 7 août 2020, à l’exception de l’interdiction d’exposer des produits de vapotage au point de vente, qui entrera en vigueur 60 jours après sa publication soit le 6 septembre 2020.  La Liste des mises en garde pour utilisation dans la publicité des produits de vapotage peut être trouvée ici : https://canada.ca/fr/sante-canada/services/tabagisme-et-tabac/vapotage/securite-reglementation-produits/liste-mise-en-garde-publicite-produits-vapotage.html

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Réduction du tabagisme – Ministère du Développement social – Direction du Mieux-être

Vivre sans tabac est essentiel à un mode de vie sain. Vivre sans tabac, c’est d’éviter de s’exposer à la fumée, de ne pas commencer à fumer et, si vous êtes un fumeur, de cesser de fumer. Vivre sans tabac réduit les risques de contracter de nombreuses maladies chroniques et améliore la qualité de vie. Vous trouverez sur ce site Web des informations et des liens vers des ressources destinées aux Néo-Brunswickois qui souhaitent vivre sans tabac, notamment cesser de fumer, éviter l’exposition à la fumée secondaire et prévenir le tabagisme chez les enfants.

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Santé Canada annonce le financement d’un projet de renoncement au tabac à l’occasion de la Journée mondiale sans tabac 2021

Communiqué de presse

Le 31 mai 2021  | Ottawa (Ontario)  | Santé Canada

Le tabagisme est la principale cause évitable de maladies et de décès prématurés au Canada. Le tabagisme peut nuire à presque tous les organes du corps et est associé à plus de 40 maladies et autres graves problèmes de santé, comme le cancer du poumon, l’emphysème et les maladies du cœur.

Aujourd’hui, pour souligner la Journée mondiale sans tabac, l’honorable Patty Hajdu, ministre de la Santé, a annoncé un financement de 3 millions de dollars pour une campagne nationale de marketing social visant à encourager les gens à arrêter de fumer. Cette campagne sera le fruit d’une collaboration entre la Société canadienne du cancer, l’Association pulmonaire du Canada, l’Association canadienne de santé publique et la Fondation des maladies du cœur et de l’AVC du Canada. Le financement de ce projet a été accordé dans le cadre du Programme sur l’usage et les dépendances aux substances (PUDS) de Santé Canada. L’investissement est conforme aux objectifs de la Stratégie canadienne sur le tabac, qui vise à réduire le tabagisme à moins de 5 % d’ici 2035.

Le gouvernement du Canada est déterminé à travailler en partenariat avec des organisations de tout le pays pour maximiser la portée des efforts de sensibilisation du public sur les risques pour la santé associés aux produits du tabac et pour protéger les Canadiens et les Canadiennes – en particulier les jeunes, les non‑utilisateurs de produits du tabac et les jeunes enfants – contre les méfaits du tabagisme et de la dépendance à la nicotine.

Cesser de fumer peut être difficile, mais pas impossible. Les Canadiens et les Canadiennes qui veulent cesser de fumer n’ont pas à le faire seuls. Des services et du soutien sont offerts pour les aider à cesser de fumer. Les spécialistes formés de la ligne pancanadienne sans frais d’aide au renoncement du tabac peuvent aider les personnes à élaborer un plan d’abandon du tabac, répondre à leurs questions et les aiguiller vers des programmes et des services dans les collectivités partout au Canada, y compris des renseignements sur la façon d’obtenir des médicaments pour l’abandon du tabac qui peuvent aider à atténuer les symptômes de sevrage potentiels. Les Canadiens et les Canadiennes peuvent joindre un accompagnateur en abandon du tabac au 1-866-366-3667 ou en ligne, ou peuvent demander de l’aide à leur professionnel de la santé.

Tabagisme et tabac – Association pulmonaire du Nouveau-Brunswick

Renseignements utiles compilé par l’Association pulmonaire du Nouveau-Brunswick : effets sur la santé de l’usage du tabac, du cannabis et des produits de vapotage, ainsi que conseils pour cesser de fumer. 

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Tabagisme, vapotage et tabac – Santé Canada

Renseignez-vous sur le vapotage, les produits du tabac, les effets du tabagisme, la fumée secondaire, sa prévention et comment arrêter.

Vie sans tabac – Bureau du médecin-hygiéniste en chef (Santé publique) – Gouvernement du Nouveau-Brunswick

Le Bureau du médecin-hygiéniste en chef encourage la vie sans tabac en gérant l’administration de textes législatifs appuyant l’interdiction de fumer dans les lieux publics et limitant la publicité sur le tabac, ainsi que la vente de ces produits aux jeunes. L’objectif est de créer des environnements qui décourage la population, spécialement les enfants, de commencer à consommer du tabac. Pour la santé de l’ensemble des Néo-Brunswickois, il est important que les domiciles, les lieux de travail et les lieux de divertissement soient sans fumée. Le ministère de la Santé travaille en collaboration avec le ministère de Développement social et d’autres partenaires pour appuyer les initiatives de réduction du tabagisme. Des informations et des outils relatifs à la Loi sur les endroits sans fumée du Nouveau-Brunswick et à la Loi sur la vente de tabac et de cigarettes électroniques sont disponibles sur cette page Web.

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Webinaires – Unité de recherche sur le tabac de l’Ontario – EN ANGLAIS SEULEMENT

Écoutez les webinaires récemment enregistrés de l’Unité de recherche sur la tabagisme de l’Ontario (URTO) sur divers sujets.

Tabagisme et cancer

Annonce : Nouveau Site Web Pour Le Programme Live Well | Bien Vivre

Un nouveau site web pour le programme Live Well | Bien Vivre a été lancé.

LWBV est un programme fondé sur des faits probants qui fait appel à des pratiques optimales pour favoriser le changement de comportement en matière de santé dirigé par le client. Notre service de coaching santé professionnel est offert gratuitement, en français et en anglais, à tous les Néo-Brunswickois de 19 ans et plus.

C’est ma vie! Stoppez le cancer avant qu’il ne commence – Société canadienne du cancer

Découvrez comment 16 facteurs affectent votre risque de cancer et comment agir avec notre outil interactif – C’est ma vie!

Grandes mises en garde illustrées et emballage neutre : maintien de la tendance à l’échelle mondiale

Le présent rapport – Mises en garde sanitaires sur les paquets de cigarettes : Rapport international – offre un aperçu international du classement de 211 pays/territoires en fonction de la taille des mises en garde et indique ceux qui ont des exigences établies en matière de mises en garde illustrées. La répartition par région est aussi offerte. Il s’agit de la huitième édition du rapport, la septième étant datée d’octobre 2021. À l’échelle internationale, d’énormes progrès ont été réalisés dans l’application des mises en garde sanitaires sur les paquets, de nombreux pays ayant augmenté la taille des mises en garde, davantage de pays exigeant des mises en garde illustrées et également davantage de pays imposant plusieurs séries de mises en garde illustrées. La tendance mondiale à utiliser des mises en garde sanitaires illustrées plus grandes se poursuit. On assiste également à des progrès continus à l’échelle internationale en faveur de l’emballage neutre.

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Promouvoir l’équité en santé grâce à l’information sur le cancer et aux services de soutien : Rapport sur les communautés qui sont mal desservies

En 2019, la SCC a entrepris un projet axé sur les communautés mal desservies au Canada. Ce projet
met en évidence les communautés qui ont de la difficulté à accéder à de l’information et du soutien en
matière de cancer. Lorsque les gens sont confrontés à des obstacles pour obtenir l’aide dont ils ont
besoin, cela peut avoir des répercussions négatives sur leur traitement contre le cancer, l’issue de la
maladie et l’expérience vécue globalement. Le principal objectif de ce projet est de déterminer ce dont
ces communautés ont besoin et ce que nous pouvons faire pour mieux les aider.

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Rapport : Le cancer au Nouveau-Brunswick 2014-2018

Réseau du cancer du Nouveau-Brunswick (RCNB)
Juillet 2022

Points saillants du rapport

Le Réseau du cancer du Nouveau-Brunswick est heureux de présenter son rapport intitulé Le cancer au
Nouveau-Brunswick 2014-2018.
• Le cancer au Nouveau-Brunswick 2014-2018 est le cinquième rapport sur le cancer publié au
Nouveau-Brunswick.
• Il vise à fournir de l’information à jour sur le fardeau du cancer au Nouveau-Brunswick. Cette
information est importante pour les intervenants pour informer leurs décisions concernant
l’allocation des ressources en soins de santé et la planification des programmes et des services
nécessaires pour répondre aux besoins de la population du Nouveau-Brunswick.
• Le rapport élargit l’analyse des données relatives aux quatre principaux cancers (prostate, sein,
poumon et colorectal) des sept régions de santé aux 15 divisions de recensement à l’aide du
Système d’information géographique (SIG) afin de mieux surveiller le fardeau du cancer au
Nouveau-Brunswick.
• La section Sujet Spécial comporte une analyse de l’expérience directe de survivants du cancer au
Nouveau-Brunswick ayant participé à l’Enquête sur les transitions du Partenariat canadien contre
le cancer et présente de précieux renseignements pour guider la création de services visant à
améliorer les soins de soutien pour les personnes vivant avec et au-delà du diagnostic de cancer.

• De 2014 à 2018, environ 4 947 nouveaux cas de cancer ont été diagnostiqués par année au
Nouveau-Brunswick et 2 007 décès attribuables à cette maladie sont survenus annuellement.
• Plus d’hommes (52 %) que de femmes (48 %) ont reçu un diagnostic de cancer.
• Les quatre principaux cancers (prostate, sein, poumon et colorectal) ont représenté la majorité
(53 %) des nouveaux cas de cancer diagnostiqués chez les hommes et les femmes.
• Une amélioration des taux de mortalité a été observée quant aux cancers de l’estomac, du poumon
et de la prostate et au lymphome hodgkinien et non hodgkinien chez les hommes, et aux cancers
du sein et du col de l’utérus et à la leucémie chez les femmes.
• Le rapport de survie relative à tous les cancers à cinq ans était de 60 % chez les hommes et de
64 % chez les femmes.
Le Cancer au N.-B. 2014-2018 2
• En date du 1er janvier 2018, 21 915 personnes habitant au Nouveau-Brunswick avaient reçu un
diagnostic de cancer au cours des dix dernières années. Les cas de cancer diagnostiqués au cours
des dix années précédentes représentent la principale demande de services de soins de santé.
• Si les tendances passées et actuelles relatives à l’incidence du cancer se maintiennent, le nombre
de nouveaux cas de cancer devrait atteindre 7 000 annuellement entre 2028 et 2032 au NouveauBrunswick, ce qui représente une augmentation de 38,2 % des nombres réels de 2018.
• Les données du rapport proviennent du Registre du cancer du Nouveau-Brunswick, qui recueille
des renseignements sur le cancer au Nouveau-Brunswick depuis les années 1950. Il s’agit d’une
source d’information indispensable en ce qui concerne les efforts de contrôle du cancer dans la
province.
• Il sera possible de consulter le rapport en ligne, sur le site Web du ministère de la Santé, à
l’adresse : LeCancerAuNouveau-Brunswick2014-2018.pdf (gnb.ca).
Les quatre principaux cancers au Nouveau-Brunswick (prostate, sein, poumon, colorectal)
Cancer de la prostate
• Le cancer de la prostate (21 % de tous les cancers) était le cancer le plus souvent diagnostiqué
chez les hommes au Nouveau-Brunswick.
• En 2018, 572 hommes ont reçu un diagnostic de cancer de la prostate et 113 d’entre eux sont
décédés des suites de cette maladie.
• Le rapport de survie relative à cinq ans pour un cancer de la prostate était de 95 %.
Cancer du sein
• Le cancer du sein (27 % de tous les cancers) est le cancer qui a été le plus souvent diagnostiqué
chez les femmes au Nouveau-Brunswick.
• En 2018, 644 femmes ont reçu un diagnostic de cancer du sein et 135 d’entre elles sont décédées
de suites de cette maladie.
• Le rapport de survie relative à cinq ans pour un cancer du sein était de 89 %.
Cancer du poumon
• De 2014 à 2018, le cancer du poumon représentait la cause principale de décès attribuables au
cancer et a été à l’origine de plus de décès que le cancer de la prostate, du sein et le cancer
colorectal confondus (2 817 par rapport à 2 285 décès). Environ un décès sur quatre chez les
hommes et un sur quatre chez les femmes était attribuable au cancer du poumon.
• En 2018, le cancer du poumon est demeuré la première cause de décès attribuables au cancer chez
les hommes (310) comme chez les femmes (248).
• Le rapport de survie relative à cinq ans pour le cancer du poumon était de 18 % chez les hommes
et de 26 % chez les femmes.
Le Cancer au N.-B. 2014-2018 3
Cancer colorectal
• En 2018, 628 Néo-Brunswickois ont reçu un diagnostic de cancer colorectal et 235 d’entre eux
sont décédés de cette maladie.
• Le rapport de survie relative à cinq ans pour le cancer colorectal était de 66 % chez les hommes et
de 64 % chez les femmes.

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Statistiques canadiennes sur le cancer – Société canadienne du cancer – 2019

Cette publication annuelle fournit aux professionnels de la santé, aux chercheurs, aux décideurs et au grand public des renseignements détaillés sur l’incidence des cancers les plus courants, sur la mortalité associée à ces derniers selon l’âge, le sexe, l’année de même que la province ou le territoire. Elle est le fruit d’un partenariat entre la Société canadienne du cancer, l’Agence de la santé publique du Canada et Statistique Canada, en collaboration avec les registres provinciaux et territoriaux du cancer.

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Tabagisme et santé cardiovasculaire et pulmonaire

Annonce : Nouveau Site Web Pour Le Programme Live Well | Bien Vivre

Un nouveau site web pour le programme Live Well | Bien Vivre a été lancé.

LWBV est un programme fondé sur des faits probants qui fait appel à des pratiques optimales pour favoriser le changement de comportement en matière de santé dirigé par le client. Notre service de coaching santé professionnel est offert gratuitement, en français et en anglais, à tous les Néo-Brunswickois de 19 ans et plus.

Balado: «Tobacco and Heart Health» – CATNB, Fondation des maladies du coeur et de l’AVC NB et CSAAP – 2018

La CATNB et la Fondation des maladies du cœur et de l’AVC du Nouveau-Brunswick discutent des effets du tabac sur la santé cardiovasculaire et de ce que vous pouvez faire pour promouvoir une vie sans tabac au Nouveau-Brunswick lors de ce balado tiré de la série Q&A de la Coalition pour une alimentation saine et physique soulignant la Journée mondiale sans tabac 2018.

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Connaître les risques de maladies du cœur et d’AVC, par communauté – Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick – 2018

La prévention est la clé pour réduire les maladies du cœur et les AVC, et elle débute lorsque les risques sont connus. Les indicateurs suivants touchent tous aux maladies du cœur. Pour chacune des 33 communautés de la province, nous avons observé combien de ces indicateurs sont pires que la moyenne

  • Hypertension
  • Diabète
  • Mesure de la pression
  • Mesure du cholestérol
  • Taux d’obésité
  • Tabagisme
  • Manger des fruits et légumes
  • Activité physique
  • Consommation abusive d’alcool
  • Vivre dans des ménages à faible revenu
  • Pas de diplôme d’études secondaires
  • Discuter d’amélioration de la santé avec des professionnels de la santé
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Effets du tabagisme sur la santé cardiovasculaire – NB sans fumée ni vapotage – 2017

Fiche de renseignements : effets du tabagisme, avantages de cesser de fumer et façons dont les environnements sans tabac aident à protéger la santé cardiovasculaire de tous.

L’insuffisance cardiaque au Canada; un problème de santé complexe et incurable en croissance

Cœur + AVC Communiqué de presse

L’insuffisance cardiaque au Canada; un problème de santé complexe et
incurable en croissance
Un plan d’action national améliorera l’accès à un diagnostic ainsi que la qualité des soins et le
soutien offert

Le 1er février 2022 – Un nouveau rapport de Cœur + AVC indique que l’insuffisance cardiaque, un problème
de santé grave en croissance au pays, met à rude épreuve les personnes qui en sont atteintes, leur famille
et le système de santé. Comme le révèle le document Des efforts insuffisants : les mesures insuffisantes au
pays pour les personnes vivant avec une insuffisance cardiaque et la façon de changer les choses, malgré
certains progrès, il reste difficile de se retrouver dans notre système de santé cloisonné et de combler les
importantes lacunes en matière de diagnostic, de traitements et de soutien.
Au pays, 750 000 personnes vivent avec l’insuffisance cardiaque et, chaque année, 100 000 personnes
reçoivent un diagnostic de cette maladie incurable. Selon un nouveau sondage de Cœur + AVC*,
l’insuffisance cardiaque touche une personne sur trois au pays, soit parce qu’elle en est elle-même atteinte,
soit parce qu’elle touche un membre de sa famille ou un ami proche.
« L’insuffisance cardiaque est une épidémie. Il s’agit de l’une des maladies cardiovasculaires dont le nombre
de cas augmente le plus rapidement dans le monde, » mentionne Dre Anique Ducharme, présidente, Société
canadienne d’insuffisance cardiaque; professeure de médecine, Université de Montréal; et cardiologue,
Institut de cardiologie de Montréal.
Tout ce qui endommage le cœur peut entraîner l’insuffisance cardiaque. Selon les experts, la hausse du
taux d’insuffisance cardiaque se poursuivra en raison du vieillissement de la population et de l’augmentation
du nombre de personnes jeunes recevant un diagnostic (grâce à de meilleurs outils de détection et en raison
de l’augmentation de certains facteurs de risque). La COVID-19 peut provoquer des lésions cardiaques
susceptibles d’entraîner une insuffisance cardiaque. De plus, en perturbant les services de santé, la
pandémie a empêché des personnes atteintes de maladies du cœur d’accéder à des soins, ce qui a aggravé
leur état.
L’insuffisance cardiaque, un prix à payer pour tout le monde
L’insuffisance cardiaque est une maladie chronique due au fait que le cœur ne fonctionne pas comme il le
devrait ou à un problème de structure. Elle peut se produire si le cœur est trop faible ou trop rigide, ou les
deux. L’insuffisance cardiaque se traduit souvent par de la fatigue et un essoufflement, en plus d’augmenter
les risques de dépression, d’anxiété et d’une qualité de vie réduite chez les personnes atteintes. En outre,
les conséquences de cette maladie peuvent être lourdes pour les membres de la famille et les aidants, qui
doivent gérer une foule de rendez-vous, de médicaments et de fréquents déplacements au service des
urgences.
« Il s’agit essentiellement d’un travail à temps plein », affirme Heather Lannon, qui s’est occupée de son
mari, Jamie, pendant neuf ans après le diagnostic de son insuffisance cardiaque.
L’insuffisance cardiaque est l’une des principales raisons pour lesquelles les citoyens se retrouvent à
l’hôpital. Il s’agit d’une maladie « de la porte tournante » parce que sur cinq patients admis à cause de celleci, l’un d’entre eux sera réadmis dans le mois suivant. D’ici 2030, on prévoit que les coûts de soins de santé
associés à l’insuffisance cardiaque atteindront 2,8 milliards de dollars par année au pays.
Une maladie à la fois complexe, chronique, incurable et mal comprise
Parmi les personnes atteintes d’insuffisance cardiaque, la plupart ont d’une à sept autres maladies
importantes touchant le cœur (diabète, hypertension, fibrillation auriculaire, etc.) ce qui rend le traitement
plus complexe et affecte la qualité de vie. Près de la moitié des personnes vivant avec une insuffisance
cardiaque meurent dans les cinq ans suivant le diagnostic.
Selon un sondage de Cœur + AVC, la population connaît mal la maladie et l’urgence de lutter contre
celle-ci :
• Quatre personnes sur dix ne savent même pas ce qu’est l’insuffisance cardiaque.
• Une personne sur trois ne sait pas que l’insuffisance cardiaque est en hausse.
• Deux personnes sur trois ignorent qu’il n’existe pas de remède à l’insuffisance cardiaque.
Le combat contre l’insuffisance cardiaque sur tous les fronts
Un diagnostic précoce, des changements au mode de vie, l’accès à des médicaments, des dispositifs
médicaux (tels que les stimulateurs cardiaques, les valvules cardiaques artificielles ou les pompes) et du
soutien communautaire peuvent améliorer les résultats au niveau de la santé et de la qualité de vie.
« Je pensais que j’étais invincible, mais une insuffisance cardiaque m’a vaincu », raconte Kevin Lobo, un
homme en forme qui était âgé de 38 ans au moment où il a reçu son diagnostic d’insuffisance cardiaque.
Une endoprothèse d’importance vitale, des médicaments, puis une opération à cœur ouvert l’ont aidé à
gérer son état. Kevin reste optimiste et déterminé à vivre pleinement. « Je conduis encore. Je continue à
m’entraîner. Je joue encore au golf. Je fais tout ce que je veux. »
Malheureusement, plusieurs facteurs peuvent avoir un impact sur le traitement et le soutien que reçoivent
les personnes atteintes d’insuffisance cardiaque, notamment l’origine ethnique, le revenu, le sexe et le lieu
de résidence.
Selon un inventaire des ressources et des services en matière d’insuffisance cardiaque** de Cœur + AVC,
nous pouvons faire beaucoup plus dans plusieurs domaines liés à l’insuffisance cardiaque partout au pays.
Par exemple, 27 % des hôpitaux n’ont pas accès à l’analyse des peptides natriurétiques, une méthode clé
pour diagnostiquer l’insuffisance cardiaque, et dans 16 % d’entre eux, le personnel ne suit pas les lignes
directrices publiées en matière de soins de l’insuffisance cardiaque.
« Des progrès ont été réalisés pour améliorer les résultats et la qualité de vie des personnes souffrant
d’insuffisance cardiaque, grâce à d’importantes recherches. Mais on pourrait, et on devrait, faire beaucoup
plus, d’autant plus que le nombre de cas d’insuffisance cardiaque ne cesse d’augmenter, déclare
Patrice Lindsay, directrice, Changement au sein du système de santé, Cœur + AVC. C’est pourquoi
Cœur + AVC a réuni des organismes axés sur les maladies du cœur de premier plan et d’autres organismes
partout au pays pour piloter un plan d’action, éclairé par des infirmières, des cardiologues, des pharmaciens,
et des personnes vivant avec une insuffisance cardiaque et leurs aidants. »
Le plan d’action met l’accent sur une approche intégrée de l’insuffisance cardiaque dans tout le pays,
notamment :
• Des systèmes de soins intégrés
• Des soins fondés sur des données probantes et sur des recherches de grande qualité
• L’accès à des soins spécialisés
• Une transition des soins coordonnée et transparente
• Du soutien aux personnes vivant avec une insuffisance cardiaque, à leurs familles et à leurs aidants
Pour améliorer les résultats et la qualité de vie chez les personnes atteintes d’insuffisance cardiaque, il faut
également faciliter l’accès aux médicaments nécessaires grâce à un régime d’assurance-médicaments
national universel et élargir l’accès aux soins virtuels.

*Le sondage en ligne national et bilingue a été mené par Environics Research Group auprès de 2 257 résidents canadiens âgés de
18 ans et plus, du 8 au 13 novembre 2021.
**L’inventaire des ressources et services en matière d’insuffisance cardiaque de Cœur + AVC a été réalisé tout au long de l’année 2021
et les données provisoires fournies dans ce rapport comprennent les réponses de 405 des 654 établissements de soins de courte durée
au Canada, en date du 18 novembre 2021. Certaines valeurs peuvent être légèrement modifiées une fois la collecte complète des
données terminée.

À propos de Cœur + AVC
La vie. Ne passez pas à côté. C’est pour cette raison que Cœur + AVC mène la lutte contre les maladies du
cœur et l’AVC. Nous devons propulser les prochaines découvertes médicales afin que les gens au pays ne
passent pas à côté de moments précieux. Ensemble, nous travaillons à prévenir les maladies, à sauver des
vies et à promouvoir le rétablissement grâce à la recherche, à la promotion de la santé et aux politiques
publiques. coeuretavc.ca @coeuretavc

La Journée mondiale du cœur est célébrée chaque année le 29 septembre

Créée par la Fédération mondiale du cœur, la Journée mondiale du cœur informe les gens du monde entier que les maladies cardiovasculaires, y compris les maladies cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux, sont la principale cause de décès dans le monde, faisant 17,9 millions de morts chaque année , et souligne les actions que les individus peuvent prendre pour prévenir et contrôler CVD. Il vise à inciter les gens à agir pour informer les gens qu’en contrôlant les facteurs de risque tels que le tabagisme, une mauvaise alimentation et la sédentarité, au moins 80% des décès prématurés dus aux maladies cardiaques et aux accidents vasculaires cérébraux pourraient être évités.

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la Journée mondiale pour réanimer un cœur

o  Nous savons que la grande majorité des arrêts cardiaques surviennent en milieu extrahospitalier.

 

o  Nous savons aussi que la plupart des personnes qui subissent un arrêt cardiaque dans ces circonstances ne survivent pas.

 

o  Nous savons enfin que des gestes rapides par des secouristes non professionnels augmentent les chances de survie.

 

Le 16 octobre, qui sera la quatrième Journée mondiale pour réanimer un cœur annuelle, nous vous invitons à participer à cette campagne mondiale de sensibilisation à l’arrêt cardiaque. La campagne rappelle à quel point il est important d’acquérir des compétences de base en RCR et d’apprendre comment utiliser un DEA.

 

Aidez Cœur + AVC et nos partenaires internationaux à diffuser un message important dans les médias sociaux : N’importe qui peut apprendre les manœuvres de RCR de base et utiliser un DEA.

 

Chaque année, la Journée mondiale pour réanimer un cœur a un thème différent. Cette année, il s’agit des survivants. Si vous voulez partager une ou deux histoires de survivants qui sont encore parmi nous aujourd’hui grâce à la RCR pratiquée par un secouriste non professionnel, veuillez utiliser le mot-dièse #CPRSavedMyLife.

 

Notre objectif, collectivement, pour cette journée de sensibilisation, est parfaitement clair : favoriser l’adoption à grande échelle de la RCR pratiquée par des secouristes non professionnels et améliorer ainsi les taux de survie à un arrêt cardiaque pour sauver plus de vies.

 

Nous avons préparé pour vous une trousse médiatique axée sur les médias sociaux qui comprend des messages que vous pouvez utiliser tels quels ou personnaliser, ainsi que des images téléchargeables et des vidéos d’une durée de 90 secondes sur l’apprentissage des manœuvres de RCR et l’utilisation d’un DEA. Nous vous encourageons à partager la trousse avec votre famille, vos amis et vos collègues afin de transmettre le message au plus grand nombre possible de gens dans les environs du 16 octobre. Encouragez vos destinataires à la partager également! Une autre bonne idée consisterait tout simplement à partager nos publications avec vos parents, amis et collègues.

 

N’oubliez pas d’inclure #WorldRestartAHeart dans vos messages. L’International Liaison Committee on Resuscitation (comité de liaison international sur la réanimation) qui a lancé l’initiative de la Journée mondiale pour réanimer un cœur utilisera le mot-clic pour faire le suivi du nombre de publications. Si vous décidez d’animer un webinaire ou de créer une activité liée à la Journée mondiale pour réanimer un cœur, par exemple sur Facebook, veuillez transmettre le nombre de participants (si vous le connaissez) à votre gestionnaire du programme de réanimation afin que nous puissions les inclure dans notre décompte à l’échelle du pays.

 

Ensemble, nous pouvons faire la différence recherchée. 

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Le gouvernement du Canada propose d’imprimer des avertissements sanitaires sur les cigarettes individuelles

Communiqué de presse

Les mesures proposées visent à renforcer la réglementation sur l’emballage et l’étiquetage des produits du tabac

10 juin 2022 | Ottawa (Ontario) | Santé Canada

Malgré des décennies d’efforts, le tabagisme demeure la principale cause évitable de maladies et de décès précoces au Canada; environ 48 000 Canadiennes et Canadiens en meurent chaque année. Les mises en garde sur les produits de tabac étaient nouvelles et provocantes lorsqu’elles sont apparues il y a plus d’une décennie, mais ces messages ont probablement perdu une partie de leur impact pour les 13 % de la population qui fument et qui les voient régulièrement.

Pour en faire davantage afin de protéger la santé des Canadiennes et Canadiens ainsi que veiller à bien les informer sur les risques à la santé liés au tabagisme, le gouvernement du Canada propose de mettre à jour les messages et les images liés à la santé, imprimés sur les emballages de cigarettes et d’autres produits du tabac.

Aujourd’hui, l’honorable Carolyn Bennett, ministre de la Santé mentale et des Dépendances et ministre associée de la Santé, a annoncé le lancement d’une période de consultation publique de 75 jours à compter du 11 juin pour recueillir les commentaires des membres de la population canadienne en appui à l’élaboration du nouveau projet de règlement sur l’étiquetage des produits du tabac. Un élément majeur du projet de règlement est l’introduction d’avertissements sanitaires imprimés sur les cigarettes individuelles, les cigares qui comportent un filtre, et les tubes à cigarettes.

Ce nouvel emballage contribuerait à faire en sorte que des messages liés à la santé rejoignent les gens qui ont souvent accès à des cigarettes une à la fois dans des situations sociales, particulièrement les adolescents et les jeunes adultes. L’étiquetage du papier de manchette des cigarettes et des autres produits du tabac rendrait pratiquement impossible l’évitement des avertissements sanitaires. Si ce projet était mis en œuvre, le Canada serait le premier pays au monde à imposer une telle exigence.

Le projet de règlement s’appuierait également sur les exigences existantes en mettant à jour les messages actuels, liés à la santé en étendant les exigences en matière de messages à tous les emballages de produits du tabac et en mettant en œuvre une rotation périodique des messages, entre autres mesures.

Ces messages comprendraient une longue liste des dangers pour la santé et des effets négatifs sur la santé à inclure dans les avertissements sanitaires figurant sur les produits du tabac et dans les messages d’information sur la santé, y compris le cancer de l’estomac, le cancer colorectal, le diabète, les maladies vasculaires périphériques et le cancer du col de l’utérus.

En outre, le projet de règlement appuierait la Stratégie canadienne sur le tabac en contribuant à prévenir la dépendance à long terme au tabac, à réduire les décès et les maladies liés au tabac et à alléger le fardeau du tabagisme sur le système de santé et la société canadienne.

Le projet de règlement est publié à la Partie I de la Gazette du Canada. Pour participer à la consultation, les parties intéressées peuvent envoyer leurs commentaires à pregs@hc-sc.gc.ca jusqu’au 25 août. Les commentaires recueillis lors de la consultation serviront à orienter l’élaboration du règlement définitif.

Citations

« La réduction des dommages dévastateurs du tabagisme demeure une priorité absolue pour la santé et les soins de santé au Canada. Afin de mieux informer les Canadiens des effets du tabagisme sur leur santé et sur celle de ceux qui les entourent, le gouvernement propose de renforcer la réglementation qui introduirait de nouveaux avertissements de dangers pour la santé et d’effets négatifs sur la santé des produits du tabac. Lorsque mises en œuvre, elles préviendraient les effets évitables, car elles permettraient de mieux faire connaître les risques du tabagisme sur la santé à des millions de personnes partout au pays chaque jour, ce qui permettrait un plus grand nombre de Canadiens à vivre en meilleure santé, plus heureux et sans tabac. »

L’honorable Carolyn Bennett
Ministre de la Santé mentale et des Dépendances et ministre associée de la Santé

« En tant que gouvernement, nous sommes résolus à utiliser tous les outils disponibles — y compris les emballages et l’étiquetage des produits du tabac — pour contribuer à protéger la santé de toute la population, surtout les jeunes et les non-fumeurs. À l’aide de la Stratégie canadienne sur le tabac, nous visons une réduction du taux de tabagisme de 13 % à moins de 5 % d’ici 2035, et nous sommes en voie de l’atteindre. Pour le bien-être de tous, il est crucial de nous assurer que chaque personne au pays est en mesure d’obtenir de l’information fiable sur les risques associés au tabagisme afin de faire de meilleurs choix. »

L’honorable Jean-Yves Duclos
Ministre de la Santé

« En tant que leader mondial de l’abandon du tabac et foyer du modèle d’Ottawa pour l’abandon du tabac, l’Institut de cardiologie de l’Université d’Ottawa se réjouit de toute initiative visant à réduire la consommation du tabac et de produits dérivés du tabac, pour prévenir les crises cardiaques et sauver des milliers de vies au Canada. »

Dr Thierry Mesana
Président-directeur général, Institut de cardiologie de l’Université d’Ottawa

« Le règlement proposé est une mesure essentielle et efficace pour réduire l’usage du tabac, et constitue une percée internationale à plusieurs égards, y compris avec certaines dispositions qui établissent un précédent mondial. Le Canada a déjà le meilleur règlement au monde sur l’emballage neutre des produits du tabac. Avec le projet de règlement, il disposerait également du meilleur système mondial de mise en garde contre le tabagisme, y compris des messages améliorés à l’extérieur de l’emballage, des messages à l’intérieur de l’emballage qui sont uniques à l’échelle internationale, et des messages sur la cigarette elle-même, une première mondiale. »

Rob Cunningham
Analyste principal des politiques, Société canadienne du cancer

« La Fondation des maladies du cœur et de l’AVC applaudit la proposition du gouvernement fédéral visant à renforcer les mises en garde sur les emballages de tabac, y compris la mesure audacieuse d’ajouter des mises en garde sur les cigarettes elles-mêmes. Des messages qui mettent clairement et directement en évidence les dangers associés à ces produits réduiront leur attrait pour les jeunes et appuieront les fumeurs actuels dans leurs efforts pour arrêter de fumer. »

Doug Roth
Chef de la direction, Fondation des maladies du cœur et de l’AVC

« Nous étions extrêmement heureux de l’annonce faite par la ministre Bennett au sujet de mesures visant à renforcer l’étiquetage des produits du tabac. Aujourd’hui, on a proposé d’apposer des avertissements directement sur les cigarettes, une stratégie audacieuse et percutante qui maintiendra la tendance du Canada à être un leader dans la lutte contre le tabagisme. Cela fera en sorte que le message du danger de ces produits sur la santé pulmonaire des Canadiens ne sera pas ignoré. »

Terry Dean
Président-directeur général, Association pulmonaire du Canada

« Ces nouvelles mises en garde proposées constituent une avancée importante dans la protection de la santé publique. Elles constituent un autre exemple bienvenu d’innovation canadienne en matière de réglementation du tabac. »

Cynthia Callard
Directrice générale, Physicians for a Smoke-Free Canada

« Ces messages et images sont non seulement vu par les fumeurs eux-mêmes, mais également par leurs proches, incluant les enfants. C’est plus d’un milliard de mises en garde qui circulent au Canada pendant une année. L’éducation publique provoquée par ces messages est d’une immense portée, en plus d’être totalement gratuite. »

Flory Doucas
Codirectrice et porte-parole de la Coalition québécoise pour le contrôle du tabac

Faits en bref

  • Au cours des dernières décennies, la prévalence du tabagisme est passée de 28 % en 1998 à 13 % aujourd’hui.
  • Le Canada a adopté pour la première fois en 2000 des exigences relatives aux avertissements sanitaires illustrés pour les emballages de produits du tabac afin de mieux sensibiliser le public aux dangers pour la santé et aux effets négatifs que pose le tabagisme. Les étiquettes figurant sur les emballages des produits du tabac combinent des images percutantes avec des messages visibles, informatifs et crédibles.
  • Les messages et les images actuels liés à la santé pour les cigarettes et les petits cigares sont en place depuis 2011. Ceux de la plupart des autres produits du tabac sont demeurés inchangés depuis leur introduction en 2000.
  • Le projet de règlement s’appuierait sur les réalisations des exigences actuelles en matière d’étiquetage des produits du tabac. Ce projet regrouperait également toutes les exigences en matière d’étiquetage et d’emballage des produits du tabac dans un seul règlement, soit le Règlement sur l’emballage et l’étiquetage des produits du tabac.
  • Le projet de règlement appuierait les objectifs de la Loi sur le tabac et les produits de vapotage, en particulier celui de mieux sensibiliser le public aux dangers du tabagisme pour la santé. Il appuierait également la Stratégie canadienne sur le tabac et son objectif d’atteindre un taux de tabagisme de moins de 5 % d’ici 2035.
  • Le projet de règlement permettrait au Canada de se conformer pleinement à ses obligations en matière d’étiquetage du tabac en vertu de l’article 11 de la Convention-cadre de l’Organisation mondiale de la santé pour la lutte antitabac en appliquant les exigences concernant les avertissements sanitaires et l’information sur la toxicité aux emballages de tous les produits du tabac.
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Le tabac est responsable de 20 % des décès dus aux cardiopathies coronariennes

Selon un rapport conjoint publié aujourd’hui par l’Organisation mondiale de la Santé, la Fédération mondiale du cœur et l’Université de Newcastle (Australie) à l’occasion de la Journée mondiale du cœur, qui sera célébrée le 29 septembre, 1,9 million de personnes meurent chaque année de maladies cardiaques provoquées par le tabac.

Qu’est-ce que la Journée mondiale du cœur?

Santé et mieux-être

Aider les Néo-Brunswickois à vivre plus sainement – Société médicale du Nouveau-Brunswick

Comme le dit si bien le vieil adage, mieux vaut prévenir que guérir. La Société médicale du Nouveau-Brunswick est convaincue qu’il faut être proactif pour la santé de nos patients et notre système. L’avenir du Nouveau-Brunswick dépend de la santé de sa population. Nos campagnes sur la santé habilitent les Néo-Brunswickois à prendre leur propre santé en main. Consultez toutes nos campagnes de sensibilisation auprès du public ici.

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Amélioration du système de santé – Société médicale du Nouveau-Brunswick

La Société médicale du Nouveau-Brunswick plaide en faveur de meilleurs soins de santé pour les patients néo-brunswickois. Ceci signifie notamment offrir nos suggestions en matière d’amélioration aussi bien que faire connaître notre désaccord lorsque nous croyons que certains changements auront des répercussions négatives sur les services aux patients. Nous veillons à assurer que les patients reçoivent les meilleurs soins possible – avant même qu’ils ne franchissent le seuil du cabinet du médecin. Voici nos priorités.

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Annonce : Nouveau Site Web Pour Le Programme Live Well | Bien Vivre

Un nouveau site web pour le programme Live Well | Bien Vivre a été lancé.

LWBV est un programme fondé sur des faits probants qui fait appel à des pratiques optimales pour favoriser le changement de comportement en matière de santé dirigé par le client. Notre service de coaching santé professionnel est offert gratuitement, en français et en anglais, à tous les Néo-Brunswickois de 19 ans et plus.

Archives – Webinaires – Coalition pour une saine alimentation et l’activité physique

Webinaires sur divers sujets de mieux-être intéressant les Néo-Brunswickois.

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Archives de balados – Q&A – Coalition pour une saine alimentation et l’activité physique – EN ANGLAIS SEULEMENT

Une série de balados fort populaire présentant une variété de sujets sur le mieux-être qui intéressent les Néo-Brunswickois.

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AVC et santé mentale : les effets invisibles et inéquitables sur les femmes

Cœur + AVC
Communiqué de presse
Nouveau rapport : L’AVC menace la santé mentale des femmes
La dépression et l’anxiété sont plus fréquentes chez les femmes, mais le soutien et les
services sont insuffisants
Le 1er juin 2023 – Un nouveau rapport de Cœur + AVC révèle que les femmes sont touchées plus durement
que les hommes par la dépression et l’anxiété à la suite d’un AVC. Le rapport AVC et santé mentale : les
effets invisibles et inéquitables sur les femmes souligne également que les femmes ont moins
d’occasions de faire de la réadaptation que les hommes après un AVC et qu’elles ne reçoivent pas les soins
dont elles ont besoin en santé mentale.
L’incidence de l’AVC est en hausse au pays. D’autre part, une plus grande sensibilisation et de meilleurs
traitements et soins font en sorte que de plus en plus de personnes survivent à un AVC. De nouvelles
données révèlent que plus de 920 000 personnes au pays vivent actuellement avec les séquelles d’un AVC,
notamment des problèmes de santé mentale comme l’anxiété et la dépression.
La santé mentale des femmes après un AVC
La dépression est fréquente après un AVC, mais les femmes présentent un risque accru. Elles sont de 20 %
à 70 % plus susceptibles d’en subir une que les hommes, et elles sont aussi plus à risque de développer de
l’anxiété après un AVC. Les problèmes de santé mentale comme l’anxiété et la dépression ne sont pas aussi
visibles que les incapacités physiques, mais elles n’en sont pas moins dévastatrices.
« Si vous êtes atteint de dépression après un AVC, vous avez moins de chance de retrouver votre
autonomie et de retourner à votre domicile, et votre risque de mourir augmente », affirme le Dr Mark Bayley,
directeur médical à l’Institut de réadaptation de Toronto du réseau universitaire de santé et chercheur
subventionné par Cœur + AVC.
Lisa Meeches, une productrice de cinéma et de télévision de la Première Nation de Long Plain, au Manitoba,
a subi un AVC en 2016. Elle a puisé la force de se rétablir auprès de nombreuses personnes, y compris son
équipe de professionnels de la santé, sa famille, sa communauté et ses aînés. Lisa consulte encore un
thérapeute autochtone. Elle aimerait que l’on parle davantage de santé mentale et émotionnelle lorsqu’il est
question de rétablissement après un AVC. Elle presse les autres femmes qui ont subi un AVC de prendre
soin d’elles, d’avoir la force d’arrêter et de se reposer, de trouver leur équilibre et de dire « non » au besoin.
« J’ai appris à vivre pleinement chaque jour. Je délègue davantage, dit Lisa. Je prends vraiment bien soin de
moi, je m’entoure de gens positifs et je passe du temps avec ma famille et mes amis. J’ai également appris à
ne pas entreprendre des combats que je sais que je ne gagnerai pas. »
Bien qu’un AVC peut se produire à tout âge et à tout moment de la vie, les femmes présentent un risque
plus élevé durant trois périodes importantes de leur vie : pendant la grossesse, tout de suite après la
ménopause et au troisième âge. En outre, les rôles de genre et l’étape de la vie à laquelle elles sont rendues
font que les femmes sont confrontées à des épreuves qui affectent leur santé mentale pendant qu’elles se
rétablissent d’un AVC :
• Les femmes plus jeunes ont souvent de nombreuses responsabilités, comme s’occuper de leurs
enfants et travailler, et il peut être difficile de faire tout cela après un AVC. De plus, elles peuvent se
sentir déconnectées et isolées, car très peu de gens de leur âge savent ce que c’est de subir un
AVC.
• Les femmes âgées sont celles qui subissent le plus d’AVC, et ceux-ci sont plus graves. L’anxiété et
la dépression après un AVC ont des conséquences négatives importantes sur ce groupe d’âge.
• Les femmes ne font pas toujours passer leur santé en premier et elles jouent souvent un rôle
d’aidant plus important que les hommes.
Lee-Anne Greer, psychologue à l’Île-du-Prince-Édouard, travaille auprès de patients qui ont subi un AVC.
Elle a observé des disparités dans les rôles des femmes et les attentes envers celles-ci. « J’ai vu à quel
point des mères qui subissent un AVC peuvent se battre pour jouer tous les mêmes rôles qu’elles
occupaient auparavant, et parfois même essayer de retourner au travail en même temps », dit-elle.
Malheureusement, les femmes qui subissent un AVC ne reçoivent pas le soutien dont elles ont besoin en
santé mentale. Les ressources et les services offrant du soutien en santé mentale après un AVC sont
insuffisants. En outre, ils sont dispendieux pour les personnes qui ne possèdent pas d’assurance-maladie
complémentaire complète et les listes d’attente peuvent être longues. De plus, ce ne sont pas tous les
thérapeutes et conseillers qui comprennent l’AVC et les incapacités qui peuvent en découler, comme les
changements cognitifs ou l’aphasie.
En plus des services professionnels offrant de l’aide en santé mentale après un AVC, les réseaux sociaux,
comme les groupes de soutien par les pairs, peuvent jouer un rôle important dans le rétablissement des
femmes. « Discuter avec d’autres personnes concorde avec la façon dont bon nombre de femmes affrontent
les difficultés », dit Mme Greer.
« Nous avons révolutionné les soins de l’AVC au pays au cours des dernières décennies, mais les services
de rétablissement n’ont pas suivi le rythme, affirme Patrice Lindsay, directrice, Systèmes de santé chez
Cœur + AVC. Nous devons améliorer le soutien après un AVC afin d’offrir davantage de services en santé
mentale. Nous devons aussi nous assurer que les femmes disposent d’un accès équitable et qu’elles se
fassent entendre. »
Les femmes ont moins d’occasions de faire de la réadaptation que les hommes et elles sont
touchées de manière disproportionnée par l’AVC
Les femmes qui subissent un AVC sont plus susceptibles d’en mourir que les hommes. En 2019, 32 % plus
de femmes que d’hommes en sont décédées. Lorsque des femmes survivent à un AVC, elles se rétablissent
moins bien. Les femmes sont 60 % moins susceptibles que les hommes de retrouver leur autonomie dans
leurs activités quotidiennes après un AVC. De plus, elles déclarent avoir une qualité de vie moindre après un
AVC. Les femmes continuent d’être sous-représentées dans les essais cliniques sur l’AVC, y compris dans
ceux qui portent sur la réadaptation après un AVC. Moins de femmes que d’hommes participent à un
programme de réadaptation après un AVC. Elles sont aussi moins susceptibles que les hommes de
retourner à la maison après un AVC. En effet, elles sont deux fois plus nombreuses que les hommes à s’en
aller dans des établissements de soins de longue durée en raison du manque de soutien à la maison.
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À propos de Cœur + AVC
La vie. Ne passez pas à côté. C’est pour cette raison que Cœur + AVC mène la lutte contre les maladies du
cœur et l’AVC depuis 70 ans. Nous devons propulser les prochaines découvertes médicales afin que les
gens au pays ne passent pas à côté de moments précieux. Ensemble, nous travaillons à prévenir les
maladies, à sauver des vies et à favoriser le rétablissement grâce à la recherche, à la promotion de la santé
et aux politiques publiques. coeuretavc.ca @coeuretavc
Coordonnées
Stephanie Lawrence
Stephanie.Lawrence@heartandstroke.ca

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Avis – Les pochettes buccales de nicotine non autorisées peuvent poser des risques graves pour la santé

Résumé
Produits :
 Pochettes buccales de nicotine (placées entre la gencive et la joue), également appelées pochettes de nicotine sans tabac et pochettes de nicotine par voie orale.
Problème : Les pochettes buccales de nicotine ne sont pas autorisées au Canada et peuvent poser des risques graves pour la santé.
Que faire : N’utilisez pas les pochettes buccales de nicotine non autorisées.

Brise l’illusion!

Informations et ressources sur le vapotage pour les enseignants et les instructeurs.

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Campagne d’abandon du tabagisme à l’intention des adultes

Du 15 au 29 mars 2021, la Campagne d’abandon du tabagisme à l’intention des adultes de Santé Canada a rappelé aux Canadiens et Canadiennes de 50 ans et plus qui fument qu’il n’est jamais trop tard pour arrêter de fumer et qu’obtenir un soutien améliore leurs chances d’y parvenir.

Nous vous invitons à parcourir le matériel de la campagne, et à contempler l’option d’amplifier ces messages importants de manière organique à travers vos plateformes de communication.

Cliquez notre dossier Google Drive pour visionner ou télécharger le contenu, notamment:

  • Vidéo (ou partager directement à partir de YouTube enfrançaiset en anglais)
  • Bannières animées
  • Carrousel Facebook
  • Fichier avec texte et URL suggérés

Vous trouverez aussi une toute nouvelle page web remaniée au Canada.ca/arreter-fumer.

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Campagne Le mieux-être est parmi nous

Une nouvelle campagne Mouvement du mieux-être a été lancée au Nouveau-Brunswick!

Nous sommes heureux de dévoiler une nouvelle campagne de sensibilisation, Le mieux-être est parmi nous, dans le cadre du Mouvement du mieux-être au Nouveau-Brunswick. La campagne se déroulera de juin à octobre 2021.

La campagne envoie des messages qui inspirent la réflexion sur les gens, les endroits et les conditions, au-delà du système de soins de santé, qui influencent la santé et le mieux-être des gens et des communautés au Nouveau-Brunswick. La population est invitée à découvrir cette campagne en consultant une nouvelle page d’accueil et en explorant les ressources sur le site Web du Mouvement du mieux-être.

Nous avons besoin de votre aide pour parler de la campagne

Le mieux-être est parmi nous partout au Nouveau-Brunswick. Veuillez distribuer les renseignements sur cette campagne.

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Défaillance du système : en raison des inégalités en matière de soins de santé, la santé cardiaque et cérébrale des femmes continue d’être négligée

Il est temps de transformer le système

Les femmes représentent un peu plus de la moitié de la population au pays. Pourtant, des lacunes en matière de recherche, de diagnostic et de soins menacent leur santé cardiaque et cérébrale. Pour beaucoup d’entre elles, ces lacunes sont aggravées par des facteurs qui se croisent et se chevauchent, ce qui augmente leurs risques.

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Fiche-conseil en matière de mieux-être – Vie sans tabac – Le Mouvement du Mieux-être – 2019

Une fiche-conseil sur la vie sans tabac, l’un des aspects clés sur lesquels se concentre Le Mouvement du mieux-être.

L’association Pulmonaire du Nouveau -Brunswick fait la promotion de sa campagne annuelle de sensibilisation à l’Influenza

L’association Pulmonaire du Nouveau -Brunswick fait la promotion de sa campagne annuelle de sensibilisation à l’Influenza dans le but d’éduquer les gens sur le fait que l’influenza peut mettre la vie en danger. Étant donné que de nombreuses personnes ne sont toujours pas vaccinées contre la COVID-19 et compte tenu de l’émergence de nouveaux variants, il est toujours aussi important de se faire vacciner contre l’influenza.

 

Faites-vous vacciner contre l’influenza chaque année

Il est important de vous faire vacciner chaque année contre l’influenza pour les raisons suivantes:

  • Le type du virus de l’influenza change généralement d’une année à l’autre
  • Un nouveau vaccin est créé chaque année pour vous protéger durant la période de l’Influenza
  • L’efficacité du vaccin peut s’affaiblir avec le temps, vous avez donc besoin d’un nouveau vaccin chaque année pour rester protégé

Le vaccin contre l’influenza est sans danger

  • Les réactions sévères sont très rares
  • Vous ne pouvez pas contracter l’influenza par l’immunisation
  • La plupart des gens n’ont pas d’effets secondaires dus à la vaccination contre l’influenza

Il existe maintenant des vaccins contre l’influenza conçus spécifiquement pour les personnes âgées « appelé vaccin contre l’influenza  à forte dose. » Une amélioration au Programme de  contre l’influenza du N.-B. consiste à offrir gratuitement le vaccin Haute dose à toutes les personnes de 65 ans et plus. Demandez à votre médecin de vous recommandé le vaccin qui vous convient.

https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies/grippe-influenza.html

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L’insuffisance cardiaque au Canada; un problème de santé complexe et incurable en croissance

Cœur + AVC Communiqué de presse

L’insuffisance cardiaque au Canada; un problème de santé complexe et
incurable en croissance
Un plan d’action national améliorera l’accès à un diagnostic ainsi que la qualité des soins et le
soutien offert

Le 1er février 2022 – Un nouveau rapport de Cœur + AVC indique que l’insuffisance cardiaque, un problème
de santé grave en croissance au pays, met à rude épreuve les personnes qui en sont atteintes, leur famille
et le système de santé. Comme le révèle le document Des efforts insuffisants : les mesures insuffisantes au
pays pour les personnes vivant avec une insuffisance cardiaque et la façon de changer les choses, malgré
certains progrès, il reste difficile de se retrouver dans notre système de santé cloisonné et de combler les
importantes lacunes en matière de diagnostic, de traitements et de soutien.
Au pays, 750 000 personnes vivent avec l’insuffisance cardiaque et, chaque année, 100 000 personnes
reçoivent un diagnostic de cette maladie incurable. Selon un nouveau sondage de Cœur + AVC*,
l’insuffisance cardiaque touche une personne sur trois au pays, soit parce qu’elle en est elle-même atteinte,
soit parce qu’elle touche un membre de sa famille ou un ami proche.
« L’insuffisance cardiaque est une épidémie. Il s’agit de l’une des maladies cardiovasculaires dont le nombre
de cas augmente le plus rapidement dans le monde, » mentionne Dre Anique Ducharme, présidente, Société
canadienne d’insuffisance cardiaque; professeure de médecine, Université de Montréal; et cardiologue,
Institut de cardiologie de Montréal.
Tout ce qui endommage le cœur peut entraîner l’insuffisance cardiaque. Selon les experts, la hausse du
taux d’insuffisance cardiaque se poursuivra en raison du vieillissement de la population et de l’augmentation
du nombre de personnes jeunes recevant un diagnostic (grâce à de meilleurs outils de détection et en raison
de l’augmentation de certains facteurs de risque). La COVID-19 peut provoquer des lésions cardiaques
susceptibles d’entraîner une insuffisance cardiaque. De plus, en perturbant les services de santé, la
pandémie a empêché des personnes atteintes de maladies du cœur d’accéder à des soins, ce qui a aggravé
leur état.
L’insuffisance cardiaque, un prix à payer pour tout le monde
L’insuffisance cardiaque est une maladie chronique due au fait que le cœur ne fonctionne pas comme il le
devrait ou à un problème de structure. Elle peut se produire si le cœur est trop faible ou trop rigide, ou les
deux. L’insuffisance cardiaque se traduit souvent par de la fatigue et un essoufflement, en plus d’augmenter
les risques de dépression, d’anxiété et d’une qualité de vie réduite chez les personnes atteintes. En outre,
les conséquences de cette maladie peuvent être lourdes pour les membres de la famille et les aidants, qui
doivent gérer une foule de rendez-vous, de médicaments et de fréquents déplacements au service des
urgences.
« Il s’agit essentiellement d’un travail à temps plein », affirme Heather Lannon, qui s’est occupée de son
mari, Jamie, pendant neuf ans après le diagnostic de son insuffisance cardiaque.
L’insuffisance cardiaque est l’une des principales raisons pour lesquelles les citoyens se retrouvent à
l’hôpital. Il s’agit d’une maladie « de la porte tournante » parce que sur cinq patients admis à cause de celleci, l’un d’entre eux sera réadmis dans le mois suivant. D’ici 2030, on prévoit que les coûts de soins de santé
associés à l’insuffisance cardiaque atteindront 2,8 milliards de dollars par année au pays.
Une maladie à la fois complexe, chronique, incurable et mal comprise
Parmi les personnes atteintes d’insuffisance cardiaque, la plupart ont d’une à sept autres maladies
importantes touchant le cœur (diabète, hypertension, fibrillation auriculaire, etc.) ce qui rend le traitement
plus complexe et affecte la qualité de vie. Près de la moitié des personnes vivant avec une insuffisance
cardiaque meurent dans les cinq ans suivant le diagnostic.
Selon un sondage de Cœur + AVC, la population connaît mal la maladie et l’urgence de lutter contre
celle-ci :
• Quatre personnes sur dix ne savent même pas ce qu’est l’insuffisance cardiaque.
• Une personne sur trois ne sait pas que l’insuffisance cardiaque est en hausse.
• Deux personnes sur trois ignorent qu’il n’existe pas de remède à l’insuffisance cardiaque.
Le combat contre l’insuffisance cardiaque sur tous les fronts
Un diagnostic précoce, des changements au mode de vie, l’accès à des médicaments, des dispositifs
médicaux (tels que les stimulateurs cardiaques, les valvules cardiaques artificielles ou les pompes) et du
soutien communautaire peuvent améliorer les résultats au niveau de la santé et de la qualité de vie.
« Je pensais que j’étais invincible, mais une insuffisance cardiaque m’a vaincu », raconte Kevin Lobo, un
homme en forme qui était âgé de 38 ans au moment où il a reçu son diagnostic d’insuffisance cardiaque.
Une endoprothèse d’importance vitale, des médicaments, puis une opération à cœur ouvert l’ont aidé à
gérer son état. Kevin reste optimiste et déterminé à vivre pleinement. « Je conduis encore. Je continue à
m’entraîner. Je joue encore au golf. Je fais tout ce que je veux. »
Malheureusement, plusieurs facteurs peuvent avoir un impact sur le traitement et le soutien que reçoivent
les personnes atteintes d’insuffisance cardiaque, notamment l’origine ethnique, le revenu, le sexe et le lieu
de résidence.
Selon un inventaire des ressources et des services en matière d’insuffisance cardiaque** de Cœur + AVC,
nous pouvons faire beaucoup plus dans plusieurs domaines liés à l’insuffisance cardiaque partout au pays.
Par exemple, 27 % des hôpitaux n’ont pas accès à l’analyse des peptides natriurétiques, une méthode clé
pour diagnostiquer l’insuffisance cardiaque, et dans 16 % d’entre eux, le personnel ne suit pas les lignes
directrices publiées en matière de soins de l’insuffisance cardiaque.
« Des progrès ont été réalisés pour améliorer les résultats et la qualité de vie des personnes souffrant
d’insuffisance cardiaque, grâce à d’importantes recherches. Mais on pourrait, et on devrait, faire beaucoup
plus, d’autant plus que le nombre de cas d’insuffisance cardiaque ne cesse d’augmenter, déclare
Patrice Lindsay, directrice, Changement au sein du système de santé, Cœur + AVC. C’est pourquoi
Cœur + AVC a réuni des organismes axés sur les maladies du cœur de premier plan et d’autres organismes
partout au pays pour piloter un plan d’action, éclairé par des infirmières, des cardiologues, des pharmaciens,
et des personnes vivant avec une insuffisance cardiaque et leurs aidants. »
Le plan d’action met l’accent sur une approche intégrée de l’insuffisance cardiaque dans tout le pays,
notamment :
• Des systèmes de soins intégrés
• Des soins fondés sur des données probantes et sur des recherches de grande qualité
• L’accès à des soins spécialisés
• Une transition des soins coordonnée et transparente
• Du soutien aux personnes vivant avec une insuffisance cardiaque, à leurs familles et à leurs aidants
Pour améliorer les résultats et la qualité de vie chez les personnes atteintes d’insuffisance cardiaque, il faut
également faciliter l’accès aux médicaments nécessaires grâce à un régime d’assurance-médicaments
national universel et élargir l’accès aux soins virtuels.

*Le sondage en ligne national et bilingue a été mené par Environics Research Group auprès de 2 257 résidents canadiens âgés de
18 ans et plus, du 8 au 13 novembre 2021.
**L’inventaire des ressources et services en matière d’insuffisance cardiaque de Cœur + AVC a été réalisé tout au long de l’année 2021
et les données provisoires fournies dans ce rapport comprennent les réponses de 405 des 654 établissements de soins de courte durée
au Canada, en date du 18 novembre 2021. Certaines valeurs peuvent être légèrement modifiées une fois la collecte complète des
données terminée.

À propos de Cœur + AVC
La vie. Ne passez pas à côté. C’est pour cette raison que Cœur + AVC mène la lutte contre les maladies du
cœur et l’AVC. Nous devons propulser les prochaines découvertes médicales afin que les gens au pays ne
passent pas à côté de moments précieux. Ensemble, nous travaillons à prévenir les maladies, à sauver des
vies et à promouvoir le rétablissement grâce à la recherche, à la promotion de la santé et aux politiques
publiques. coeuretavc.ca @coeuretavc

la Journée mondiale pour réanimer un cœur

o  Nous savons que la grande majorité des arrêts cardiaques surviennent en milieu extrahospitalier.

 

o  Nous savons aussi que la plupart des personnes qui subissent un arrêt cardiaque dans ces circonstances ne survivent pas.

 

o  Nous savons enfin que des gestes rapides par des secouristes non professionnels augmentent les chances de survie.

 

Le 16 octobre, qui sera la quatrième Journée mondiale pour réanimer un cœur annuelle, nous vous invitons à participer à cette campagne mondiale de sensibilisation à l’arrêt cardiaque. La campagne rappelle à quel point il est important d’acquérir des compétences de base en RCR et d’apprendre comment utiliser un DEA.

 

Aidez Cœur + AVC et nos partenaires internationaux à diffuser un message important dans les médias sociaux : N’importe qui peut apprendre les manœuvres de RCR de base et utiliser un DEA.

 

Chaque année, la Journée mondiale pour réanimer un cœur a un thème différent. Cette année, il s’agit des survivants. Si vous voulez partager une ou deux histoires de survivants qui sont encore parmi nous aujourd’hui grâce à la RCR pratiquée par un secouriste non professionnel, veuillez utiliser le mot-dièse #CPRSavedMyLife.

 

Notre objectif, collectivement, pour cette journée de sensibilisation, est parfaitement clair : favoriser l’adoption à grande échelle de la RCR pratiquée par des secouristes non professionnels et améliorer ainsi les taux de survie à un arrêt cardiaque pour sauver plus de vies.

 

Nous avons préparé pour vous une trousse médiatique axée sur les médias sociaux qui comprend des messages que vous pouvez utiliser tels quels ou personnaliser, ainsi que des images téléchargeables et des vidéos d’une durée de 90 secondes sur l’apprentissage des manœuvres de RCR et l’utilisation d’un DEA. Nous vous encourageons à partager la trousse avec votre famille, vos amis et vos collègues afin de transmettre le message au plus grand nombre possible de gens dans les environs du 16 octobre. Encouragez vos destinataires à la partager également! Une autre bonne idée consisterait tout simplement à partager nos publications avec vos parents, amis et collègues.

 

N’oubliez pas d’inclure #WorldRestartAHeart dans vos messages. L’International Liaison Committee on Resuscitation (comité de liaison international sur la réanimation) qui a lancé l’initiative de la Journée mondiale pour réanimer un cœur utilisera le mot-clic pour faire le suivi du nombre de publications. Si vous décidez d’animer un webinaire ou de créer une activité liée à la Journée mondiale pour réanimer un cœur, par exemple sur Facebook, veuillez transmettre le nombre de participants (si vous le connaissez) à votre gestionnaire du programme de réanimation afin que nous puissions les inclure dans notre décompte à l’échelle du pays.

 

Ensemble, nous pouvons faire la différence recherchée. 

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La ministre de la Santé annonce du financement pour des projets qui encourage les Canadiens à abandonner le tabac

Afin de souligner la Journée mondiale sans tabac, l’honorable Patty Hajdu, ministre de la Santé, a annoncé un financement de près de 4,8 millions de dollars pour des organismes partout au pays et des services qui aideront les Canadiens à cesser le tabac et réduiront le taux de vapotage chez les jeunes.

Le Mouvement du mieux-être – Déterminants de la santé

Une affiche colorée présentant les 12 déterminants de la santé adoptés dans le cadre de la Stratégie du mieux-être du Nouveau-Brunswick. Offerte en format 8½ » par 14″ pour être imprimée et utilisée à des fins éducatives, pour aborder l’influence des déterminants de la santé sur le mieux-être des individus comme des communautés.

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Le radon est la principale cause de cancer du poumon parmi les non fumeurs

En novembre, dans le cadre du Mois de la sensibilisation au radon, Santé Canada encourage les Canadiens à prendre le temps de vérifier la présence de radon dans leurs maisons. Le radon est la principale cause de cancer du poumon parmi les non fumeurs, ce qui cause la mort de plus de 3 200 Canadiens chaque année.

Le radon est un gaz radioactif qui provient de la dégradation naturelle de l’uranium présent dans le sol. Il peut facilement s’infiltrer dans une maison par toutes les ouvertures en contact avec le sole comme les fissures dans les planchers et les murs. Il s’agit d’un gaz invisible, inodore et sans goût. Toutes les maisons et tous les immeubles ont une certaine concentration de radon. La seule façon de connaître la quantité de radon dans votre maison est de faire un test.

Découvrez ce que vous pouvez faire sur la page Web Occupe Toi Du Radon et n’oubliez pas que certaines bibliothèques locales ont également des programmes de prêt pour les trousses d’analyses du radon.

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Le tabac est responsable de 20 % des décès dus aux cardiopathies coronariennes

Selon un rapport conjoint publié aujourd’hui par l’Organisation mondiale de la Santé, la Fédération mondiale du cœur et l’Université de Newcastle (Australie) à l’occasion de la Journée mondiale du cœur, qui sera célébrée le 29 septembre, 1,9 million de personnes meurent chaque année de maladies cardiaques provoquées par le tabac.

Qu’est-ce que la Journée mondiale du cœur?

Les Antécédents De Tabagisme Liés À Des Conséquences Plus Graves De La Covid-19

L’exposition cumulée à la fumée de cigarette est un facteur de risque indépendant pour les hospitalisations et les décès liés à la COVID-19, selon un communiqué de recherche publié en ligne le 25 janvier dans la JAMA Internal Medicine.

Cet article n’est disponible qu’en anglais.

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Lutte contre la stigmatisation : vers un système de santé plus inclusif – Rapport sur l’état de la santé publique au Canada 2019 – Administratrice en chef de la santé publique au Canada – 2019

Chaque année, l’administrateur ou l’administratrice en chef de la santé publique rédige un rapport sur l’état de la santé publique au Canada. Ces rapports visent à mettre en lumière certaines questions de santé publique tout en favorisant le dialogue. Ces rapports peuvent également entraîner des mesures servant à améliorer et à protéger la santé des Canadiens. Le rapport de 2019 présente un résumé de l’état de santé général des Canadiens et comment certaines populations vivent avec une qualité de santé qui se veut moindre que celle du reste de la population. L’autre partie du rapport est axée sur la stigmatisation, l’une des raisons permettant d’expliquer ces différence.

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Mouvement acadien des communautés en santé

Le Mouvement acadien des communautés en santé du Nouveau-Brunswick (MACS-NB) est un un réseau d’action communautaire qui fait la promotion du concept de communautés en santé. Ce concept encourage la prise en charge de la santé par les communautés et populations locales par le biais d’une démarche collective vers le mieux-être.

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Mouvement du mieux-être

Le Mouvement du mieux-être est un effort collectif continu au Nouveau-Brunswick pour inspirer et soutenir la création de milieux favorables au mieux-être, incluant des foyers, écoles, milieux de travail et communautés où l’on vit sans tabac et sans fumée. Visitez leur site Web pour vous joindre au Mouvement, trouver des ressources sur un variété de sujets touchant au mieux-être, consulter un calendrier d’événements et vous laisser inspirer par des histoires à succès néo-brunswickoises.

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Mouvement du mieux-être – Connectez-vous aux réseaux mieux-être de votre région

Les pages Web régionales du Mouvement du mieux-être facilitent l’accès aux réseaux mieux-être de votre région et vous informent des initiatives mieux-être en cours près de vous. Vous y retrouverez un calendrier des évènements, des ressources, de l’information, des outils, des photos et des histoires inspirantes, en plus d’une liste des réseaux mieux-être régionaux qui se situent dans votre région.

NOVEMBRE EST LE MOIS DE LA RCR

Une femme sur quatre mourra d’une maladie cardiaque. Quand elles font un arrêt cardiaque en public, les femmes ont 27 % moins de chances de recevoir RCR d’une personne autour d’elle… Pourquoi?

Aidez à mettre fin à la stigmatisation qui tue les femmes.

Cette vidéo est uniquement offerte en anglais.

D’après une étude récente, quand les tampons d’électrodes du défibrillateur externe automatisé (DEA) sont placés DIRECTEMENT sur les armatures métalliques d’un soutien-gorge exposées afin de MAXIMISER le potentiel de décharge électrostatique, AUCUNE incidence de décharge électrostatique ou de brûlure ne se produit (126 chocs, 4 porcs, 200 joules). Il n’y a pas eu non plus d’incidence de redirection du courant et les chocs ont réussi à rétablir le rythme dès le premier essai dans 100 % des cas. Il n’existe aucune donnée scientifique ou recherche permettant d’affirmer que l’administration d’un choc à une personne portant un soutien-gorge à armatures est dangereuse ou réduit l’efficacité du ou des chocs.

Cet article est uniquement offert en anglais.

Promouvoir l’équité en santé grâce à l’information sur le cancer et aux services de soutien : Rapport sur les communautés qui sont mal desservies

En 2019, la SCC a entrepris un projet axé sur les communautés mal desservies au Canada. Ce projet
met en évidence les communautés qui ont de la difficulté à accéder à de l’information et du soutien en
matière de cancer. Lorsque les gens sont confrontés à des obstacles pour obtenir l’aide dont ils ont
besoin, cela peut avoir des répercussions négatives sur leur traitement contre le cancer, l’issue de la
maladie et l’expérience vécue globalement. Le principal objectif de ce projet est de déterminer ce dont
ces communautés ont besoin et ce que nous pouvons faire pour mieux les aider.

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Santé Canada annonce le financement d’un projet de renoncement au tabac à l’occasion de la Journée mondiale sans tabac 2021

Communiqué de presse

Le 31 mai 2021  | Ottawa (Ontario)  | Santé Canada

Le tabagisme est la principale cause évitable de maladies et de décès prématurés au Canada. Le tabagisme peut nuire à presque tous les organes du corps et est associé à plus de 40 maladies et autres graves problèmes de santé, comme le cancer du poumon, l’emphysème et les maladies du cœur.

Aujourd’hui, pour souligner la Journée mondiale sans tabac, l’honorable Patty Hajdu, ministre de la Santé, a annoncé un financement de 3 millions de dollars pour une campagne nationale de marketing social visant à encourager les gens à arrêter de fumer. Cette campagne sera le fruit d’une collaboration entre la Société canadienne du cancer, l’Association pulmonaire du Canada, l’Association canadienne de santé publique et la Fondation des maladies du cœur et de l’AVC du Canada. Le financement de ce projet a été accordé dans le cadre du Programme sur l’usage et les dépendances aux substances (PUDS) de Santé Canada. L’investissement est conforme aux objectifs de la Stratégie canadienne sur le tabac, qui vise à réduire le tabagisme à moins de 5 % d’ici 2035.

Le gouvernement du Canada est déterminé à travailler en partenariat avec des organisations de tout le pays pour maximiser la portée des efforts de sensibilisation du public sur les risques pour la santé associés aux produits du tabac et pour protéger les Canadiens et les Canadiennes – en particulier les jeunes, les non‑utilisateurs de produits du tabac et les jeunes enfants – contre les méfaits du tabagisme et de la dépendance à la nicotine.

Cesser de fumer peut être difficile, mais pas impossible. Les Canadiens et les Canadiennes qui veulent cesser de fumer n’ont pas à le faire seuls. Des services et du soutien sont offerts pour les aider à cesser de fumer. Les spécialistes formés de la ligne pancanadienne sans frais d’aide au renoncement du tabac peuvent aider les personnes à élaborer un plan d’abandon du tabac, répondre à leurs questions et les aiguiller vers des programmes et des services dans les collectivités partout au Canada, y compris des renseignements sur la façon d’obtenir des médicaments pour l’abandon du tabac qui peuvent aider à atténuer les symptômes de sevrage potentiels. Les Canadiens et les Canadiennes peuvent joindre un accompagnateur en abandon du tabac au 1-866-366-3667 ou en ligne, ou peuvent demander de l’aide à leur professionnel de la santé.

Société santé et mieux-être en français du Nouveau-Brunswick

La Société santé et mieux-être en français du Nouveau-Brunswick (SSMEFNB) est un organisme de concertation et de soutien qui favorise l’amélioration de l’accessibilité, de la continuité et de la qualité des services et programmes de santé et mieux-être de la communauté acadienne et francophone du Nouveau-Brunswick.

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Sommet en 10 – Société médicale du Nouveau-Brunswick

La Société médicale du Nouveau-Brunswick croit que le Nouveau-Brunswick peut être une des trois provinces les plus en santé dans 10 ans. Nous avons la vision d’une province qui aide ses citoyens à avoir le meilleur état de santé possible. Vous voulez nous aider à réaliser cet objectif? Faites circuler notre vidéo et notre message, et faites-nous part de vos réflexions. Quels sont vos défis en matière de santé? Quels changements pourraient être apportés dans votre collectivité pour qu’il vous soit plus facile d’être en bonne santé? Grâce à des changements simples et intelligents, nous pouvons atteindre notre objectif d’être une des trois provinces canadiennes les plus en santé dans 10 ans – #sommeten10.

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Statistiques canadiennes sur le cancer : Un rapport spécial de 2022 sur la prévalence du cancer

Un nouveau rapport publié aujourd’hui par la Société canadienne du cancer (SCC) montre que le nombre de personnes ayant ou ayant eu un cancer au pays continue de grimper, et dépasse maintenant 1,5 million. Cette prévalence, qui était auparavant estimée à 1 million il y a 10 ans, qui résulte à la fois d’une survie améliorée et d’une incidence accrue, suscite un mélange d’optimisme et de préoccupations.

Le rapport, intitulé Statistiques canadiennes sur le cancer : Rapport spécial 2022 sur la prévalence du cancer, a été élaboré par le Comité consultatif des statistiques canadiennes sur le cancer en collaboration avec la SCC, Statistique Canada et l’Agence de la santé publique du Canada.

Le rapport mentionne qu’au début de 2018, un diagnostic de cancer avait été posé dans les 25 années précédentes chez environ 1,5 million de personnes en vie au Canada, et datait de 5 à 25 ans chez 60 % d’entre elles. Ce rapport attire l’attention sur le nombre élevé de personnes faisant face ou ayant fait face au cancer qui connaissent une longue vie.

« Les investissements dans la recherche rapportent sous forme de meilleures méthodes de détection en temps opportun et de traitements plus efficaces et, par conséquent, nous voyons maintenant plus de personnes qui survivent au cancer et restent en vie plus longtemps lorsqu’elles ont ou ont eu la maladie, explique Jennifer Gillis, Ph. D., gestionnaire principale, Surveillance, à la SCC. Beaucoup de progrès ont été accomplis et nous avons de quoi célébrer collectivement, mais ces nouvelles données nous rappellent également que notre travail est loin d’être terminé. »

La prévalence augmente aussi parce que l’incidence, soit le nombre de cas diagnostiqués, augmente. En 2012, environ 193 000 personnes ont reçu un diagnostic de cancer au Canada, et le nombre a grimpé à environ 206 000 en 2017. Selon les estimations, un cancer sera diagnostiqué chez 233 900 personnes en 2022. Cette hausse de l’incidence est due en grande partie à la croissance et au vieillissement de la population du Canada, et fait ressortir l’importance de la prévention du cancer.

« La prévalence croissante, soit le nombre croissant de nouveaux cas et de survivants, entraîne des pressions à long terme sur notre système de soins de santé et démontre pourquoi nous devons unir nos efforts pour créer un système capable d’évoluer à mesure que les besoins des patients évoluent, du diagnostic jusqu’aux soins de survie ou de fin de vie », ajoute Jennifer Gillis, Ph. D.

Les répercussions du cancer sur le système de soins de santé 

Étant donné que plus de personnes font face et survivent au cancer, un système de soins de santé déjà mis à rude épreuve sera encore plus sollicité. Selon un rapport de la SCC paru en septembre 2022, L’expérience du cancer pendant la pandémie de COVID-19, la pandémie a signifié des retards et des interruptions des soins pour bien des personnes, ce qui pourrait se traduire par des cancers diagnostiqués à un stade avancé dans un contexte où notre système de soins de santé peine à composer avec la demande supplémentaire. Sans nouveaux investissements et politiques de soutien, notre système de soins de santé n’aura pas suffisamment de ressources pour répondre au nombre croissant de Canadiens qui seront atteints d’un cancer.

Puisqu’un nombre croissant de personnes vivent longtemps pendant ou après une expérience de cancer, le soutien nécessaire pour assurer une qualité de vie pendant les périodes d’après-traitement et de survie augmentera aussi.

Après avoir subi une chimiothérapie et une radiothérapie pour un cancer du sein diagnostiqué lorsqu’elle avait 30 ans, J. Nadia Headley en était au processus de reconstruction quand la pandémie de COVID-19 a soudainement frappé. Les interventions chirurgicales dont elle avait besoin ont été reportées en raison des pressions que la pandémie a exercées sur le système de soins de santé.

« La COVID-19 a entraîné deux reports des interventions chirurgicales, de quatre à cinq mois chaque fois, dit Nadia. Chaque report signifie que les prochaines opérations seront aussi reportées. On essaie d’être patient et de comprendre, mais on veut juste clore le chapitre de l’expérience du cancer. Il faut apprendre à mieux prévenir les retards dans les soins de santé. »

La SCC milite afin que tous les ordres de gouvernement collaborent et contribuent à créer un système de soins de santé pérenne pour les 1,5 million de personnes qui en ont besoin maintenant. La population canadienne a besoin que notre système de soins de santé fasse l’objet d’investissements immédiats qui garantissent l’accès équitable et rapide à des services de soins contre le cancer pour tous, peu importe leur lieu de résidence ou l’endroit où ils reçoivent des soins. Nous avons lancé les Voix du changement, un réseau de bénévoles qui veulent agir, car nous savons qu’il y a un nombre grandissant de personnes touchées par le cancer qui veulent se joindre à nos efforts pour améliorer les soins contre le cancer.

Faire progresser la recherche qui sauve des vies 

« La recherche est l’un de nos outils les plus précieux pour inverser la hausse de la prévalence de cancer dans ce pays, précise Jennifer Gillis, Ph. D. Grâce aux percées en recherche, nous n’avons jamais eu autant de moyens de prévenir les cancers, de les détecter plus tôt et de les traiter plus efficacement, et d’aider les gens à bien vivre pendant et après une expérience de cancer. »

Par exemple, grâce à la recherche, nous savons aujourd’hui que presque tous les cas de cancer du col de l’utérus sont dus à une infection par le VPH, que les variants des gènes BRCA1 et BRCA2 jouent un rôle important dans le risque de cancer du sein, de l’ovaire, de la prostate et du pancréas et que les biopsies liquides permettent aux personnes atteintes d’un cancer de la prostate d’obtenir un traitement plus efficace et de meilleurs résultats.

Comme plus de personnes font face et survivent à un cancer, il faut plus d’investissements dans la recherche pour aider à réduire le risque de cancer, améliorer les méthodes de détection en temps opportun, de diagnostic et de traitement, et assurer une excellente qualité de vie aux personnes touchées pendant et après une expérience de cancer.

C’est pourquoi la SCC continue d’investir dans des projets de recherche de calibre mondial menés un peu partout au pays. Depuis 10 ans, la SCC a investi 640 M$ dans la recherche sur le cancer et, avec le soutien des donateurs, entend augmenter régulièrement son financement annuel de la recherche dans les prochaines années. En 2021-2022, la SCC a investi 44,33 M$ dans des projets de recherche sur le cancer qui aident plus de Canadiens à prévenir le cancer, à vivre avec le cancer, à y survivre et à profiter d’une vie meilleure après le cancer.

L’un des éléments clés de l’intensification des efforts visant à prévenir le cancer et à soutenir les personnes pendant et après une expérience de cancer est le lancement récent du Centre de soutien et de prévention du cancer (CSPC) de la SCC. Premier établissement du genre au Canada, le CSPC dirige de nouveaux projets de recherche et de nouveaux programmes nationaux qui aident à prévenir le cancer avant qu’il apparaisse et à résoudre les problèmes de la vie après le cancer.

Offrir un réseau d’aide 

Les progrès en recherche apporteront des solutions à long terme pour réduire le nombre de nouveaux cas de cancer et augmenter le nombre de personnes qui survivent à la maladie, mais le soutien est essentiel pour aider les plus de 1,5 million de personnes qui font face ou survivent au cancer à l’heure actuelle.

« Du diagnostic au traitement et jusqu’à la vie après le cancer ou la fin de vie, les personnes atteintes ont besoin de se sentir soutenues tout au long de leur expérience, peu importe la durée, poursuit Jennifer Gillis, Ph. D. Des programmes de soutien empreints de compassion sont un aspect très important de l’expérience du cancer; ils aident à rendre un diagnostic moins terrifiant, à faciliter quelque peu le traitement et à améliorer le bien-être des personnes qui font face au cancer et aux survivants qui tentent de s’épanouir. »

Pour de plus amples renseignements sur les programmes de soutien offerts par la Société canadienne du cancer, visitez cancer.ca.

Pour en savoir plus sur le cancer au Canada, visitez cancer.ca/statistiques et consultez le rapport intégral ou la fiche d’information. Pour prêter votre voix et aider à améliorer les soins contre le cancer, inscrivez-vous pour devenir une voix du changement. Pour obtenir de l’information sur les programmes et services qui peuvent vous aider pendant une expérience de cancer, visitez cancer.ca.

Citations 

« Il est essentiel de disposer de données opportunes et exactes sur la prévalence du cancer au Canada pour comprendre l’impact de la maladie sur la société et sur notre système de santé. Statistique Canada est fier de contribuer au rapport sur les statistiques canadiennes sur le cancer, celui-ci donne un aperçu sur les services et la recherche nécessaires pour mieux appuyer les 1,5 million de personnes qui vivent avec le cancer au Canada. Les données sont d’une valeur inestimable pour évaluer les résultats du cancer, mesurer le chemin parcouru et identifier les domaines à améliorer. »

– Jeff Latimer, directeur général, Direction générale de la statistique de la santé, Statistique Canada

À propos des Statistiques canadiennes sur le cancer
Le rapport Statistiques canadiennes sur le cancer est le fruit d’une collaboration entre la Société canadienne du cancer, Statistique Canada et l’Agence de la santé publique du Canada. Les données sur l’incidence du cancer et la mortalité par cancer sont issues du Registre canadien du cancer et de la Base canadienne de données sur l’état civil – Décès, respectivement, qui sont gérés par Statistique Canada. Les données proviennent des registres provinciaux et territoriaux du cancer et des registraires de l’état civil. Statistique Canada a réalisé toutes les analyses liées à ce rapport, sauf les analyses par revenu et par statut urbain-rural, qui ont été menées par le Partenariat canadien contre le cancer. L’Agence de la santé publique du Canada a effectué la traduction française de ce rapport. La Société canadienne du cancer coordonne la production et la diffusion de cette publication et la finance au moyen de dons de charité. Depuis plus de 35 ans, cette publication fournit des renseignements qui orientent la prise de décision portant sur le soutien et les services requis et sur les recherches nécessaires. Elle aide aussi à mesurer l’impact de la prévention, de la détection précoce et du traitement. Pour de plus amples renseignements à propos des Statistiques canadiennes sur le cancer, visitez cancer.ca/statistiques.

À propos de la Société canadienne du cancer
La Société canadienne du cancer travaille sans relâche afin de sauver et d’améliorer des vies. Nous finançons les plus brillants chercheurs sur le cancer. Nous fournissons un réseau d’aide empreint de compassion à toutes les personnes atteintes de cancer, dans tout le Canada et pour tous les types de cancer. En tant que voix des personnes qui ont le cancer à cœur, nous travaillons de concert avec les gouvernements pour créer une société en meilleure santé. Aucun autre organisme ne fait ce que nous faisons pour faire en sorte d’améliorer des vies aujourd’hui et de transformer l’avenir du cancer à jamais.

Ensemble, agissons contre le cancer. Appelez-nous au 1 888 939-3333 ou visitez cancer.ca aujourd’hui.

Rapports et statistiques – Utilisation de produits du tabac et de vapotage et exposition à la fumée secondaire

AVC et santé mentale : les effets invisibles et inéquitables sur les femmes

Cœur + AVC
Communiqué de presse
Nouveau rapport : L’AVC menace la santé mentale des femmes
La dépression et l’anxiété sont plus fréquentes chez les femmes, mais le soutien et les
services sont insuffisants
Le 1er juin 2023 – Un nouveau rapport de Cœur + AVC révèle que les femmes sont touchées plus durement
que les hommes par la dépression et l’anxiété à la suite d’un AVC. Le rapport AVC et santé mentale : les
effets invisibles et inéquitables sur les femmes souligne également que les femmes ont moins
d’occasions de faire de la réadaptation que les hommes après un AVC et qu’elles ne reçoivent pas les soins
dont elles ont besoin en santé mentale.
L’incidence de l’AVC est en hausse au pays. D’autre part, une plus grande sensibilisation et de meilleurs
traitements et soins font en sorte que de plus en plus de personnes survivent à un AVC. De nouvelles
données révèlent que plus de 920 000 personnes au pays vivent actuellement avec les séquelles d’un AVC,
notamment des problèmes de santé mentale comme l’anxiété et la dépression.
La santé mentale des femmes après un AVC
La dépression est fréquente après un AVC, mais les femmes présentent un risque accru. Elles sont de 20 %
à 70 % plus susceptibles d’en subir une que les hommes, et elles sont aussi plus à risque de développer de
l’anxiété après un AVC. Les problèmes de santé mentale comme l’anxiété et la dépression ne sont pas aussi
visibles que les incapacités physiques, mais elles n’en sont pas moins dévastatrices.
« Si vous êtes atteint de dépression après un AVC, vous avez moins de chance de retrouver votre
autonomie et de retourner à votre domicile, et votre risque de mourir augmente », affirme le Dr Mark Bayley,
directeur médical à l’Institut de réadaptation de Toronto du réseau universitaire de santé et chercheur
subventionné par Cœur + AVC.
Lisa Meeches, une productrice de cinéma et de télévision de la Première Nation de Long Plain, au Manitoba,
a subi un AVC en 2016. Elle a puisé la force de se rétablir auprès de nombreuses personnes, y compris son
équipe de professionnels de la santé, sa famille, sa communauté et ses aînés. Lisa consulte encore un
thérapeute autochtone. Elle aimerait que l’on parle davantage de santé mentale et émotionnelle lorsqu’il est
question de rétablissement après un AVC. Elle presse les autres femmes qui ont subi un AVC de prendre
soin d’elles, d’avoir la force d’arrêter et de se reposer, de trouver leur équilibre et de dire « non » au besoin.
« J’ai appris à vivre pleinement chaque jour. Je délègue davantage, dit Lisa. Je prends vraiment bien soin de
moi, je m’entoure de gens positifs et je passe du temps avec ma famille et mes amis. J’ai également appris à
ne pas entreprendre des combats que je sais que je ne gagnerai pas. »
Bien qu’un AVC peut se produire à tout âge et à tout moment de la vie, les femmes présentent un risque
plus élevé durant trois périodes importantes de leur vie : pendant la grossesse, tout de suite après la
ménopause et au troisième âge. En outre, les rôles de genre et l’étape de la vie à laquelle elles sont rendues
font que les femmes sont confrontées à des épreuves qui affectent leur santé mentale pendant qu’elles se
rétablissent d’un AVC :
• Les femmes plus jeunes ont souvent de nombreuses responsabilités, comme s’occuper de leurs
enfants et travailler, et il peut être difficile de faire tout cela après un AVC. De plus, elles peuvent se
sentir déconnectées et isolées, car très peu de gens de leur âge savent ce que c’est de subir un
AVC.
• Les femmes âgées sont celles qui subissent le plus d’AVC, et ceux-ci sont plus graves. L’anxiété et
la dépression après un AVC ont des conséquences négatives importantes sur ce groupe d’âge.
• Les femmes ne font pas toujours passer leur santé en premier et elles jouent souvent un rôle
d’aidant plus important que les hommes.
Lee-Anne Greer, psychologue à l’Île-du-Prince-Édouard, travaille auprès de patients qui ont subi un AVC.
Elle a observé des disparités dans les rôles des femmes et les attentes envers celles-ci. « J’ai vu à quel
point des mères qui subissent un AVC peuvent se battre pour jouer tous les mêmes rôles qu’elles
occupaient auparavant, et parfois même essayer de retourner au travail en même temps », dit-elle.
Malheureusement, les femmes qui subissent un AVC ne reçoivent pas le soutien dont elles ont besoin en
santé mentale. Les ressources et les services offrant du soutien en santé mentale après un AVC sont
insuffisants. En outre, ils sont dispendieux pour les personnes qui ne possèdent pas d’assurance-maladie
complémentaire complète et les listes d’attente peuvent être longues. De plus, ce ne sont pas tous les
thérapeutes et conseillers qui comprennent l’AVC et les incapacités qui peuvent en découler, comme les
changements cognitifs ou l’aphasie.
En plus des services professionnels offrant de l’aide en santé mentale après un AVC, les réseaux sociaux,
comme les groupes de soutien par les pairs, peuvent jouer un rôle important dans le rétablissement des
femmes. « Discuter avec d’autres personnes concorde avec la façon dont bon nombre de femmes affrontent
les difficultés », dit Mme Greer.
« Nous avons révolutionné les soins de l’AVC au pays au cours des dernières décennies, mais les services
de rétablissement n’ont pas suivi le rythme, affirme Patrice Lindsay, directrice, Systèmes de santé chez
Cœur + AVC. Nous devons améliorer le soutien après un AVC afin d’offrir davantage de services en santé
mentale. Nous devons aussi nous assurer que les femmes disposent d’un accès équitable et qu’elles se
fassent entendre. »
Les femmes ont moins d’occasions de faire de la réadaptation que les hommes et elles sont
touchées de manière disproportionnée par l’AVC
Les femmes qui subissent un AVC sont plus susceptibles d’en mourir que les hommes. En 2019, 32 % plus
de femmes que d’hommes en sont décédées. Lorsque des femmes survivent à un AVC, elles se rétablissent
moins bien. Les femmes sont 60 % moins susceptibles que les hommes de retrouver leur autonomie dans
leurs activités quotidiennes après un AVC. De plus, elles déclarent avoir une qualité de vie moindre après un
AVC. Les femmes continuent d’être sous-représentées dans les essais cliniques sur l’AVC, y compris dans
ceux qui portent sur la réadaptation après un AVC. Moins de femmes que d’hommes participent à un
programme de réadaptation après un AVC. Elles sont aussi moins susceptibles que les hommes de
retourner à la maison après un AVC. En effet, elles sont deux fois plus nombreuses que les hommes à s’en
aller dans des établissements de soins de longue durée en raison du manque de soutien à la maison.
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À propos de Cœur + AVC
La vie. Ne passez pas à côté. C’est pour cette raison que Cœur + AVC mène la lutte contre les maladies du
cœur et l’AVC depuis 70 ans. Nous devons propulser les prochaines découvertes médicales afin que les
gens au pays ne passent pas à côté de moments précieux. Ensemble, nous travaillons à prévenir les
maladies, à sauver des vies et à favoriser le rétablissement grâce à la recherche, à la promotion de la santé
et aux politiques publiques. coeuretavc.ca @coeuretavc
Coordonnées
Stephanie Lawrence
Stephanie.Lawrence@heartandstroke.ca

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Caractéristiques de la santé – Estimations annuelles (2018) : Tagabisme – Statistiques Canada – 2018

Statistiques mises à jour annuellement. Données nationales et provinciales estimées pour les gens qui:

  • Fume actuellement, tous les jours ou à l’occasion
  • Fume actuellement, tous les jour

Selon l’âge et le sexe.

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Comment La Pandémie a Poussé les Gens à Recommencer à Fumer

La pandémie nous a amenés à prendre de mauvaises habitudes : consommation excessive (de télévision, de nouvelles (doomscrolling), de nourriture et d’alcool), fantomisation (ghosting), achats impulsifs; mais parmi ces mauvaises habitudes, le tabagisme semble particulièrement contre-intuitif. Le choix de fumer est une décision étrange en ce moment pour de nombreuses raisons : c’est une dépense inutile durant une période où nos portefeuilles sont peu garnis, les symptômes de sevrage peuvent rendre les fumeurs nerveux, et le tabagisme met en danger la santé de nos poumons.

Cet article n’est disponible qu’en anglais.

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Coup d’œil sur ma communauté – Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick – 2017

L’objectif de ces profils communautaires, publiés par le Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick, est de donner aux gens les moyens d’obtenir de l’information sur leurs communautés afin de stimuler leur intérêt à bâtir des communautés en meilleure santé. L’information contenue dans chaque profil (qui comprend l’usage du tabac) donne une vue d’ensemble des personnes qui vivent, apprennent, travaillent et participent à la vie communautaire. 33 Profils communautaires du Nouveau-Brunswick ont été publiés en 2017.

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Données sur la santé de la population – Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick

Le Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick (CSNB) a été créé par projet de loi en 2008 pour faire rapport sur le rendement du système provincial de santé et engager les citoyens à l’amélioration de la qualité des services de santé. Toutes les plus récentes données quant à la santé de la population néobrunswickoise sont affichés périodiquement sur son site Web.

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Enquête canadienne sur le tabac et la nicotine 2019 – Statistique Canada – 2020

Le vapotage consiste à inhaler et à expirer une vapeur produite par un appareil, comme une cigarette électronique, un vaporiseur modifié, un vaporisateur ou un vaporiseur stylo.

Ces appareils sont utilisés par certaines personnes pour réduire l’usage du tabac ou arrêter de fumer, toutefois, leur utilisation peut également avoir des effets négatifs, plus particulièrement chez les jeunes. Selon Santé Canada, la majorité des produits de vapotage contiennent de la nicotine, de sorte que le vapotage peut entraîner une dépendance à la nicotine. Le vapotage peut aussi accroître le risque d’exposition à d’autres produits chimiques nocifs.

Pour la première fois, Statistique Canada a recueilli des renseignements détaillés sur le vapotage. La nouvelle Enquête canadienne sur le tabac et la nicotine vise à mettre en lumière les types de produits que les Canadiens utilisent, la fréquence à laquelle ils vapotent, ainsi que les raisons pour lesquelles ils le font.

Enquête canadienne sur le tabac et la nicotine, 2021

Diffusion : 2022-05-05

Selon les résultats récents de l’Enquête canadienne sur le tabac et la nicotine (ECTN) de 2021, le vapotage demeure plus courant chez les jeunes adultes que chez les gens plus âgés. En 2021, 13 % des jeunes (âgés de 15 à 19 ans) et 17 % des jeunes adultes (âgés de 20 à 24 ans) ont déclaré avoir vapoté au moins une fois au cours des 30 jours ayant précédé l’enquête, comparativement à 4 % des adultes âgés de 25 ans ou plus. Le vapotage pour réduire le stress a augmenté pendant la pandémie de COVID-19 chez les personnes âgées de 15 à 19 ans, qui ont indiqué que c’était la principale raison pour laquelle elles avaient vapoté (33 %).

Le vapotage consiste à inhaler et à expirer une vapeur produite par un dispositif, comme une cigarette électronique, un vaporiseur modifié, un vaporisateur ou un vaporiseur stylo. Bien que certaines personnes utilisent ces dispositifs pour réduire l’usage du tabac ou arrêter de fumer, le vapotage peut également avoir des effets néfastes sur la santé, en particulier chez les jeunes et chez les non-fumeurs. Selon Santé Canada, la majorité des produits de vapotage contiennent de la nicotine et, comme le tabac, le vapotage peut entraîner une dépendance à la nicotine. Le vapotage peut aussi accroître le risque d’exposition à d’autres produits chimiques nocifs.

Un troisième cycle de l’ECTN a eu lieu de la mi-décembre 2021 au début février 2022. L’ECTN a été menée par Statistique Canada en collaboration avec Santé Canada afin d’obtenir des renseignements sur les habitudes en matière de vapotage et de tabagisme.

Le vapotage demeure stable parmi les jeunes âgés de 15 à 19 ans

Comparativement aux adultes âgés de 25 ans ou plus, un pourcentage plus élevé de jeunes et de jeunes adultes ont déclaré avoir essayé le vapotage au cours de leur vie. En 2021, près de la moitié (48 %) des jeunes adultes âgés de 20 à 24 ans et près de 3 jeunes sur 10 (29 %) âgés de 15 à 19 ans ont déclaré avoir essayé le vapotage au cours de leur vie, comparativement à 13 % des adultes âgés de 25 ans ou plus.

Parmi les jeunes adultes âgés de 20 à 24 ans, la fréquence du vapotage au cours des 30 derniers jours est demeurée stable de 2019 à 2020, mais elle est passée de 13 % en 2020 à 17 % en 2021. En revanche, cette fréquence est demeurée stable au cours des trois dernières années (depuis le début de cette enquête) chez les jeunes âgés de 15 à 19 ans (13 % en 2021) et chez les adultes âgés de 25 ans ou plus (4 % en 2021).

Dans l’ensemble, 5 % des Canadiens ont déclaré avoir vapoté au cours des 30 derniers jours. Le Nouveau-Brunswick a affiché le taux le plus élevé de personnes qui ont vapoté (9 %), suivi de l’Île-du-Prince-Édouard (8 %) et du Québec (6 %).

Une plus forte proportion de Canadiens a déclaré vapoter quotidiennement en 2021 par rapport au niveau observé avant la pandémie (2019). Parmi ceux qui ont déclaré avoir vapoté au cours des 30 derniers jours, 55 % ont répondu qu’ils vapotaient quotidiennement, comparativement à 44 % en 2019.

Un nombre plus élevé de jeunes âgés de 15 à 19 ans déclarent vapoter pour réduire leur stress comparativement à 2019

Étant donné que le vapotage comporte des risques pour la santé, en particulier chez les jeunes, il importe de comprendre les raisons pour lesquelles les Canadiens vapotent.

En 2021, parmi les personnes qui avaient vapoté au cours des 30 derniers jours, 18 % ont déclaré que la principale raison était pour diminuer le stress. La réduction du stress était plus couramment déclarée comme étant la principale raison justifiant le vapotage chez les jeunes âgés de 15 à 19 ans en 2021 (33 %), comparativement à 2019 (21 %). Ceci est peut-être un signe que les jeunes âgés de 15 à 19 ans vapotent en partie pour gérer le stress causé par la pandémie et par d’autres situations difficiles, telles que les perturbations constantes en matière d’éducation et de lieux de travail.

Outre la réduction du stress, les jeunes âgés de 15 à 19 ans ont également déclaré vapoter parce qu’ils aimaient cela (28 %) et parce qu’ils voulaient l’essayer (24 %). Parmi les jeunes adultes âgés de 20 à 24 ans, les raisons les plus couramment données pour justifier le vapotage étaient qu’ils aimaient vapoter (27 %), qu’ils voulaient réduire leur stress (25 %) ou qu’ils voulaient réduire ou cesser leur consommation de la cigarette, ou éviter de recommencer à fumer (24 %). En revanche, une plus forte proportion de Canadiens âgés de 25 ans ou plus ont déclaré qu’ils vapotaient pour réduire ou cesser leur consommation de la cigarette, ou pour éviter de recommencer à fumer (58 %), tandis que 14 % ont mentionné vapoter parce qu’ils aimaient cela.

En matière de vapotage, les arômes de fruit et de menthe ou de menthol sont les plus consommés

Il a été établi que les arômes sont l’un des facteurs potentiels contribuant à la proportion élevée de jeunes qui vapotent au Canada.

Parmi les personnes qui avaient vapoté au cours des 30 derniers jours, parmi tous les groupes d’âge, l’arôme le plus consommé était celui de fruit (53 %), suivi de la menthe ou le menthol (18 %).

Graphique 1 
Les arômes les plus consommés parmi ceux qui ont vapoté dans les 30 jours ayant précédé l’enquête, selon le groupe d’âge, 2021, Canada, à l’exclusion des territoires

Les préférences en matière d’arôme variaient selon le groupe d’âge, mais pas selon le genre. Une plus grande proportion de vapoteurs chez les plus jeunes (âgés de 15 à 19 ans) préféraient les arômes de fruit (65 %) comparativement aux adultes âgés de 20 à 24 ans (57 %) et à ceux âgés de 25 ans ou plus (48 %).

En revanche, l’arôme de tabac était plus populaire chez les utilisateurs âgés de 25 ou plus (14 %) que parmi les groupes d’âge plus jeunes (1 % chez les jeunes âgés de 15 à 19 ans et 2 % chez les adultes âgés de 20 à 24 ans).

La plupart des jeunes qui vapotent n’ont jamais fumé de tabac

L’une des utilisations potentielles du vapotage est de réduire l’usage du tabac ou d’arrêter de fumer. Cependant, parmi les personnes qui avaient vapoté au cours des 30 derniers jours, la majorité (61 %) des jeunes âgés de 15 à 19 ans et plus du quart (27 %) des jeunes adultes âgés de 20 à 24 ans n’avaient jamais fumé la cigarette au cours de leur vie. Ce constat suggère que la majorité des jeunes n’utilisent pas les dispositifs de vapotage pour réduire l’usage du tabac ou pour arrêter de fumer.

Dans l’ensemble, en 2021, 10 % des Canadiens ont déclaré fumer des cigarettes régulièrement. Dans tous les groupes d’âge, le tabagisme est resté stable comparativement à l’année précédente.

En 2021, environ trois fois plus de Canadiens âgés de 20 ans ou plus (11 %) ont déclaré être fumeurs que ceux âgés de 15 à 19 ans (4 %).

Enfin, le tabagisme demeure plus courant chez les hommes que chez les femmes en 2021 : 12 % des hommes ont déclaré être fumeurs, comparativement à 9 % des femmes.

Tableau 1
Pourcentage des Canadiens âgés de 15 ans et plus qui ont vapoté au cours de leur vie ou dans les 30 jours ayant précédé l’enquête, selon le groupe d’âge ou le genre, 2021, Canada, à l’exclusion des territoires

Tableau 2
Pourcentage de canadiens de 15 ans et plus par catégorie de tabagisme, selon le groupe d’âge ou le genre, 2021, Canada, à l’exclusion des territoires

  Note aux lecteurs

Les données de la présente diffusion sont tirées de l’Enquête canadienne sur le tabac et la nicotine (ECTN) de 2021, qui a permis de recueillir des renseignements sur la fréquence du tabagisme, du vapotage et de la consommation de cannabis. L’enquête a été réalisée de décembre 2021 à février 2022, et les renseignements ont été recueillis auprès de 9 908 répondants. Même si la période de collecte s’est terminée en février 2022, « 2021 » est utilisé pour désigner cette période de collecte et pour simplifier le texte. La population visée pour l’enquête comprend toute personne ne vivant pas en institution âgée de 15 ans et plus, qui réside dans les 10 provinces et qui ne sont pas membres de logements collectifs et ne vivent pas dans des réserves. Le contenu du questionnaire a été élaboré en collaboration avec Santé Canada. Les cycles précédents ont été menés d’octobre à décembre 2019 et de décembre 2020 à janvier 2021, et les données issues de ces cycles sont fournies pour examiner les tendances temporelles.

Dans le contexte de cette analyse, le vapotage comprend le vapotage de liquide, avec ou sans nicotine (liquide seulement aromatisé), au moyen d’une cigarette électronique, d’un vaporisateur modifié, d’un vaporisateur ou d’un vaporisateur stylo. Cette analyse exclut le vapotage du cannabis.

On a demandé aux répondants qui ont déclaré avoir utilisé un produit de vapotage au cours des 30 jours ayant précédé l’enquête, également appelé « vapotage au cours des 30 derniers jours », d’indiquer le type de produit utilisé, la fréquence d’utilisation et les raisons justifiant le vapotage. On a appliqué des poids d’échantillonnage afin que les analyses soient représentatives de la population ciblée.

On a demandé aux répondants d’indiquer la principale raison pour laquelle ils avaient vapoté au cours des 30 jours ayant précédé l’enquête. Les utilisateurs ont été classés dans les catégories suivantes : les personnes qui souhaitaient seulement faire un essai; les personnes ayant déclaré aimer vapoter; les personnes ayant vapoté pour réduire leur stress; les personnes ayant vapoté pour réduire ou cesser leur consommation de la cigarette, ou pour éviter de recommencer à fumer; et les personnes ayant mentionné d’autres raisons.

De plus, on a demandé aux personnes qui avaient vapoté au cours des 30 jours ayant précédé l’enquête d’indiquer quel arôme elles avaient le plus souvent consommé. Les catégories d’arômes étaient les suivantes : tabac, fruit, friandise ou dessert, menthe ou menthol, et autres arômes.

Enquête canadienne sur le tabac, l’alcool et les drogues (ECTAD) – Statistiques Canada (2017)

Enquête auprès de la population générale sur la consommation de tabac, d’alcool et de drogues chez les Canadiens âgés de 15 ans et plus, menée par Statistique Canada pour le compte de Santé Canada. Cette enquête nationale fournit de précieux renseignements qui contribueront aux approches adoptées pour s’attaquer à des problèmes sociaux et de santé complexes, tels que la consommation problématique de tabac, d’alcool et de drogues, y compris les opioïdes et le cannabis.

NOTEZ BIEN!
Depuis 2019, les renseignements sur l’utilisation du tabac et des produits de vapotage dans l’Enquête canadienne sur le tabac, l’alcool et les drogues (ECTAD) ont été supprimés et remplacés par l’Enquête canadienne sur le tabac et la nictone.

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Étude: Insécurité Alimentaire et Tabagisme au Nouveau-Brunswick

L’objectif de cette étude est de déterminer la nature de la relation entre le tabagisme, l’insécurité alimentaire et les résultats en matière de santé.

Cette étude n’est disponible qu’en anglais.

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Global report on trends in prevalence of tobacco use 2000-2025 – Organization mondiale de la santé (EN ANGLAIS SEULEMENT)

Les progrès dans la réduction du tabagisme sont un indicateur clé pour mesurer les efforts des pays pour mettre en œuvre la Convention-cadre de l’OMS pour la lutte antitabac. Les pays ont adopté cet indicateur pour rendre compte des progrès accomplis vers la cible 3.a des ODD et la cible de réduction du tabagisme dans le cadre du Plan d’action mondial pour la prévention et la lutte contre les maladies non transmissibles 2013-2020. Ce rapport présente les estimations de l’OMS de la prévalence du tabagisme, du nombre de gens qui font usage de produits de tabac et des changements entre 2000 et 2018, projetés jusqu’en 2025. Les estimations sont au niveau mondial, régional et national.

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L’insuffisance cardiaque au Canada; un problème de santé complexe et incurable en croissance

Cœur + AVC Communiqué de presse

L’insuffisance cardiaque au Canada; un problème de santé complexe et
incurable en croissance
Un plan d’action national améliorera l’accès à un diagnostic ainsi que la qualité des soins et le
soutien offert

Le 1er février 2022 – Un nouveau rapport de Cœur + AVC indique que l’insuffisance cardiaque, un problème
de santé grave en croissance au pays, met à rude épreuve les personnes qui en sont atteintes, leur famille
et le système de santé. Comme le révèle le document Des efforts insuffisants : les mesures insuffisantes au
pays pour les personnes vivant avec une insuffisance cardiaque et la façon de changer les choses, malgré
certains progrès, il reste difficile de se retrouver dans notre système de santé cloisonné et de combler les
importantes lacunes en matière de diagnostic, de traitements et de soutien.
Au pays, 750 000 personnes vivent avec l’insuffisance cardiaque et, chaque année, 100 000 personnes
reçoivent un diagnostic de cette maladie incurable. Selon un nouveau sondage de Cœur + AVC*,
l’insuffisance cardiaque touche une personne sur trois au pays, soit parce qu’elle en est elle-même atteinte,
soit parce qu’elle touche un membre de sa famille ou un ami proche.
« L’insuffisance cardiaque est une épidémie. Il s’agit de l’une des maladies cardiovasculaires dont le nombre
de cas augmente le plus rapidement dans le monde, » mentionne Dre Anique Ducharme, présidente, Société
canadienne d’insuffisance cardiaque; professeure de médecine, Université de Montréal; et cardiologue,
Institut de cardiologie de Montréal.
Tout ce qui endommage le cœur peut entraîner l’insuffisance cardiaque. Selon les experts, la hausse du
taux d’insuffisance cardiaque se poursuivra en raison du vieillissement de la population et de l’augmentation
du nombre de personnes jeunes recevant un diagnostic (grâce à de meilleurs outils de détection et en raison
de l’augmentation de certains facteurs de risque). La COVID-19 peut provoquer des lésions cardiaques
susceptibles d’entraîner une insuffisance cardiaque. De plus, en perturbant les services de santé, la
pandémie a empêché des personnes atteintes de maladies du cœur d’accéder à des soins, ce qui a aggravé
leur état.
L’insuffisance cardiaque, un prix à payer pour tout le monde
L’insuffisance cardiaque est une maladie chronique due au fait que le cœur ne fonctionne pas comme il le
devrait ou à un problème de structure. Elle peut se produire si le cœur est trop faible ou trop rigide, ou les
deux. L’insuffisance cardiaque se traduit souvent par de la fatigue et un essoufflement, en plus d’augmenter
les risques de dépression, d’anxiété et d’une qualité de vie réduite chez les personnes atteintes. En outre,
les conséquences de cette maladie peuvent être lourdes pour les membres de la famille et les aidants, qui
doivent gérer une foule de rendez-vous, de médicaments et de fréquents déplacements au service des
urgences.
« Il s’agit essentiellement d’un travail à temps plein », affirme Heather Lannon, qui s’est occupée de son
mari, Jamie, pendant neuf ans après le diagnostic de son insuffisance cardiaque.
L’insuffisance cardiaque est l’une des principales raisons pour lesquelles les citoyens se retrouvent à
l’hôpital. Il s’agit d’une maladie « de la porte tournante » parce que sur cinq patients admis à cause de celleci, l’un d’entre eux sera réadmis dans le mois suivant. D’ici 2030, on prévoit que les coûts de soins de santé
associés à l’insuffisance cardiaque atteindront 2,8 milliards de dollars par année au pays.
Une maladie à la fois complexe, chronique, incurable et mal comprise
Parmi les personnes atteintes d’insuffisance cardiaque, la plupart ont d’une à sept autres maladies
importantes touchant le cœur (diabète, hypertension, fibrillation auriculaire, etc.) ce qui rend le traitement
plus complexe et affecte la qualité de vie. Près de la moitié des personnes vivant avec une insuffisance
cardiaque meurent dans les cinq ans suivant le diagnostic.
Selon un sondage de Cœur + AVC, la population connaît mal la maladie et l’urgence de lutter contre
celle-ci :
• Quatre personnes sur dix ne savent même pas ce qu’est l’insuffisance cardiaque.
• Une personne sur trois ne sait pas que l’insuffisance cardiaque est en hausse.
• Deux personnes sur trois ignorent qu’il n’existe pas de remède à l’insuffisance cardiaque.
Le combat contre l’insuffisance cardiaque sur tous les fronts
Un diagnostic précoce, des changements au mode de vie, l’accès à des médicaments, des dispositifs
médicaux (tels que les stimulateurs cardiaques, les valvules cardiaques artificielles ou les pompes) et du
soutien communautaire peuvent améliorer les résultats au niveau de la santé et de la qualité de vie.
« Je pensais que j’étais invincible, mais une insuffisance cardiaque m’a vaincu », raconte Kevin Lobo, un
homme en forme qui était âgé de 38 ans au moment où il a reçu son diagnostic d’insuffisance cardiaque.
Une endoprothèse d’importance vitale, des médicaments, puis une opération à cœur ouvert l’ont aidé à
gérer son état. Kevin reste optimiste et déterminé à vivre pleinement. « Je conduis encore. Je continue à
m’entraîner. Je joue encore au golf. Je fais tout ce que je veux. »
Malheureusement, plusieurs facteurs peuvent avoir un impact sur le traitement et le soutien que reçoivent
les personnes atteintes d’insuffisance cardiaque, notamment l’origine ethnique, le revenu, le sexe et le lieu
de résidence.
Selon un inventaire des ressources et des services en matière d’insuffisance cardiaque** de Cœur + AVC,
nous pouvons faire beaucoup plus dans plusieurs domaines liés à l’insuffisance cardiaque partout au pays.
Par exemple, 27 % des hôpitaux n’ont pas accès à l’analyse des peptides natriurétiques, une méthode clé
pour diagnostiquer l’insuffisance cardiaque, et dans 16 % d’entre eux, le personnel ne suit pas les lignes
directrices publiées en matière de soins de l’insuffisance cardiaque.
« Des progrès ont été réalisés pour améliorer les résultats et la qualité de vie des personnes souffrant
d’insuffisance cardiaque, grâce à d’importantes recherches. Mais on pourrait, et on devrait, faire beaucoup
plus, d’autant plus que le nombre de cas d’insuffisance cardiaque ne cesse d’augmenter, déclare
Patrice Lindsay, directrice, Changement au sein du système de santé, Cœur + AVC. C’est pourquoi
Cœur + AVC a réuni des organismes axés sur les maladies du cœur de premier plan et d’autres organismes
partout au pays pour piloter un plan d’action, éclairé par des infirmières, des cardiologues, des pharmaciens,
et des personnes vivant avec une insuffisance cardiaque et leurs aidants. »
Le plan d’action met l’accent sur une approche intégrée de l’insuffisance cardiaque dans tout le pays,
notamment :
• Des systèmes de soins intégrés
• Des soins fondés sur des données probantes et sur des recherches de grande qualité
• L’accès à des soins spécialisés
• Une transition des soins coordonnée et transparente
• Du soutien aux personnes vivant avec une insuffisance cardiaque, à leurs familles et à leurs aidants
Pour améliorer les résultats et la qualité de vie chez les personnes atteintes d’insuffisance cardiaque, il faut
également faciliter l’accès aux médicaments nécessaires grâce à un régime d’assurance-médicaments
national universel et élargir l’accès aux soins virtuels.

*Le sondage en ligne national et bilingue a été mené par Environics Research Group auprès de 2 257 résidents canadiens âgés de
18 ans et plus, du 8 au 13 novembre 2021.
**L’inventaire des ressources et services en matière d’insuffisance cardiaque de Cœur + AVC a été réalisé tout au long de l’année 2021
et les données provisoires fournies dans ce rapport comprennent les réponses de 405 des 654 établissements de soins de courte durée
au Canada, en date du 18 novembre 2021. Certaines valeurs peuvent être légèrement modifiées une fois la collecte complète des
données terminée.

À propos de Cœur + AVC
La vie. Ne passez pas à côté. C’est pour cette raison que Cœur + AVC mène la lutte contre les maladies du
cœur et l’AVC. Nous devons propulser les prochaines découvertes médicales afin que les gens au pays ne
passent pas à côté de moments précieux. Ensemble, nous travaillons à prévenir les maladies, à sauver des
vies et à promouvoir le rétablissement grâce à la recherche, à la promotion de la santé et aux politiques
publiques. coeuretavc.ca @coeuretavc

la Journée mondiale pour réanimer un cœur

o  Nous savons que la grande majorité des arrêts cardiaques surviennent en milieu extrahospitalier.

 

o  Nous savons aussi que la plupart des personnes qui subissent un arrêt cardiaque dans ces circonstances ne survivent pas.

 

o  Nous savons enfin que des gestes rapides par des secouristes non professionnels augmentent les chances de survie.

 

Le 16 octobre, qui sera la quatrième Journée mondiale pour réanimer un cœur annuelle, nous vous invitons à participer à cette campagne mondiale de sensibilisation à l’arrêt cardiaque. La campagne rappelle à quel point il est important d’acquérir des compétences de base en RCR et d’apprendre comment utiliser un DEA.

 

Aidez Cœur + AVC et nos partenaires internationaux à diffuser un message important dans les médias sociaux : N’importe qui peut apprendre les manœuvres de RCR de base et utiliser un DEA.

 

Chaque année, la Journée mondiale pour réanimer un cœur a un thème différent. Cette année, il s’agit des survivants. Si vous voulez partager une ou deux histoires de survivants qui sont encore parmi nous aujourd’hui grâce à la RCR pratiquée par un secouriste non professionnel, veuillez utiliser le mot-dièse #CPRSavedMyLife.

 

Notre objectif, collectivement, pour cette journée de sensibilisation, est parfaitement clair : favoriser l’adoption à grande échelle de la RCR pratiquée par des secouristes non professionnels et améliorer ainsi les taux de survie à un arrêt cardiaque pour sauver plus de vies.

 

Nous avons préparé pour vous une trousse médiatique axée sur les médias sociaux qui comprend des messages que vous pouvez utiliser tels quels ou personnaliser, ainsi que des images téléchargeables et des vidéos d’une durée de 90 secondes sur l’apprentissage des manœuvres de RCR et l’utilisation d’un DEA. Nous vous encourageons à partager la trousse avec votre famille, vos amis et vos collègues afin de transmettre le message au plus grand nombre possible de gens dans les environs du 16 octobre. Encouragez vos destinataires à la partager également! Une autre bonne idée consisterait tout simplement à partager nos publications avec vos parents, amis et collègues.

 

N’oubliez pas d’inclure #WorldRestartAHeart dans vos messages. L’International Liaison Committee on Resuscitation (comité de liaison international sur la réanimation) qui a lancé l’initiative de la Journée mondiale pour réanimer un cœur utilisera le mot-clic pour faire le suivi du nombre de publications. Si vous décidez d’animer un webinaire ou de créer une activité liée à la Journée mondiale pour réanimer un cœur, par exemple sur Facebook, veuillez transmettre le nombre de participants (si vous le connaissez) à votre gestionnaire du programme de réanimation afin que nous puissions les inclure dans notre décompte à l’échelle du pays.

 

Ensemble, nous pouvons faire la différence recherchée. 

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La Société canadienne du cancer a publié une mise à jour du rapport, Universités et collèges ayant des campus 100 % sans fumée au Canada: Rapport de la Situation Nationale

Excellente ressource expliquant et démontrant les avantages d’une politique 100% sans fumée. Ce rapport présente une liste de tous les collèges et universités ayant une politique sans fumée et inclut des liens vers des exemples de politiques sans fumée de différents établissements d’enseignement postsecondaire au Canada.

Le tabac est responsable de 20 % des décès dus aux cardiopathies coronariennes

Selon un rapport conjoint publié aujourd’hui par l’Organisation mondiale de la Santé, la Fédération mondiale du cœur et l’Université de Newcastle (Australie) à l’occasion de la Journée mondiale du cœur, qui sera célébrée le 29 septembre, 1,9 million de personnes meurent chaque année de maladies cardiaques provoquées par le tabac.

Qu’est-ce que la Journée mondiale du cœur?

Les mégots de cigarette sont plus nocifs que les pailles et les bâtonnets à café en plastique

Des études démontrent que les mégots de cigarette sont beaucoup plus nocifs pour l’environnement que les pailles ou les sacs en plastique. Selon les données les plus récentes du Grand nettoyage des rivages, ils arrivent bons premiers sur la liste noire des déchets de plastique.

Un traitement de faveur pour l’industrie du tabac?

C’est bien connu, les fabricants de tabac sont souvent exemptés des réglementations qui s’appliquent aux autres industries. Dans le cas de la stratégie pancanadienne visant l’atteinte de zéro déchet de plastique, Environnement et Changement climatique Canada a clairement indiqué les raisons pour lesquelles les filtres de cigarette sont exclus de l’interdiction des plastiques à usage unique.

Le ministère a établi trois critères pour déterminer quels plastiques à usage unique  doivent être interdits : 1) s’ils sont présents dans l’environnement, 2) s’ils ne sont souvent pas recyclés et 3) s’il existe des solutions de rechange.

Cet article existe uniquement en version anglaise.

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Promouvoir l’équité en santé grâce à l’information sur le cancer et aux services de soutien : Rapport sur les communautés qui sont mal desservies

En 2019, la SCC a entrepris un projet axé sur les communautés mal desservies au Canada. Ce projet
met en évidence les communautés qui ont de la difficulté à accéder à de l’information et du soutien en
matière de cancer. Lorsque les gens sont confrontés à des obstacles pour obtenir l’aide dont ils ont
besoin, cela peut avoir des répercussions négatives sur leur traitement contre le cancer, l’issue de la
maladie et l’expérience vécue globalement. Le principal objectif de ce projet est de déterminer ce dont
ces communautés ont besoin et ce que nous pouvons faire pour mieux les aider.

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PUBLICATION DES RÉSULTATS DE L’ENQUÊTE CANADIENNE SUR LE TABAC ET LA NICOTINE, 2020

Le 17 mars 2021, les premiers résultats de l’Enquête canadienne sur le tabac et la nicotine (ECNT), 2020, ont été publiés. Vous trouverez ci-dessous des informations provenant de Statistique Canada. L’ECTN a été menée pour la première fois en 2019. La prévalence du tabagisme observée dans le cadre de l’ECTN a suivi une évolution inférieure à celle mesurée par l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes, dont la taille de l’échantillon est beaucoup plus importante.

En 2019, l’enquête a été effectuée entre le 8 décembre 2019 et le 16 janvier 2021.

Rapport sur l’épidémie mondiale de tabagisme – Organisation mondiale de la santé – 2019 – EN ANGLAIS SEULEMENT

Le septième rapport de l’OMS sur l’épidémie mondiale de tabagisme analyse les efforts déployés au niveau national pour mettre en œuvre les mesures les plus efficaces prévues par la Convention-Cadre de l’OMS pour la lutte antitabac afin de réduire la demande de tabac.

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Statistiques canadiennes sur le cancer : Un rapport spécial de 2022 sur la prévalence du cancer

Un nouveau rapport publié aujourd’hui par la Société canadienne du cancer (SCC) montre que le nombre de personnes ayant ou ayant eu un cancer au pays continue de grimper, et dépasse maintenant 1,5 million. Cette prévalence, qui était auparavant estimée à 1 million il y a 10 ans, qui résulte à la fois d’une survie améliorée et d’une incidence accrue, suscite un mélange d’optimisme et de préoccupations.

Le rapport, intitulé Statistiques canadiennes sur le cancer : Rapport spécial 2022 sur la prévalence du cancer, a été élaboré par le Comité consultatif des statistiques canadiennes sur le cancer en collaboration avec la SCC, Statistique Canada et l’Agence de la santé publique du Canada.

Le rapport mentionne qu’au début de 2018, un diagnostic de cancer avait été posé dans les 25 années précédentes chez environ 1,5 million de personnes en vie au Canada, et datait de 5 à 25 ans chez 60 % d’entre elles. Ce rapport attire l’attention sur le nombre élevé de personnes faisant face ou ayant fait face au cancer qui connaissent une longue vie.

« Les investissements dans la recherche rapportent sous forme de meilleures méthodes de détection en temps opportun et de traitements plus efficaces et, par conséquent, nous voyons maintenant plus de personnes qui survivent au cancer et restent en vie plus longtemps lorsqu’elles ont ou ont eu la maladie, explique Jennifer Gillis, Ph. D., gestionnaire principale, Surveillance, à la SCC. Beaucoup de progrès ont été accomplis et nous avons de quoi célébrer collectivement, mais ces nouvelles données nous rappellent également que notre travail est loin d’être terminé. »

La prévalence augmente aussi parce que l’incidence, soit le nombre de cas diagnostiqués, augmente. En 2012, environ 193 000 personnes ont reçu un diagnostic de cancer au Canada, et le nombre a grimpé à environ 206 000 en 2017. Selon les estimations, un cancer sera diagnostiqué chez 233 900 personnes en 2022. Cette hausse de l’incidence est due en grande partie à la croissance et au vieillissement de la population du Canada, et fait ressortir l’importance de la prévention du cancer.

« La prévalence croissante, soit le nombre croissant de nouveaux cas et de survivants, entraîne des pressions à long terme sur notre système de soins de santé et démontre pourquoi nous devons unir nos efforts pour créer un système capable d’évoluer à mesure que les besoins des patients évoluent, du diagnostic jusqu’aux soins de survie ou de fin de vie », ajoute Jennifer Gillis, Ph. D.

Les répercussions du cancer sur le système de soins de santé 

Étant donné que plus de personnes font face et survivent au cancer, un système de soins de santé déjà mis à rude épreuve sera encore plus sollicité. Selon un rapport de la SCC paru en septembre 2022, L’expérience du cancer pendant la pandémie de COVID-19, la pandémie a signifié des retards et des interruptions des soins pour bien des personnes, ce qui pourrait se traduire par des cancers diagnostiqués à un stade avancé dans un contexte où notre système de soins de santé peine à composer avec la demande supplémentaire. Sans nouveaux investissements et politiques de soutien, notre système de soins de santé n’aura pas suffisamment de ressources pour répondre au nombre croissant de Canadiens qui seront atteints d’un cancer.

Puisqu’un nombre croissant de personnes vivent longtemps pendant ou après une expérience de cancer, le soutien nécessaire pour assurer une qualité de vie pendant les périodes d’après-traitement et de survie augmentera aussi.

Après avoir subi une chimiothérapie et une radiothérapie pour un cancer du sein diagnostiqué lorsqu’elle avait 30 ans, J. Nadia Headley en était au processus de reconstruction quand la pandémie de COVID-19 a soudainement frappé. Les interventions chirurgicales dont elle avait besoin ont été reportées en raison des pressions que la pandémie a exercées sur le système de soins de santé.

« La COVID-19 a entraîné deux reports des interventions chirurgicales, de quatre à cinq mois chaque fois, dit Nadia. Chaque report signifie que les prochaines opérations seront aussi reportées. On essaie d’être patient et de comprendre, mais on veut juste clore le chapitre de l’expérience du cancer. Il faut apprendre à mieux prévenir les retards dans les soins de santé. »

La SCC milite afin que tous les ordres de gouvernement collaborent et contribuent à créer un système de soins de santé pérenne pour les 1,5 million de personnes qui en ont besoin maintenant. La population canadienne a besoin que notre système de soins de santé fasse l’objet d’investissements immédiats qui garantissent l’accès équitable et rapide à des services de soins contre le cancer pour tous, peu importe leur lieu de résidence ou l’endroit où ils reçoivent des soins. Nous avons lancé les Voix du changement, un réseau de bénévoles qui veulent agir, car nous savons qu’il y a un nombre grandissant de personnes touchées par le cancer qui veulent se joindre à nos efforts pour améliorer les soins contre le cancer.

Faire progresser la recherche qui sauve des vies 

« La recherche est l’un de nos outils les plus précieux pour inverser la hausse de la prévalence de cancer dans ce pays, précise Jennifer Gillis, Ph. D. Grâce aux percées en recherche, nous n’avons jamais eu autant de moyens de prévenir les cancers, de les détecter plus tôt et de les traiter plus efficacement, et d’aider les gens à bien vivre pendant et après une expérience de cancer. »

Par exemple, grâce à la recherche, nous savons aujourd’hui que presque tous les cas de cancer du col de l’utérus sont dus à une infection par le VPH, que les variants des gènes BRCA1 et BRCA2 jouent un rôle important dans le risque de cancer du sein, de l’ovaire, de la prostate et du pancréas et que les biopsies liquides permettent aux personnes atteintes d’un cancer de la prostate d’obtenir un traitement plus efficace et de meilleurs résultats.

Comme plus de personnes font face et survivent à un cancer, il faut plus d’investissements dans la recherche pour aider à réduire le risque de cancer, améliorer les méthodes de détection en temps opportun, de diagnostic et de traitement, et assurer une excellente qualité de vie aux personnes touchées pendant et après une expérience de cancer.

C’est pourquoi la SCC continue d’investir dans des projets de recherche de calibre mondial menés un peu partout au pays. Depuis 10 ans, la SCC a investi 640 M$ dans la recherche sur le cancer et, avec le soutien des donateurs, entend augmenter régulièrement son financement annuel de la recherche dans les prochaines années. En 2021-2022, la SCC a investi 44,33 M$ dans des projets de recherche sur le cancer qui aident plus de Canadiens à prévenir le cancer, à vivre avec le cancer, à y survivre et à profiter d’une vie meilleure après le cancer.

L’un des éléments clés de l’intensification des efforts visant à prévenir le cancer et à soutenir les personnes pendant et après une expérience de cancer est le lancement récent du Centre de soutien et de prévention du cancer (CSPC) de la SCC. Premier établissement du genre au Canada, le CSPC dirige de nouveaux projets de recherche et de nouveaux programmes nationaux qui aident à prévenir le cancer avant qu’il apparaisse et à résoudre les problèmes de la vie après le cancer.

Offrir un réseau d’aide 

Les progrès en recherche apporteront des solutions à long terme pour réduire le nombre de nouveaux cas de cancer et augmenter le nombre de personnes qui survivent à la maladie, mais le soutien est essentiel pour aider les plus de 1,5 million de personnes qui font face ou survivent au cancer à l’heure actuelle.

« Du diagnostic au traitement et jusqu’à la vie après le cancer ou la fin de vie, les personnes atteintes ont besoin de se sentir soutenues tout au long de leur expérience, peu importe la durée, poursuit Jennifer Gillis, Ph. D. Des programmes de soutien empreints de compassion sont un aspect très important de l’expérience du cancer; ils aident à rendre un diagnostic moins terrifiant, à faciliter quelque peu le traitement et à améliorer le bien-être des personnes qui font face au cancer et aux survivants qui tentent de s’épanouir. »

Pour de plus amples renseignements sur les programmes de soutien offerts par la Société canadienne du cancer, visitez cancer.ca.

Pour en savoir plus sur le cancer au Canada, visitez cancer.ca/statistiques et consultez le rapport intégral ou la fiche d’information. Pour prêter votre voix et aider à améliorer les soins contre le cancer, inscrivez-vous pour devenir une voix du changement. Pour obtenir de l’information sur les programmes et services qui peuvent vous aider pendant une expérience de cancer, visitez cancer.ca.

Citations 

« Il est essentiel de disposer de données opportunes et exactes sur la prévalence du cancer au Canada pour comprendre l’impact de la maladie sur la société et sur notre système de santé. Statistique Canada est fier de contribuer au rapport sur les statistiques canadiennes sur le cancer, celui-ci donne un aperçu sur les services et la recherche nécessaires pour mieux appuyer les 1,5 million de personnes qui vivent avec le cancer au Canada. Les données sont d’une valeur inestimable pour évaluer les résultats du cancer, mesurer le chemin parcouru et identifier les domaines à améliorer. »

– Jeff Latimer, directeur général, Direction générale de la statistique de la santé, Statistique Canada

À propos des Statistiques canadiennes sur le cancer
Le rapport Statistiques canadiennes sur le cancer est le fruit d’une collaboration entre la Société canadienne du cancer, Statistique Canada et l’Agence de la santé publique du Canada. Les données sur l’incidence du cancer et la mortalité par cancer sont issues du Registre canadien du cancer et de la Base canadienne de données sur l’état civil – Décès, respectivement, qui sont gérés par Statistique Canada. Les données proviennent des registres provinciaux et territoriaux du cancer et des registraires de l’état civil. Statistique Canada a réalisé toutes les analyses liées à ce rapport, sauf les analyses par revenu et par statut urbain-rural, qui ont été menées par le Partenariat canadien contre le cancer. L’Agence de la santé publique du Canada a effectué la traduction française de ce rapport. La Société canadienne du cancer coordonne la production et la diffusion de cette publication et la finance au moyen de dons de charité. Depuis plus de 35 ans, cette publication fournit des renseignements qui orientent la prise de décision portant sur le soutien et les services requis et sur les recherches nécessaires. Elle aide aussi à mesurer l’impact de la prévention, de la détection précoce et du traitement. Pour de plus amples renseignements à propos des Statistiques canadiennes sur le cancer, visitez cancer.ca/statistiques.

À propos de la Société canadienne du cancer
La Société canadienne du cancer travaille sans relâche afin de sauver et d’améliorer des vies. Nous finançons les plus brillants chercheurs sur le cancer. Nous fournissons un réseau d’aide empreint de compassion à toutes les personnes atteintes de cancer, dans tout le Canada et pour tous les types de cancer. En tant que voix des personnes qui ont le cancer à cœur, nous travaillons de concert avec les gouvernements pour créer une société en meilleure santé. Aucun autre organisme ne fait ce que nous faisons pour faire en sorte d’améliorer des vies aujourd’hui et de transformer l’avenir du cancer à jamais.

Ensemble, agissons contre le cancer. Appelez-nous au 1 888 939-3333 ou visitez cancer.ca aujourd’hui.

TAUX COMPARATIFS DES TAXES FÉDÉRALE/PROVINCIALES/TERRITORIALES SUR LE TABAC AU 1er AOÛT 2020

200 cigarettes     200 cigarettes de tabac à rouler (100 g)

N.-É.      70,63 $ (59,04)    46,00 $ (40,00)

Man.    68,18 $ (60,00) 50,09 $ (45,50)

Î.-P.-É.     65,11 $ (55,04)    31,80 $ (27,52)

N.-B.      61,83 $ (51,04)    30,07 $ (25,52)

  1. N.-O.   60,80 $                  27,20 $

Sask.   60,65 $ (54,00)    29,82 $ (27,00)

Nt     60,00 $               40,00 $

Yn     60,00 $                   30,00 $

T.-N.-L.    59,58 $ (49,00)    46,00 $ (40,00)

C.-B.     59,00 $                 39,50 $

Alb.     55,00 $                  41,25 $

Ont.     44,45 $ (36,95)     21,56 $ (18,475)

Qc    29,80 $                   14,90 $

Féd.  ~29,53 $ (24,84) ~17,45 $ (15,53)

Notes concernant le tableau :

Une augmentation en fonction de l’inflation entre en vigueur au niveau fédéral chaque 1er avril depuis 2019. Une augmentation en fonction de l’inflation entre en vigueur au Yukon chaque 1er janvier depuis 2019, à condition que celui-ci soit supérieur à un seuil minimum, ce qui n’a pas été le cas en janvier 2019 ni en janvier 2020.

Voici, les augmentations de taxes pour les cigarettes et le tabac à rouler jusqu’à maintenant en 2020, avec leurs dates d’entrée en vigueur :

1er janv. 2020      C.-B.        4,00    2,00

26 févr. 2020    N.-É.        4,00 14,00

1er avr. 2020     Féd.      0,46    0,29    augmentation annuelle de l’inflation fédérale

15 juill. 2020    Î.-P.-É.      5,04    6,02

L’Île-du-Prince-Édouard a augmenté les taxes sur le tabac de 5,04 $ par cartouche de 200 cigarettes, et de 6,02 $ par 200 cigarettes à rouler (100g). Cette augmentation est entrée en vigueur le 15 juillet 2020.

Voici l’avis du ministère des Finances de l’Île-du-Prince-Édouard au sujet de l’augmentation de la taxe sur le tabac :

Cet avis est disponible uniquement en anglais.

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Testez vos connaissances sur la lutte antitabac!

Avez-vous bien suivi les événements de lutte contre le tabagisme au Canada?

Prenez 10 minutes pour tester vos connaissances sur les événements récents en faisant ce quizVous pourriez être fiers de vos résultats! …. (et oui, il y a quelques questions pièges).

Ce contenu n’est disponible qu’en anglais.

Des renseignements sur ces sujets et sur d’autres sujets d’actualité concernant le tabac, récemment publiés par Médecins pour un Canada sans fumée, sont disponibles ici:

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Vivre sans tabac: une priorité au Nouveau-Brunswick – Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick – 2017

Cette infographie présente des statistiques clés sur l’usage du tabac au Nouveau-Brunswick, incluant des données par région.

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Subventions

Les subventions disponibles pour des projets visant l’éducation et la prévention du tabagisme et de l’utilisation de produits de vapotage sont affichés sur notre page Web Subventions.

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